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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 2 juillet 2007

Le PAN dans un escandal

lundi 2 juillet 2007, 5h24
yahoo


Un trafiquant de drogue présumé tente de faire chanter le parti au pouvoir au Mexique

MEXICO (AP) - Le gouvernement mexicain s'est plaint dimanche d'être victime d'"une perverse tentative de chantage", après avoir reçu une lettre dans laquelle un trafiquant de drogue présumé affirme que les millions de dollars saisis à son domicile en mars dernier -recensés comme étant la plus grande saisie d'argent de la drogue de toute l'histoire- étaient en fait destinés à financer illégalement la campagne du parti au pouvoir.

Selon le gouvernement, un avocat du propriétaire de la maison où était caché l'argent, Zhenli Ye Gon, aurait exigé pour son client un traitement de faveur de la part des autorités mexicaines sur les inculpations de trafic de drogue, d'armes et de blanchiment d'argent, faute de quoi il ferait courir le bruit que la majorité des 207 millions de dollars (153 millions d'euros) appartenaient au Parti d'action nationale (PAN).

"Cette affirmation n'est pas seulement fausse, elle est ridicule", a réagi le ministère de la Justice dans un communiqué en réponse à la lettre envoyée par l'avocat américain de Ye Gon à l'ambassade du Mexique à Washington.

La prise du mois de mars est considérée comme la plus grande saisie d'argent liquide lié à la drogue de tous les temps. Ye Gon, un homme d'affaires d'origine chinoise en fuite, accusé par le gouvernement mexicain de se livrer au trafic de pseudoéphédrine -utilisée pour fabriquer des métamphétamines- fait l'objet d'un mandat d'arrêt international délivré par le Mexique. AP


Mexilios: il faut être au courant de ce qui se passe là, si le chinois à parle est pour quelque chose.....

Et aujord'hui?









lundi 2 juillet 2007, 7h21


Yahoo actualités

Un an après, Lopez Obrador peine à mobiliser les Mexicains
LOPEZ ABRADOR PEINE À MOBILISER LES MEXICAINS
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MEXICO (Reuters) - Il y a un an, il s'en était fallu d'un rien pour qu'il soit élu à la présidence du Mexique. Aujourd'hui, Andres Manuel Lopez Obrador continue de se dire volé de sa victoire électorale mais peine à entretenir la mobilisation de ses partisans.

Le rassemblement organisé dimanche à Mexico, à la veille du premier anniversaire de l'élection du 2 juillet 2006, a certes attiré des dizaines de milliers de personnes, loin cependant des 300.000 marcheurs qui défilaient alors derrière leur "président légitime".

Au cours des douze mois écoulés, "Amlo" a sillonné le Mexique, plaidant sa cause, se disant victime de manipulations électorales.

Mais pour de nombreux Mexicains, le candidat de la gauche mexicaine, défenseur des droits des communautés indigènes, est en train de disparaître de la carte politique.

"Ce n'est plus la même chose. Il y a très peu de monde. Il a perdu et il ne reviendra pas", commente Raul Coronel, un balayeur de 36 ans rencontré dimanche parmi les manifestants. Un peu plus loin, Raymundo Aroyo, un libraire, estime que Lopez Obrador "aurait dû mettre un terme à tout ce cirque il y a longtemps déjà".

Un sondage publié dimanche par les journaux du groupe Reforma assure que 31% des électeurs qui ont voté Lopez Obrador il y a un an ne le referaient pas aujourd'hui. Et près de la moitié des personnes interrogées estiment que le bilan de Felipe Calderon, le vainqueur du scrutin, est meilleur que prévu.

Mexilios: Mais il faut savoir que les enquetes du Refor(pan), sont bien payes pour le gouvernement, ca ce n'est pas vrai, il faut savoir que le pays est militarise, que otut a augmente sauf les salaires.....

"LA MAFIA NOS ROBO LA PRESIDENCIA"

Le caractère terre à terre de Lopez Obrador, son mode de vie simple jusqu'à l'austérité, sa rhétorique avaient créé autour du candidat du Parti de la révolution démocratique (PRD) une dynamique et un élan qui, longtemps, en avaient fait le favori du scrutin dans un pays où la moitié de la population vit avec moins de 5 dollars par jour.

Mais Calderon, le candidat conservateur du Parti de l'action nationale du président sortant Vicente Fox, l'avait finalement emporté avec une infime avance de 0,58 point de pourcentage.

La plus haut juridiction électorale du pays a finalement validé sa victoire.

"Je le dis, nous le disons encore: nous avons remporté l'élection présidentielle", a lancé dimanche comme tant d'autres jours auparavant Lopez Obrador, qui résume ses arguments dans un nouveau livre, "La mafia nos robo la presidencia" (La mafia nous a volé la présidence).

Nombreux étaient ceux qui pensaient que la victoire a minima de Calderon entraverait son action. Mais douze mois après son élection, Calderon jouit d'une solide cote de popularité, autour de 65%, et la détermination qu'il met dans la lutte contre les cartels des drogues et la réforme des retraites impressionne une large partie de l'électorat.

Plus de 1300 victimes au Mexique....

Depuis le temps ou FECAL a pris le gouvernement par asaut, le pays va pire, et denrierment il ne veut plus qu'on parle du violence, mais devant une evidence qui creve les yeux on peut pas se taire et voila:

20 minutes.fr

Guerre des cartels meurtrière au Mexique

Depuis janvier, plus de 1.300 personnes ont été exécutées au Mexique, qui connaît une de ses années les plus meurtrières. En cause: les affrontements entre cartels de drogue, sous les yeux d'un gouvernement visiblement incapable d'endiguer la vague de violence. Ce bilan sonne comme un échec cuisant pour le président mexicain, Felipe Calderon, qui avait promis d'agir contre les cartels de la drogue.

Depuis sa prise du pouvoir le 1er décembre dernier, il a lancé des opérations militaires médiatisées dans plusieurs Etats du pays (20.000 hommes). Mais pour le président du Conseil citoyen pour la Sécurité publique et la justice, José Antonio Ortega, cet échec vient de «la stratégie du gouvernement».

Ortega part du principe qu'il n'y a pas d'organisations criminelles sans protection officielle. Les services de renseignement de l'armée, qui constituent le gros des hommes déployés sur le terrain, «devraient opérer de manière chirurgicale contre ceux qui depuis le pouvoir tirent profit du trafic de drogue».

«Aucun opérateur politique, ni aucun responsable de blanchiment d'argent n'a été arrêté», s'étonne Ortega qui rappelle la «complicité évidente (...) entre les barons et certains politiciens et policiers».

Le déni du gouvernement

Les autorités mexicaines refusent de fournir le chiffre du nombre de victimes de la violence mafieuse. Mais les estimations des médias mexicains chiffrent entre 1.270 et 1.382 victimes pour 2007, dont plus d'une centaine de policiers.

Le gouvernement mexicain estime que la violence est due à une réorganisation du trafic de la drogue engendrée par la baisse de la consommation de cocaïne aux Etats-Unis. Une information non confirmée par l'agence antidrogue américaine.

Tous les services de l'Etat - policiers, douaniers, juges, élus et fonctionnaires- sont soupçonnés de bénéficier des largesses des puissantes mafias de la drogue. Et depuis le début du mandat de Calderon, le nombre de trafiquants de drogue arrêtés a baissé, note le parquet général du Mexique.

Exécutions, décapitations, embuscades

La semaine dernière, un député du parlement de Nuevo Leon a été abattu en plein centre de Monterrey, la 2e ville du Mexique. «Il y a des liens entre les autorités locales et les trafiquants de drogue», confie Pedro De la Cruz, spécialiste de sécurité nationale à l'Université nationale autonome de Mexico.

Des exécutions sommaires, des décapitations, des embuscades tendues aux forces de l'ordre en plein jour, des tueurs à gage qui enlèvent leurs victimes à leur domicile avant de leur administrer un tir de grâce, tous les modes opératoires y passent.


Sans maïs, pas de pays

Indymedia Paris

Mexique : campagne nationale "Sans maïs, pas de pays"

Des organisations paysannes et non gouvernementales ont commencé au Mexique une campagne en défense de la souveraineté alimentaire et pour la réactivation des campagnes. Le but est d'alerter aussi sur la crise déclenchée par l'augmentation des produits de base.

