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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 2 novembre 2007

La mort avait le permis des hommes politiques

Ce qui se passe à Tabasco est une honte!

Et malheureusement la mort parcours le Mexique, en touchant toujours des travailleurs comme le cas PEMEX pour négligence des compagnies prive il y a eu 23 morts. Des innocents à Tabasco, la nature oui, mais était une catastrophe annonce et qu’aurait pu être prévenue si les hommes politiques n’auraient pas volée l’argent pour faire les chantiers nécessaires, je vous dit l’argent était la ça fait des années de cela alors plus que la nature c’est la faute humaine et des hommes avec prénom que pour négligence , corruption et l’insensibilité ont occasionne une catastrophe de grand ampleur avec l’aide de la nature

Corrupción y tragedia

Noubel obs

Inondations : la capitale de Tabasco évacuée


Un million de personnes sont touchées dans cet Etat du sud mexicain, à 80% sous les eaux, mais seule une personne est décédée.

Les inondations dans l'Etat de Tabasco au Mexique (AP)

Les inondations dans l'Etat de Tabasco au Mexique (AP)

Le centre de la capitale de l'Etat mexicain de Tabasco, Villahermosa, dans le sud du pays, a été évacué dans la nuit de jeudi 1er au vendredi 2 novembre par l'armée, après la rupture de digues provoquée par des inondations historiques. Elles affectent un million de personnes dans cet Etat.
Le président mexicain Felipe Calderon, devant une situation "extraordinairement grave", a lancé un appel à la solidarité nationale dans un message à la nation. L'Etat du Tabasco a été "dévasté", selon son gouverneur Andres Granier. 80% des terres sont sous l'eau et les rivières continuent à monter. Jeudi soir, cependant, seul le décès d'une personne morte mercredi a été signalée
Villahermosa compte 750.000 habitants. Elle s'est retrouvée en partie paralysée et des habitants fuyaient les eaux qui ont envahi le centre historique, selon les médias mexicains.

Abris aménagés

Les patients et le personnel du principal hôpital de la ville ont été aussi transférés hors de la capitale régionale. Certains malades ont été transportés par voie aérienne vers des cliniques d'Etats voisins.
Parmi le million de sinistrés de l'Etat, environ 30.000 ont été recueillis dans des abris aménagés par les administrations de l'Etat. Par ailleurs, "300.000 autres se trouvaient encore bloqués par les eaux dans leurs habitations dans plusieurs localités", dans l'attente d'hélicoptères et canots de sauvetage de l'armée, a indiqué le gouvernement de Tabasco dans un communiqué.
"Sur les 2,1 millions d'habitants de l'Etat, plus de la moitié est affectée par ce problème gravissime, jamais connu dans l'histoire du Tabasco", a souligné jeudi soir le gouverneur Andres Granier.

Récoltes perdues

"En comparaison, la Nouvelle-Orléans, c'était petit", a-t-il ajouté, en référence aux inondations dans le sud des Etats-Unis, provoquées par le cyclone Katrina en 2005 et qui avaient fait environ 1300 morts. Selon lui, "100% des récoltes ont été perdues".
"Le niveau des cours d'eau continue d'augmenter et le barrage de Penitas, dans l'Etat voisin du Chiapas, déverse toujours un peu plus de 2.OOO mètres cubes d'eau à la seconde", a affirmé de son côté un responsable du gouvernement du Tabasco, Juan Molina, sur à la radio Formato 21.
Et les prévisions météorologiques n'annoncent pas de répit, au moins jusqu'au week-end.

Risques d'épidémies

Dans l'Etat voisin du Chiapas, les autorités locales ont déclaré l'état d'urgence dans 22 communes.
Environ 400 médecins et secouristes se sont déployés dans 308 localités, parmi les plus affectées pour prévenir des risques d'épidémies, ont indiqué de leur