Les activités s'étendront sur tout le territoire mexicain durant six mois. La campagne cherche à faire prendre conscience des conséquences négatives des importations de produits transgéniques et de tout type d'accord commercial qui porte atteinte à la production nationale.

De la même manière, elle essaie d'impulser la défense du droit à l'alimentation de toute la population.

Les organisations convocantes ont de plus souligné que plus d'un tiers de la population souffre de dénutrition et d'anémie, spécialement celle qui vit dans les zones rurales, ce qui place le Mexique dans la plus complète vulnérabilité et insécurité alimentaire.

FAP, 26/06/2007. Agencia Pulsar. Traduction : http://amerikenlutte.free.fr

Celà fait déjà un année

Il y a un an on se demandait encore, et aujordhui on se souvient parce que le fraude on l'oublierait pas!

Le monde diplomatique

mardi 11 juillet 2006

Incertitude au Mexique

Candidat conservateur du Parti d’action nationale (PAN), M. Felipe Calderón a-t-il vraiment remporté l’élection présidentielle du dimanche 2 juillet, au Mexique ? Dénonçant une manipulation du vote « dans au moins 50 000 des 300 000 bureaux de vote », M. Andrés Manuel López Obrador, du Parti de la révolution démocratique (PRD), conteste la victoire de son rival, acquise, selon l’Institut fédéral électoral (IFE), avec une marge infime de 0,58 % des voix (243 934 votes sur un total de plus de 41 millions).

Le Mexique s’est incontestablement démocratisé et un scandale de l’ampleur de celui qui, en 1988, vit le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), tout-puissant, voler une première victoire du candidat de la gauche (à l’époque M. Cuauhtémoc Cardenas) grâce à une « panne technique », paraît de prime abord impossible. Toutefois, nul n’a oublié le « desafuero » – épisode judiciaire qui, en avril 2005, a visé à destituer M. López Obrador de son poste de maire de Mexico et à l’empêcher de se présenter à la présidence (plus d’un million de personnes descendant dans la rue ont alors fait échouer la manœuvre du pouvoir).

La non prise en compte initiale de 3 millions de bulletins par le Programme des résultats électoraux préliminaires (PREP) qui, précipitamment, dès le 2 juillet au soir, a annoncé la victoire de M. Calderón, a attiré l’attention, provoquant les premières contestations. Depuis, le ton s’est durci. Dans son discours du 8 juillet, devant 300 000 personnes, sur le zocalo, à Mexico, M. López Obrador a, pour la première fois, parlé de « fraude ». Son équipe juridique continue de montrer à la presse nationale et internationale les différentes irrégularités commises tant pendant le scrutin que lors de l’annonce des résultats, à 20 heures, le 2 juillet.

M. López Obrador va saisir le Tribunal fédéral électoral (Trife) pour qu’il soit procédé à une vérification « bulletin par bulletin » – ce que le PAN et M. Calderón refusent, assurant que « la journée [des élections] a été exemplaire ». M. López Obrador entend également se tourner vers la Cour suprême de justice pour dénoncer l’ingérence de l’actuel président, M. Vicente Fox, dans la campagne électorale, et le dépassement par le PAN du budget de campagne qu’autorise la loi. Appelant à la même résistance pacifique que lors du « desafuero », le PRD a annoncé une « marche nationale pour la démocratie » à partir du 12 juillet et un vaste rassemblement, le 16 juillet, à Mexico.

Dans la logique des violentes attaques médiatiques menées contre le candidat de centre-gauche avant le scrutin, les chaînes privées de télévision (TV Azteca et Televisa) diffusent toute la journée des spots appelant au respect des résultats (c’est-à-dire la victoire du candidat conservateur).

La justice électorale ayant deux mois pour examiner les réclamations, la proclamation du résultat officiel pourrait ne pas se faire avant le 6 septembre, ce qui rend quelque peu prématurée la démarche de MM. George W. Bush, Alvaro Uribe (président de la Colombie) et... du chef du gouvernement espagnol José Luis Rodríguez Zapatero, qui ont immédiatement salué la victoire de M. Calderón

* * *

Et aussi se dissait celà:

La Démocratie Trahie

Fraude Electorale et Rébellion au Mexique

Par Roger Burbach
CounterPunch — 10 juillet 2006


Plus d'un demi-million de personnes sont descendues dans les rues de Mexico samedi pour protester contre l'élection frauduleuse de Felipe Calderon. Andres Manuel Lopez Obrador [AMLO], le véritable vainqueur de l'élection présidentielle, a déclaré à la foule immense : "Ces élections ont été frauduleuses depuis le début", ajoutant que le président en exercice, Vicente Fox "a trahi la démocratie".

La raison pour laquelle Fox et son Parti d'Action Populaire (PAN) ont frappé un grand coup pour voler cette élection est assez simple : ils sont terriblement effrayés de la rébellion de classe grandissante des pauvres et des opprimés mexicains. Le slogan de campagne d'AMLO était sans ambiguïté : "Pour le bien de tous, les pauvres d'abord". Dans un pays où près de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, AMLO a promis de fournir un revenu aux personnes âgées et des soins médicaux aux pauvres. Des millions d'emplois seront aussi créés, en particulier en entreprenant de vastes projets de construction pour moderniser le système de transports de Mexico qui est délabré. Il a aussi promis de renégocier l'ALENA avec les Etats-Unis, et en particulier les clauses qui permettent l'importation de semences bon marché subventionnées qui déstabilise les producteurs agricoles.

Plus importante est la promesse d'AMLO de démanteler la relation économique corrompue qui existe entre la classe des affaires et les bureaucrates gouvernementaux. Tout le monde au Mexique sait que les pots-de-vin et les dessous-de-table sont courants dans tout le Mexique autant que la richesse du pays est écrémée aux dépends des travailleurs et des pauvres. Ce système existait sous les gouvernements précédents du Parti Institutionnel Révolutionnaire, le PRI. Ce qui a rendu ce système particulièrement insidieux sous le PAN est qu'il est, plus que le PRI, le parti d'une élite des affaires bien établie. Avant de devenir président, Vicente Fox s'est construit une immense fortune personnelle - il a même été le patron de Coca-Cola au Mexique. Non seulement Lopez Obrador menace de démanteler le système des traitements de faveur et de corruption intérieure, il proclame aussi que les riches devront payer les taxes sur les revenus et les entreprises qu'ils esquivent régulièrement.

Les preuves qu'il y a eu fraude lors de cette élection sont accablantes. Grâce à l'Internet, les détails les plus révélateurs sur ce qui s'est passé sont publiés par la presse dissidente en ligne. Ainsi que me l'a dit Luis Hernandez Navarro, l'éminent rédacteur en chef du quotidien mexicain La Jornada, "Le processus électoral a été truqué avant, pendant et après l'élection du 2 juillet" (Voir son édito : "L'ombre de 88", en français). En plus de la couverture de Navarro, l'excellente source qui explique la fraude électorale avec des statistiques, des documents et des tableaux détaillés est un article d'Al Giordano pour le The Narco-News Bulletin. Dans son dernier article, il démontre que Lopez Obrador a vraiment gagné l'élection présidentielle d'un million de voix (en anglais).

Les changements proposés par AMLO contre le système politique corrompu sont réformistes, pas révolutionnaires. Ils sont exigés par une population de plus en plus énervée qui secoue une grande partie du Mexique. Les troubles ont commencé en 1994 avec la rébellion de l'Armée Nationale de Libération Zapatiste au Chiapas. Depuis lors il y a eu des éruptions périodiques dans tout le pays. En 2002, des militants habitant San Salvador Atenco, dans l'Etat de Mexico, ont bloqué le bâtiment d'un aéroport international. Plus tôt dans l'année, ils ont utilisé des machettes, des gourdins et des cocktails Molotov pour disperser la police qui essayait d'empêcher 60 marchands de fleurs d'installer leurs stands dans la communauté voisine de Texcoco. Puis juste avant l'élection présidentielle des enseignants d'Oaxaca se sont mis en grève et furent rejoints par toute la population tandis qu'ils ont fermé la ville et exigé la démission du gouverneur PRI de l'Etat.

Le péché d'AMLO aux yeux de la classe dirigeante n'est pas qu'il ait fomenté l'une quelconque de ces révoltes, mais plutôt qu'il répond d'en bas à la demande populaire. Le candidat officiel du PAN, Felipe Calderon, a décrit Lopez Obrador comme un personnage démoniaque et messianique qui ne s'arrêtera devant rien pour mettre la main sur le pouvoir. C'est vrai, AMLO a appelé dans le passé à des manifestations de masse, mais seulement lorsque le système violait le processus démocratique ou piétinait ouvertement les droits des pauvres. En 1995, lorsqu'il y eut fraude dans les élections de l'Etat de Tabasco, AMLO a mené de nombreuses caravanes et de nombreuses marches sur une période qui a duré plusieurs mois, culminant avec un rassemblement à Mexico. En 1996 il a aidé une coalition militante de fermiers et de pêcheurs qui demandaient une indemnisation des puits de pétrole de l'Etat pour les dommages qu'ils ont subis à la suite d'un déversement accidentel de pétrole. L'année dernière, un million de personnes se sont rassemblés dans la capitale lorsque le congrès mexicain a essayé de sortir AMLO de la course présidentielle parce qu'il avait violé, en tant que maire de Mexico, une loi obscure en construisant une route vers un hôpital. [Voir l'article de Harold Meyerson, "Bonjour du Mexistan" (en français), Washington Post, le 13 avril 2005].

Des éditorialistes et des analystes politiques internationaux de la presse étrangère voient même qu'il y a des risques réels d'explosion sociale s'il n'y a pas un recomptage de toutes les voix, comme Lopez Obrador le demande. L'équipe de la sécurité nationale de l'administration Bush doit certainement savoir qu'une fraude a été commise dans les élections mexicaines, mais cela n'a pas empêché Bush d'appeler Felipe Calderon pour le féliciter lorsque l'Institut Electoral Fédéral Mexicain a annoncé, jeudi, les résultats truqués. La classe dirigeante mexicaine se retrouve prise, en compagnie de ses cohortes internationales, entre le marteau et l'enclume. Si le recomptage des voix est permis, la fraude et la corruption du système mexicain seront exposées à la face du monde entier. S'il ne permet pas un recomptage honnête des voix, le Mexique pourrait devenir ingouvernable.

Le Mexique a connu deux soulèvements sociaux majeurs dans son histoire. Le premier arriva dans la foulée du mouvement d'indépendance en 1810 et le second avec la révolution qui commença en 1910. Les résultats de l'actuelle élection frauduleuse pourraient déclencher la prochaine rébellion sociale du Mexique, quatre ans avant la date exacte du centième anniversaire de la révolution.

Traduit de l'anglais (Etats-Unis) [JFG-QuestionsCritiques]

et:

" PINCHE INDIOS ! " - ENFOIRÉS D'INDIENS ! — John Ross
Le ton monte au Mexique après le vol de l'élection du 2 juillet. Felipe Calderon
a été désigné vainqueur au détriment d'AMLO, alors qu'en recomptant 10% des
bulletins, son avance initiale de près de 500.000 voix a fondu à 5.000. John Ross
nous explique que le racisme de la société mexicaine est au coeur du problème...


LETTRE D'AMLO AUX MEXICAINS — Andres-Manuel Lopez-Obrador
POURQUOI LES AMÉRICAINS ONT BESOIN D'AMLO — Laura Carlsen
MEXIQUE : FRAUDE ÉLECTORALE ET SOULÈVEMENT POPULAIRE — Roger Burbach
L'OMBRE DE 88 — Luis Hernández Navarro
ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES MEXICAINES : LE JOKER — John Ross
FÊTE DU TRAVAIL : UN JOUR SANS LES MEXICAINS ? — John Ross



el zoologico de hank
Monosapiens mon-1600-zoologico.jpg

Radio libre

SINTONIZA LOS POCOS PROGRAMAS CIVILES QUE VAN QUEDANDO:

* ARISTEGUI 96.9 fm W RADIO, 6 -10 AM

* JORGE SALDAÑA 760 AM 10:00 HRS

* ÍNDICE POLÍTICO 830 AM 13:00 HRS

* RICARDO ROCHA 104.1 FM 18-20:00 HRS

La frase:


''Hemos resistido y creceremos; ¿qué sería del pelele sin la tele?''

Renegados gringos

Siguen los renegados gringos:
Jornada

Concluye el Foro Social de EU con un llamado a desmantelar divisionismos

DAVID BROOKS

Atlanta, 1º de julio. El Foro Social de Estados Unidos concluyó hoy igual que empezó: con un mosaico de luchas que aún no encuentran expresión como movimiento social, pero constatan que hay una oposición de izquierda de abajo en "el ombligo de la bestia".

EL peje lleno otra vez el Zocalo

Sin ser ni perredistas, ni pejistas, desde Mexilios enviamos una gran felicitación al pueblo de México que se unieron a la convocatoria del FAP y la resistencia ciudadana para conmemorar el robo de las elecciones del 2 de julio pasado.

Historia magistra

El movimiento lopezobradorista no ha perdido fuerza como se ve en las siguientes fotos y notas que tomamos del sendero con todo y sus comentarios que están de primera:




QUÉ CONVENIENTE

El Universal le vuelve a dedicar la principal nota de primera plana al peje. De hecho también pone un video en su página de internet llamado López Obrador Sigue Llenando el Zócalo:



Incluye además una crónica de lo ocurrido en el Zócalo llamada "La Pejemanía se Recicló" escrita con MUY mala leche. Otra que se llama "Reencuentro en las Calles" de no tan mala leche. Dice esta última:

Él y los suyos. El líder y su multitud. Ellos, 364 días más tarde. Él y la demostración, a la ciudad, al país, al mundo... a sí mismo, de que no está solo, que mantiene su capacidad de convocatoria.

Y: “¡Es un honor, estar con Obrador!”, se escuchó nuevamente. Y: “Va a caer, va a caer, el pelele va a caer”, amenazaron. Y: “Vendidos, vendidos... ¡fuera, fuera!”, amenazaron, acosaron, agredieron los devotos a casi todos los reporteros, camarógrafos, fotógrafos. A casi todos...


Pero no se menciona el supuesto ataque a un reportero de una estación de radio. ¿Curioso, no?

Desde luego, para tratar de evitar que se notara que la popularidad del peje sigue igual de firme, El Unimierdal publica su propia encuesta amañanada directamente abajo de las notas sobre el peje.


ROCHA
Granos de Arena

Noticias de hoy

Algunas de la jornada:

Foto

La intervención de Vicente Fox en 2006, ''traición a la democracia'': Poniatowska

La intervención de Vicente Fox en las elecciones de 2006 constituye ''una verdadera traición a la democracia'', definió ayer la periodista Elena Poniatowska, al presentar en la asamblea de la Convención Nacional Democrática el informe preliminar del foro nacional Testimonios del Fraude Electoral.

* * *

Cero negociación con quienes sostienen una política contraria al pueblo: AMLO

ALMA MUÑOZ, ENRIQUE MENDEZ

En el primer aniversario de las elecciones del 2 de julio, Andrés Manuel López Obrador convocó a diputados y senadores del Frente Amplio Progresista (FAP), integrado por los partidos de la Revolución Democrática (PRD), del Trabajo (PT) y Convergencia, ''a que por ningún motivo aprueben'' la propuesta de reforma fiscal del ''gobierno apócrifo'' de Felipe Calderón. ''No podemos ser una izquierda legitimadora. Cero negociación, y repito, cero negociación con quienes sostienen una política contraria al pueblo y entregan la soberanía...


* * *

El futuro es nuestro, sólo tenemos que perseverar"

JAIME AVILES

Un año después, aquí no ha pasado nada, salvo el tiempo. Al llegar a la Plaza de la Constitución, la voz de Jesusa Rodríguez da la pauta desde el templete, la plancha está a reventar, las banderas del PRD y del PT se mezclan con las cartulinas ciudadanas, parece un domingo como otro cualquiera en los días del plantón. Y sin embargo, ya transcurrió un año desde que un fraude electoral coronó la multimillonaria campaña de odio contra el político más exitoso del país, a pesar de lo cual la gente sigue en la calle,...

* * *


Partidos miembros del FAP ratifican su unidad

ALMA E. MUÑOZ, ENRIQUE MENDEZ

Los dirigentes de los partidos de la Revolución Democrática (PRD), del Trabajo (PT) y de Convergencia ratificaron ayer la unidad del Frente Amplio Progresista (FAP) que integran, y cuestionaron nuevamente el "fraude electoral que permitió la imposición" de Felipe Calderón como presidente de México.

La Arquidiócesis condena la movilización social de ayer

Gabriel León Zaragoza

A un año de los comicios presidenciales más competidos "que haya vivido el país en su corta y tortuosa vida democrática", para la Iglesia católica "resulta preocupante" que aún "se siga reviviendo el pasado para alimentar la discordia y la división, y se continúe viendo al que piensa distinto, no como alguien con quien es preciso dialogar y negociar, sino como el enemigo al que es necesario descalificar y eliminar". En el editorial de su semanario Desde la Fe, la Iglesia considera "paradójico" que quienes dicen encarnar la democracia sean quienes "destacan por su intolerancia, autoritarismo e incivilidad". Por otra parte, sin aviso previo, el cardenal Norberto Rivera Carrera no acudió ayer a la Catedral Metropolitana a oficiar la celebración litúrgica que preside cada domingo; en su lugar el deán del recinto, Rubén Avila, encabezó la ceremonia.

* * *

O sea que la iglesia sigue metiendose y sembrando el odio entre los "fieles".....

Felicidades

Encuestas y Dos de julio

Diario lidertad

Plaza Pública
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Miguel Angel Granados Chapa

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Dos de julio

Hace un año, desde su estudio instalado en la explanada del Instituto Federal Electoral, José Gutiérrez Vivó condujo la información y las mesas de reflexión transmitidas a lo largo de la jornada por Monitor. Lo hizo a través de sus dos frecuencias de AM y la de FM que de tiempo atrás arrendaba a MVS. Cancelado ese contrato el último día de noviembre, se acentuó su debilidad financiera que finalmente condujo al deplorable fin de sus emisiones informativas el viernes pasado.

Entre los invitados a la sesión de análisis electoral el año pasado se encontraba Ulises Beltrán, a quien Monitor había encargado una encuesta de salida para su auditorio. Como los responsables de sondeos en otros medios, Beltrán dijo al anochecer que la diferencia entre los candidatos que obtenían la mayor votación era tan breve que no era lícito dar a conocer el resultado de su encuesta. Lo mismo dirían más tarde el Presidente del IFE y el de la República.

La situación en el curso del día era por completo diferente. En su libro La mafia nos robó la Presidencia, Andrés Manuel López Obrador recuerda que había encargado a la doctora Ana Cristina Covarrubias una encuesta de salida, que incluía más de 38 mil entrevistas: “Fue el ejercicio más grande y riguroso que se aplicó en todo el país el día de la jornada electoral. Desde el primer reporte de las diez de la mañana hasta el último, siempre nos mantuvimos arriba con un promedio de tres puntos de ventaja.

“Ese mismo resultado se reflejaba en otras encuestas de salida... Incluso, hacia las cinco de la tarde recibí una llamada de Bernardo Gómez (vicepresidente) de Televisa, para decirme que ellos tenían información de que había ganado la elección presidencial. Sin embargo, al cierre de las casillas, cuando comenzaron a falsificar los resultados, se empezó a hablar de un empate en los conteos rápidos”.

Como se comprobaría en la mayor parte de los casos en que se ordenó abrir paquetes electorales, las actas levantadas al caer la noche del dos de julio estuvieron a menudo plagadas de errores. Decirlo se convirtió, por efecto de la propaganda del IFE, en una ofensa para los ciudadanos que habían tenido a su cargo recibir la votación y hacerla constar en actas. Hace dos semanas, sin embargo, el ex Presidente del Tribunal Electoral del Poder Judicial de la Federación, Fernando Ojesto, atribuyó a esas mismas personas los errores en el conteo de votos, porque la educación es deficiente y no enseña a sumar adecuadamente. No todos los responsables de recibir los votos, sin embargo, fueron ciudadanos escogidos previamente. Cerca de veinte mil funcionarios, 19 mil 454 exactamente, no se presentaron y fueron sustituidos por quienes estaban en la fila ansiosos de sufragar y de quedarse a atender la mesa de votación. Son ciertamente pocos en relación con los 390 mil que en total actuaron ese día (no medio millón como para fines efectistas se dijo en la abundosa propaganda que ponía a salvo la virtud ciudadana en la recepción del voto). Pero bien situados, su labor pudo ser eficaz en la modificación de resultados.

No en todos los casos estuvieron allí los representantes de los partidos para impedirlo. Es normal que sean registrados muchos más representantes de los que efectivamente acuden. El PAN, por ejemplo, registró 340 mil 851 y menos de la tercera parte, 102 mil 856 estuvieron presentes. La proporción es semejante en el caso de la coalición Por el bien de todos: de 318 mil 878 acudieron 102 mil 100. A ese propósito, dice López Obrador:

“Para tratar de justificar el fraude, algunos han argumentado que la Coalición... es responsable de la alteración de resultados, en razón de que no tuvo representantes en 100 por ciento de las casillas. Pero ningún partido o coalición logró tener representantes en todas las casillas. Además, el argumento no justifica el fraude. Si la falta de representación justificara la pérdida de votos, sería inexplicable que el partido Alternativa Socialdemócrata y Campesina, que no tuvo representación en las casillas (tuvo menos de cuatro mil, añado por mi parte, con base en la estadística oficial) hubiera mantenido las intenciones de voto que reflejaron las encuestas. En el caso de Nueva Alianza, que sí pudo contar con una mayor estructura de representación (poco más de setenta mil personas, digo yo) llama la atención que su votación para diputados y senadores haya sido significativamente mayor que las cifras reflejadas en las encuestas. En síntesis: la coalición Por el bien de todos perdió votos por la falta de representación; Alternativa, sin representación, alcanzó el resultado previsto en las encuestas. Y Nueva Alianza duplicó su intención de voto. ¿Cómo puede ser esto posible?”.

Ciertamente, el resultado contradijo a casi todas las encuestas. López Obrador lo resume así: “En casi todos los sondeos de opinión publicados en la fecha límite legal (10 días antes de la elección) teníamos ventaja. Los diarios Reforma y El Universal nos daban dos puntos porcentuales arriba; Mitofsky-Televisa, tres puntos; Bimsa, 4.5; Parametría, 4; y María de las Heras, 4.9. Las encuestas que no fueron publicadas por impedimento legal y que fueron levantadas hasta el día anterior a la elección, mostraron que se mantuvo la misma tendencia. En la última medición de Bimsa, del día anterior a la elección, la ventaja era de 3.5 puntos porcentuales, y en una encuesta nacional de Parametría, cuyos resultados se obtuvieron el día anterior a la elección, la ventaja era también de 3.5 puntos”

Transnacionales

Diario libertad

Opiniones y Comentarios
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Julio Ricardo Blanchet Cruz

· El poder de la democracia (de la mayoría)...

Si el Secretario de Hacienda y Crédito Público, don Agustín Carstens, anduviera dando recetas de cocina para conservar la salud y la línea, en vez de andar proponiendo Reformas Fiscales que no toman en cuenta el hecho de que no hay trabajo y que por eso los coterráneos lo buscan del otro lado; donde las injusticias son iguales que las de aquí, pero en dólares...

El caso es que si don Agustín, regresando con el tema, diera consejos alimenticios, se vería menos grotesco que el señor Embajador de la hermana República de Colombia, don Luis Camilo Osorio...

Que habiendo sido Fiscal General de su Patria, es ciertamente una voz calificada para opinar sobre el narcotráfico. Para opinar sobre lo que han hecho y los resultados que han obtenido allá...

Y hasta para decir lo que no se debe de hacer; como cuando opinó que en nuestro México no se podía aplicar el “Plan Colombia”, que evidentemente ha fracasado de manera rotunda...

Pero opinar sobre lo que se debe de hacer al hablar del combate internacional a las drogas, lo convierte en un vocero más del Imperio del consumismo; cuyo plan es no solamente vender Coca-Colas y alimentos chatarra en el mundo árabe y controlar el petróleo, sino también las drogas...

Razón por la que invadieron Afganistán, donde los peligrosos Talibanes aún no están derrotados, a pesar de que los invasores han hecho llover fuego sobre sus montañas, que sembradas de amapola y marihuana les sirven de refugio a esos recios hombres que siempre han controlado el paso de la droga a Oriente...

Paso que ahora quieren controlar las transnacionales mediante la instalación de gobiernos “democráticos” que se auto-gobiernen bajo los lineamientos que ellos dictan. Lo único que les interesa a las transnacionales es el dinero...

Y una de ellas ha elegido a nuestra Patria como su centro mundial de “operaciones”, pensando que aún pueden sacar más dinero de nuestra Patria, a costa de la ignorancia de un Pueblo que convertido en idólatra pasó de la barbarie a la decadencia sin haber conocido la madurez, la civilidad...

A escasas horas (el próximo 4 de Julio) del llamado al boicot a la Coca-Cola hasta en tanto no se despenalice el uso de las drogas en nuestro México, parece condenado al previsto fracaso...

La gente sigue consumiendo Coca-Cola sin que hayan tomado conciencia del poder que individualmente se tiene cuando uno sabe que su acción fue importante y tomada en cuenta...

Los resultados serían evidentes si se tuviera éxito, pues las embotelladoras se colapsarían y tendrían que parar; lo que ciertamente es muy caro y no le conviene a nadie...

La Coca-Cola es la poderosa transnacional que dicta ordenes poniendo y quitando (dizque democráticamente) mandatarios según les convengan, La Igle$ia judía de Roma es la otra (siempre lo ha sido)...

Luego a las transnacionales las elecciones no les salen como pensaban y se les salen de control con la verdadera democracia, como en Venezuela o Bolivia, pero generalmente el control informativo (en manos de sus contratados) les funciona (como aquí en nuestro México) y controlan todo. Regresando...

La pérdida que significaría el que no se consumieran Coca-Colas, durante una semana, por decir algo, sería incalculable...

Y no nada más por el dinero que habría dejado de llegar a sus poderosas arcas, sino porque su éxito significaría que los hombres le habríamos encontrado la cuadratura al círculo, tomado el poder que la democracia se confiere a sí misma...

Y nos vemos mañana, si el Sol me presta vida.

jrbc@diariolibertad.org.mx

Gobierno pollero

Diario libertad
Asimetrías
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Fausto Fernández Ponte

Fausto Fernández Ponte

Migrantes


A Gabriela Dávila Madrid y Julio Ricardo Blanchet Cruz. Semper fidelis.


I

La emigración de mexicanos hacia Estados Unidos y la presencia, en ese país, de unos 12 millones de connacionales inmigrados definen, quiérase o no en Los Pinos o la Casa Blanca, la relación bilateral.

Y no sólo eso: ese hecho --el que define la relación-- fija los términos mismos del trato entre los gobiernos de cada país vis-a-vis los intereses estratégicos de uno y otro.

Esos términos son, desde luego, económicos, pero inciden en el ámbito de lo político dado que es un asunto insoslayablemente atañedero a las sociedades de México y EU.

Como asunto social, el de la emigración mexicana y la presencia de nuestros compatriotas inmigrados en el país vecino es inextricablemente complejo, aunque no debiere serlo.

Pero la realidad es terca: no debiere ser un asunto complejo, pero lo es y lo hemos convertido, aquí y en Washington, en un problema de enormes proporciones. Un problema de naturaleza política.

Esa conversión de asunto que no debiere ser complejo, pero que es hoy un problema ciclópeo es consecuencia de la ineptitud de los políticos mexicanos y estadunidenses y sus ambiciones políticas.

II

Véase, si no: México produce excedentes laborales --es decir, masas densas de desempleados y subempleados-- y los exporta a quien los requiere, EU, que oficialmente no acepta que los necesita.

Esos desempleados y subempleados emigran a EU impulsados precisamente por la desesperanza que deviene de la toma de conciencia de que en México las cosas no mejorarán y, probablemente, serán peor.

A la desesperanza impulsora de la emigración súmase otro agente motivador: que EU es el símbolo mismo de la prosperidad material y que allí es posible trocar la desesperanza por la esperanza.

Este último es el agente que los especialistas en el tema de la emigración identifican como el push factor o factor de atracción. Empleo probable, mejor calidad de vida y bienestar son irresistibles.

Así, medio millón de mexicanos emigra, según cifras gubernamentales, a EU cada año. Y casi todos --diríase que un 99 por ciento-- logra empleo y, con ello, autoestima individual y colectiva.

Una autoestima que su propio país les escamotea. Ese país lo expulsa de sus confines y lo convierte en mercadería exportable, que genera ganancias: paz social en numerosísimas comunidades de México.

III

Esa ganancia --la de la paz social-- es de naturaleza política para el poder formal: nuestra mercadería viviente --el emigrante convertido en inmigrado-- remite a sus hogares miles de millones de dólares.

Son las remesas sobre las cuales el poder formal --el gobierno-- conformado por individuos cínicos e irresponsables y de endeble catadura moral sustenta su propia tranquilidad de conciencia.

Pero el costo es altísimo, diríase que impagable. El poder formal fomenta la emigración, destruyendo pueblos y familias enteras y creando un régimen de relaciones sociales y familiares disfuncionales.

Pero esa es nuestra exportación principal, después de la del petróleo: exportar humanos. Ello convierte al poder formal en cómplice de una trata execrable, la de personas. Es un gobierno pollero.

¿Y los motivos estadunidenses para regular la creciente densidad de inmigrados en su territorio? Los motivos son políticos y de carácter electoral y, por ende, cíclicos y calendáricos.

Son, así, convenientes a los intereses de los políticos empeñados en manipular el voto de los mexicanos en EU para sus propios fines. Mas no es esa la única causal. Hay otras, tema de una próxima entrega.

Glosario:

Calendárico: relativo al calendario.

Cíclico: relativo a los ciclos.

Trocar: cambiar.

Vis-a-Vis: frente a frente.

ffponte@gmail.com

Fecalandia reloaded

Carlos Fernández-Vega / La jornada

Las rebanadas del pastel

Dice el inquilino de Los Pinos que "ya se han creado en México este año 428 mil nuevos empleos formales registrados en el IMSS, la cifra más alta para un semestre, para el primer semestre de la administración en casi 15 años". Pues bien: resulta que entre las muchas prácticas foxistas que mantiene la "continuidad" parece que la de sumar siempre y nunca restar es una de las preferidas, porque en realidad el registro del IMSS marca 242 mil empleos de más (la mayoría eventuales) en el primer semestre de la susodicha administración (se le "olvidó" restar las 152 mil plazas canceladas en su primer mes)... Además, en el primer semestre de 1998 el IMSS reportó un incremento de 488 mil empleos formales, de tal suerte que 2007 menos 1998 no suman 15 años, ni la hipotética cifra de Felipe Calderón representa "la más alta para un semestre".

Para poder celebrar

Libros

Jornada
Clase Política

Miguel Angel Rivera

Libro impopular

Si los problemas ocasionados después de la jornada electoral se habían originado, en gran medida, porque un sector de la población participó en un descomunal fraude electoral en las casillas, entonces teníamos gravísimos problemas como país: nuestra cultura política sería tan negativa y nuestro capital social tan escaso, que no tendríamos futuro durante muchos años como país democrático".

El anterior párrafo fue tomado del oportuno libro El mito del fraude electoral en México, recién aparecido, escrito por Fernando Pliego Carrasco, doctor en ciencia social por el Colegio de México, investigador del Instituto de Investigaciones Sociales y profesor del programa de posgrado de Ciencias Políticas y Sociales de la UNAM.

El estudioso, obviamente, llega a la conclusión de que no hubo fraude el 2 de julio de 2006 y ello le atraerá muchas críticas.

Por lo pronto, no coinciden con sus conclusiones decenas de miles de ciudadanos que acompañaron a Andrés Manuel López Obrador a los actos de protesta, convencidos de que su candidato fue víctima de un despojo.

(...)

ZocAMLO

Oaxaca hierve

Jornada

Gustavo Esteva

Ciudadanos en apuros

Este cuaderno se hizo para los ciudadanos que se sienten confundidos, desencantados, desesperados, frustrados, enojados, aterrados o todo eso junto." Así empieza el Cuaderno para el ciudadano en apuros, escrito y editado por Calentamiento Global A. E., que "es una agrupación espontánea de ciudadanos para reflexionar sobre las altas temperaturas de la atmósfera terrestre, política, social, sicológica y cultural. Sube el termómetro, pero también se caldean las voluntades, bullen los ánimos y se encienden las ideas... Es preciso hacer algo".

El Cuaderno se presentó el miércoles pasado en Oaxaca ante un grupo entusiasta de ciudadanos en apuros, que esa noche los tejieron con mezcal mientras escuchaban el son de la barricada y otras creaciones de los Tapacaminos.

Oaxaca no sólo arde internamente, como dijo hace unas semanas el ministro Góngora de la Suprema Corte. Hierve de preocupación. Saben que la Secretaría de Gobernación ha desertado de sus funciones; considera que "ha cumplido a plenitud los compromisos adquiridos" y que "toca al gobernador Ruiz resolver el conflicto a tiempo para que no se reactive" (La Jornada, 20/6/07). Y conocen bien los usos y costumbres de Ulises Ruiz, a quien sus aliados del Comité Directivo Estatal del PAN exigieron apenas el viernes "asumir su responsabilidad y dejar de promover la violencia y el enfrentamiento".

Mientras la Corte estudia cómo y cuándo nombrará su comisión, Oaxaca arde y hierve. El recién creado Consejo Ciudadano para el Progreso anunció hace una semana que el 30 de junio un grupo de ciudadanos desalojaría "pacíficamente" el plantón que mantienen en el zócalo la sección 22 del sindicato de maestros y la Asamblea Popular de los Pueblos de Oaxaca (APPO).

El jueves una estación local de radio recogió la declaración de un miembro de una organización de comerciantes que iba a tomar parte en el desaguisado. El tianguista estaba incómodo por el hecho de que a su familia de cinco miembros le estaban cobrando 3 mil pesos por cada uno, en vez de considerarlos como un solo comercio. La cantidad le parecía excesiva. El dinero iba a emplearse para traer de Puebla a unos golpeadores que los apoyaran en el "desalojo pacífico".

La amenaza no se cumplió. La presidenta del Consejo anunció el viernes la suspensión del acto, porque Ulises Ruiz les había pedido tener paciencia.

Oaxaca arde y hierve de tensiones y de preocupación, pero también de ideas y de iniciativas... Mientras el Consejo organizaba sus acciones "pacíficas", un grupo de organizaciones y militantes de la APPO se encontraba en el taller La resistencia civil no violenta: estrategias, tácticas y filosofía. Trataban de derivar las lecciones pertinentes de las experiencias del último año y aprestarse a lo que sigue, construyendo juntos instrumentos de reflexión y acción para continuar su lucha.

Ayer domingo se puso en marcha una modalidad contemporánea de la Guelaguetza, el complejo sistema de intercambio de bienes y servicios que el gobierno y la industria turística han convertido en un espectáculo folclórico que en estos días será nuevo motivo de conflicto. Un grupo de prosumidores (productores y consumidores) empezó el intercambio de productos, saberes y servicios por medio de "facilitadores", billetes creados por ellos mismos que operan como medio de intercambio. Emplean así sus capacidades y destrezas para atender en forma autónoma sus necesidades. Lo que logran colocar en el mercado en crisis no les alcanza para comprar lo que les hace falta, pero han sacado fuerzas de flaqueza por un camino que podrá darles un buen grado de autosuficiencia.

Como dice el Cuaderno para el ciudadano en apuros, "es posible cambiar el orden de las cosas y nuestro lugar en el mundo. Basta mover los muebles de la casa para que ésta empiece a ser otra. Basta sembrar un árbol para que brote un jardín. La acción es un arma muy poderosa: contra el abuso, contra la apatía, contra el agravio. Hay que actuar ahora. Hay que actuar sin perder el aliento".

Eso están haciendo oaxaqueños y oaxaqueñas, con paso firme, en su búsqueda. "A veces", dice el Cuaderno, "parece que hemos perdido el norte. No sabemos más de qué lado sale el sol y por dónde se oculta. El estruendo y la violencia barren los cuatro puntos cardinales. Pero hay que buscar en medio de la bruma. Combatir la brutalidad en cualquiera de sus formas obliga a una búsqueda continua de ideas, de razones, de tácticas. Lo único que no pueden destruir las botas y las balas es la convicción de que el mundo debe ser diferente. No perdamos esa brújula".

gustavoesteva@gmail.com

La descomposición institucional

Jornada
Editorial

2 de julio: viraje a la incertidumbre

Hoy hace un año la vida política del país se vio severamente alterada por una elección presidencial que, lejos de culminar una transición venturosa a la normalidad democrática, puso de manifiesto el enorme abismo que separa al país oficial del país real y que mostró, en toda su crudeza, límites y miserias de un sistema político que no da para más. La jornada del 2 de julio de 2006 fue la culminación de un proceso de descomposición institucional que venía de antes del foxismo, pero que éste llevó a grados extremos de patrimonialismo, presidencialismo desbocado y hasta delirante, abuso de poder, falta de respeto a la división de poderes y al federalismo. En esa fecha dio comienzo en el acontecer nacional un periodo incierto y oscuro cuya salida no se ve cercana.

Hay que recordar que, en la segunda mitad de su mandato, Vicente Fox, obcecado con la disparatada ilusión de legar el cargo a su cónyuge, se empecinó en destruir por todos los medios a su alcance a quien desde 2004 despuntaba como el aspirante presidencial con más arraigo en el ánimo popular, el entonces jefe de Gobierno capitalino Andrés Manuel López Obrador. Desde las altas esferas del poder político, económico y mediático se organizó una conjura para desprestigiar, derrocar, inhabilitar y hasta encarcelar al gobernante de la ciudad de México, no en virtud de un celo legalista, como entonces se dijo, sino por un encono personal, como posteriormente lo admitió el propio Fox. Con tales propósitos se usó de manera facciosa y se envileció a las instituciones del poder público, y se ensució por adelantado el proceso de sucesión presidencial.

En el último tramo de las campañas, la injerencia indebida de Los Pinos y sus aliados se volvió notoria hasta para una autoridad electoral sumisa a los dictados presidenciales y surgida de una componenda entre los dos partidos del grupo en el poder y la mafia que controla, hasta la fecha, el sindicato de educadores. Durante la jornada comicial el desaseo se hizo evidente de múltiples maneras: hay que recordar que el primer mensaje del todavía titular del Instituto Federal Electoral, Luis Carlos Ugalde, fue incorporado en la transmisión presidencial como si hubiese sido una cápsula publicitaria; la inexplicable tardanza para entregar los resultados y las tendencias estadísticas inverosímiles recordaron la célebre "caída del sistema" de cómputo que cobijó el fraude electoral de 1988.

La elección habría podido legitimarse y las sospechas habrían podido ser disipadas con un recuento del total de los sufragios, pero el máximo tribunal electoral se negó a ordenarlo, efectuó conteos parciales que ratificaron el cúmulo de inconsistencias y luego, en un fallo que será recordado como ejemplo de incoherencia, dio por bueno el proceso a pesar de que éste había padecido "irregularidades graves". Como puntilla, el entonces presidente de la Suprema Corte de Justicia de la Nación, Mariano Azuela, se negó a ejercer la facultad de ese órgano para intervenir ante la presunción de violaciones graves al voto, argumentando que el artículo constitucional correspondiente había sido "redactado con los pies".

Con tales antecedentes, y con el trasfondo de la masiva protesta ciudadana, Fox no pudo comparecer ante el Congreso para rendir su último Informe de gobierno, y Felipe Calderón fue uncido de manera totalmente irregular, con un acto de toma de posesión anticipado, equívoco, estrafalario y ominoso -por la entrega de la banda presidencial a un militar-, realizado en Los Pinos y sin más audiencia que las cámaras de televisión. El primer día de diciembre del año pasado, el ahora huésped de Los Pinos hubo de ingresar, literalmente, por la puerta trasera del Palacio Legislativo para rendir una protesta apresurada que le permitiera ostentarse como presidente de México.

Como era de preverse, el déficit de legitimidad se ha dejado sentir en todas y cada una de las acciones de la administración así formada. En cambio, la persistencia del movimiento ciudadano que se inició con el rechazo al desafuero de López Obrador y que se transformó en base de apoyo de la campaña del candidato presidencial de la coalición Por el Bien de Todos ha dado origen a la Convención Nacional Democrática y, a juzgar por la masiva concentración que ésta realizó ayer en el Zócalo capitalino, se ha consolidado y se ha convertido en un fenómeno político que trasciende, por su raigambre y su horizontalidad, a los tres partidos que integran el Frente Amplio Progresista. Podría parecer sorprendente que, a un año de que su dirigente fuera derrotado -según la versión oficial- en las urnas, este movimiento logre sacar a las calles a centenares de miles de personas que siguen enarbolando las banderas de la campaña electoral, más otras. Para comprender el hecho resulta necesario ver al movimiento lopezobradorista no como un rescoldo comicial, sino como la expresión más visible y estructurada de un descontento social profundo y extendido ante la creciente desigualdad, la miseria de amplios sectores de la población, la corrupción inveterada en el sector público, los usos gubernamentales antidemocráticos y ahora, para colmo, cada vez más desembozadamente autoritarios.

Todo indica que esta protesta social, organizada y pacífica, no va a diluirse, y no necesariamente por méritos de sus dirigentes, sino porque, a lo que puede verse, el gobierno seguirá multiplicando los motivos del descontento: en sus primeros siete meses, el calderonismo, en vez de buscar la generación de consensos y la superación de la fractura nacional, ha ejercido el poder con el amago de la represión contra sus opositores, ha mantenido la política económica hambreadora imperante desde el salinato y ha gobernado con obsecuencia ante la corrupción foxista, con entreguismo frente a Estados Unidos y los capitales trasnacionales, con insensibilidad social, política y cultural, y con una alarmante falta de comprensión de los grandes problemas nacionales. En tanto, el deterioro de las instituciones sigue su curso y se ha ahondado la brecha, nefasta herencia del foxismo, entre el país real y la república de la simulación que florece en los discursos oficiales.

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Granos de arena · Rocha

Rocha

Astillero

Jornada

Julio Hernández López

Partido de la esperanza (Pez)

Organización de ciudadanos

Clase política "podrida"

El Zóca(m)lo estuvo nuevamente lleno, pero eso no fue lo más importante, ni la subsistencia escenográfica y discursiva del Frente Amplio Opositor con sus líderes formales al frente (aunque no deben desdeñarse esos datos). Lo más relevante de esa Plaza de la Constitución memoriosa -menos vehemente, es cierto; termómetro político demostrativo de que es hora de pasar de la arenga y la denuncia ya rutinarias a planteamientos más actuales y eficaces- se dio en dos planos: el primero, referido a la transición andresina que se inició con las historias conocidas del fraude electoral, pero acabó con un claro e intencional acento de lucha política viendo hacia delante y vinculándose con procesos sociales (Atenco, Oaxaca, Zongolica, Cerro de San Pedro, retenes militares y presos políticos, en especial Flavio Sosa) y el segundo plano, con la aceptación expresa de que se está trabajando en construir "la organización ciudadana más importante que se haya visto en la historia del país", bajo la premisa de que "la llamada sociedad política está podrida, y el cambio y la transformación que necesita México tiene que darse de abajo hacia arriba".

La revelación de que la entrega de credenciales durante las giras de trabajo de López Obrador es una forma de construcción de una especie de Partido de la Esperanza (el Pez) tuvo como marco de referencia la seca reiteración del Peje (o Pez) Mayor de que los diputados y senadores del FAO (PRD, PT y Convergencia) no deben aprobar la iniciativa de reforma fiscal que ha propuesto un Felipe que, con oportunismo extremo, se ha puesto la casaca holgada de perredista para decir que el sol azteca y él tienen coincidencias en esa materia. Cero negociación, dijo el Primer Pez del País (aunque nada dijo de comidas de gobernadores dizque perredistas en Los Pinos). Porque aquel que aceptare las tentaciones fiscales del pequeño Calderón desde ahora declarado ha sido como parte de la izquierda legitimadora, comparsa del Fondo Monetario Internacional y jijo (y jija, aunque ayer en elecciones locales anduviere) de su mal dormir. El orador central de la cálida concentración (por doquier sombrillas, cachuchas, sombreros y demás) aseguró, además, que "el gobierno ficticio no podrá implantarse legítimamente", entre otras cosas por "un antecedente histórico fundamental: la derecha en nuestro país sólo ha prevalecido transitoriamente. Y siempre con resistencia popular".

El nuevo enfoque del discurso andresino (vinculación con las luchas sociales, visualización no sólo del fraude, sino de sus consecuencias actuales y futuras, y en especial el hablar de la "organización ciudadana", cuya membresía ideal rondaría los cinco millones de participantes) es una advertencia preparatoria de un eventual deslinde y rompimiento ante las pretensiones de la izquierda legitimadora (los llamados chuchos) de allanarse a las pretensiones calderónicas de contar con la reflexión y posible aprobación de las bancadas legislativas a la propuesta fiscal miscelánea que ha presentado. "No queremos nada con esa política antipopular y entreguista", puntualizó ayer AMLO, y enseguida estableció el parámetro de "lo legítimo (que) en nuestro caso es no adherirnos como comparsa a la estrategia que insiste en mantener el atraso del país y el empobrecimiento del pueblo". Quien no se ubique en ese parámetro de lo legítimo será, obviamente, un legislador perredista o frentista espurio, un diputado o senador comparsa, pelele.

Y por ello, dado que el ex candidato presidencial tiene "la creencia, la convicción de que el cambio no se va a dar de arriba hacia abajo" y que, como se apuntó líneas antes, considera que "la llamada sociedad política está podrida" (lo cual, a entender de este redactor, en vías de apuntarse extemporáneamente a alguna cátedra de ciencias políticas, significa que diputados, senadores, gobernadores, partidos y demás artículos de los anaqueles institucionales están putrefactos, corrompidos), está dedicando "la mayor parte del tiempo (...) a construir la organización ciudadana desde abajo", ya que "sólo con ese movimiento vamos a poder sacar al país del atraso".

La clase política podrida (Peje dixit), mientras tanto, seguía con sus juegos electorales caducos. En Durango y Chihuahua, plazas calientes del narcotráfico, se preveían consolidaciones priístas mientras en Zacatecas continuaba el pleito entre gobernadora y ex gobernador. Y en el Distrito Federal se producía el primer destape para relevar en el 2012 a Marcelo Ebrard, con el secretario del Trabajo, Javier Lozano, converso al panismo bajo la guía de su preceptor César Nava, que de secretario particular del Presidente LegaL (PLL) quiere pasar a presidente particular del PAN.

Astillas

Debemos aclarar a los lectores que, el pasado miércoles, inexplicables duendes agregaron puntos suspensivos a las direcciones electrónicas correspondientes a información de la planta Hitachi de Guadalajara, de Wal-Mart en Coacalco y de "Abusos sexuales y El Vaticano". Como es obvio, no era posible ingresar a las informaciones al dar clic en esas direcciones con los puntos suspensivos espurios. Lo correcto es http://www.youtube.com/
watch?v=p25Gr155sIw
, http://www.jornada.unam.mx/2007/06/23/index.php?section=estados&arti
cle=027n2est
y http://pospost.blogs
pot.com/2007/05/el-video-de-la-bbc-censurado-por-el.html
, respectivamente... Y, mientras las chachalacas escandalizadas por el cierre de la golpista Radio Caracas Televisión guardan pudoroso silencio ante el golpe transexenal panista a José Gutiérrez Vivó y su Monitor radiofónico, que Fox sentenció y Calderón cumplió, ¡hasta mañana, en esta columna que a partir de una frase pronunciada ayer en el Zócalo se pregunta si el país está gobernado por el Telele!

El fuero militar no debe ser aplicado en tiempos de paz

General Francisco Gallardo
Foto: francisco daniel

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Proceso
Los militares deben encarar tribunales civiles: General Gallardo

hypatia velasco ramírez y guadalupe gómez quintana México, D.F. 2 de julio (apro-cimac).-

Los militares que han agredido a mujeres o civiles --violaciones sexuales, tortura o asesinato-- en Guerrero, Veracruz, Oaxaca, Michoacán y Chiapas, deben enfrentar la ley civil, no la castrense, pues “el fuero militar no debe ser aplicado en tiempos de paz”, planteó el general brigadier José Francisco Gallardo Rodríguez.

Durante la mesa de medios que cada mes realiza Comunicación e Información de la Mujer AC (CIMAC) --y que este día abordó el tema de la militarización y la justicia--, Gallardo dijo que el militar “no es un fuero absoluto”.

Agregó que no existen tribunales militares propiamente dichos, pues la jurisdicción militar es administrativa y depende del Ejecutivo, sin embargo, paradójicamente, es el titular de la Defensa el que administra y procura la justicia, tareas que corresponden al Poder Judicial.

Si el Ejército está actuando en el ámbito civil, dijo Gallardo, y comete una violación, debe ser puesto a disposición de la autoridad civil, y ello es aplicable en casos como los de Zongolica o Castaños, pues el artículo 13 constitucional deja muy claro que quien debe llevar a cabo el proceso es la autoridad civil, sin embargo, es acogido por el fuero militar.

En ello coincidió Viviana Krsticevis, directora ejecutiva del Centro por la Justicia y el Derecho Internacional (Cejil), quien recordó que la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) indicó que la jurisdicción militar no se debe aplicar en casos de tortura o violación sexual, sino únicamente en actos de indisciplina de los miembros del Ejército:

“Los civiles nunca deben estar bajo la jurisdicción militar”.

Por ello, ante la militarización que vive México, en que el Ejército está siendo ocupado en tareas propias de las policías, en tareas de seguridad interior con el fin de controlar a la población civil e inhibir la protesta social, el Estado debe evaluar los alcances de la jurisdicción militar, pues esa militarización ha traído como consecuencia que la ciudadanía --de manera importante las mujeres-- se vea afectada en sus derechos humanos, dijo la representante de Cejil.

Gallardo consideró que la serie de violaciones en los que ha incurrido el Ejército Mexicano en los últimos tiempos deben derivar en una reforma constitucional, y en esos términos crear reglamentaciones en que se abrogue el fuero militar, el cual, reiteró, no debe existir en tiempos de paz.

Sin embargo, apuntó el diputado federal David Sánchez Camacho, aunque es el Congreso de la Unión el que tiene que definir qué tipo de Ejército necesita el país, en la Cámara sólo cinco diputados del PRD tienen la clara intención de reformar al instituto armado.

Y, como propuesta clara para reformarlo, sólo existe la que hizo el general Gallardo. Así, mientras no exista una reforma del Ejército, la reforma del Estado no es posible, sentenció Sánchez Camacho.

Legislación internacional, la opción

La solución para buscar justicia para las mujeres cuyos derechos humanos han sido violados por militares, es recurrir a instancias externas, a las Cortes internacionales, coincidieron en señalar los tres ponentes.

México, dijo Viviana Krsticevis debe ser consciente de que si en la reforma del Estado no se aborda el tema de la jurisdicción militar, en este momento hay posibilidades de que la Corte Interamericana intervenga y le exija al Estado un cambio de Constitución o de legislación.

Señaló que hasta el momento ha habido muy pocos casos que han llegado de México al sistema interamericano, y que algunos tienen la posibilidad de llegar a la Corte Interamericana la cual, indudablemente, va a ordenar a nuestro país se cambie el alcance de la jurisdicción militar.

Violaciones a mujeres

De acuerdo con Alma Buciaga, integrante de la Comisión Mexicana de Defensa y Promoción de los Derechos Humanos, Amnistía Internacional (AI) reporta que, desde 1994 hasta 2006, se han documentado 60 agresiones sexuales contra mujeres indígenas y campesinas por parte de las Fuerzas Armadas, sobre todo en Guerrero, Chiapas y Oaxaca, y que no tienen aún resolución alguna.

Lo que falta para esclarecer estos casos, observa el general Gallardo, es voluntad política, pues el Ejército Mexicano puede identificar perfectamente quién estaba asignado en el lugar en que se cometieron los ilícitos.

Interrogado sobre los soldados prófugos en el caso Castaños, y sobre la identidad de los presuntos responsables de la violación y muerte de doña Ernestina Ascencio, en Zongolica, el general Gallardo indicó que pueden ser identificados perfectamente porque, además, 90% de los efectivos castrenses viven en zonas habitacionales militares.

Casos pendientes

Entre los casos de abuso sexual contra mujeres cometidos por militares, aún se cuenta el de las tres hermanas tzeltales violadas por militares en el municipio de Altamirano, Chiapas, en 1994.

Dos mujeres tlapanecas en Guerrero que fueron violadas por cinco soldados el 3 de diciembre de 1997, año en que también fueron violadas por efectivos del Ejército doce mujeres indígenas de la zona de Loxichas, en Oaxaca.

Esta pendiente el caso de dos mujeres nahuas de Guerrero, interceptadas y violadas por militares en casas abandonadas, en abril de 1999.

El más reciente es la agresión de ocho soldados --del 41 Batallón de Infantería--, en Barranca Bejuco, Acatepec, Guerrero, y Barranca Tecuani, en Ayutla de los Libres, Guerrero.

También están las 23 mujeres agredidas sexualmente en el municipio mexiquense de Atenco por fuerzas de seguridad en mayo de 2006.

Las 14 mujeres de Castaños, Coahuila, que fueron violadas por militares que resguardaban paquetería electoral, el pasado 11 de julio de 2006.

Y uno de los más recientes, el de la indígena náhuatl Ernestina Ascencio, que fue presuntamente violada y asesinada por miembros del Ejército en la Sierra de Zongolica.

Visita de Cejil

Integrantes de Cejil, organismo que litiga varios casos de violación a derechos humanos ante la CIDH, iniciaron este 25 de junio una gira por el país, con el objetivo de visitar el estado de Guerrero, entidad que junto con Chiapas se ha convertido en emblemática por las violaciones sexuales de militares contra mujeres de comunidades indígenas.

Sobre la visita, Krsticevis señaló que han tenido acercamientos con la Suprema Corte de Justicia de la Nación (SCJN), la Comisión de Derechos Humanos de Guerrero y la Procuraduría General de la República (PGR), y esta tarde sostendrían una junta con miembros de la cancillería.

Aseguró que su visita deja una gran preocupación por la falta de avances en temas clave, entre los que se encuentra la falta de respuesta efectiva frente los abusos cometidos por el Ejército, los pendientes de jurisdicción militar y la ausencia de avances sustanciales en la investigación judicial en los hechos de tortura cometidos por judiciales o militares.

Finalmente indicó que no se han visto avances ni voluntad por parte de las autoridades militares o civiles para que se profundice en la investigación de los casos en los que están comprometidos miembros del Ejército.

Los desgobiernos panistas y sus politicas patito

De contralinea:

Agudiza Calderón crisis en el ejército

Zósimo Camacho
Con la creación del Cuerpo de Fuerzas de Apoyo Federal, Felipe Calderón busca rescatar al Ejército de la derrota en su “guerra” contra pistoleros de narcotraficantes. La violencia desatada –que arroja más de mil 500 muertos y ningún narcotraficante detenido en casi siete meses– es la coartada para involucrar de lleno a la milicia en el“restablecimiento del orden público”, lo que, a decir de especialistas, apunta más a los movimientos sociales que al crimen organizado.


Mas linduras de Fox:

Cargill “coyote trasnacional” del maíz

Erika Ramírez
Vicente Fox cerró su administración con la entrega de subsidios millonarios a la multinacional Cargill, para que la comercializadora sacara del país miles de toneladas de maíz. Meses después, la economía nacional enfrentó una crisis por el desabasto del grano.

Confirma SFP desfalco en seguro popular

Erika Ramírez

Un expediente de la Secretaría de la Función Pública confirma las irregularidades cometidas por Juan Antonio Fernández Ortiz cuando estuvo al frente del programa estrella del gobierno foxista, Seguro Popular. El fucionario fue encontrado responsable de abuso de poder y desvío de recursos públicos en el proceso de credencialización en el que participaron Grupo Inbursa e Image Technology.

Como se las gasta el gobierno "para que vivas mejor":


La salud como política de contrainsurgencia

Nancy Flores / Rubén Darío Betancourt, fotos / enviados
Además de padecer niveles de pobreza similares a los del África subsahariana, los indígenas en resistencia civil de Chiapas sufren medidas de contrainsurgencia: al igual que los zapatistas, integrantes de Las Abejas tienen casi vetado el derecho a la salud.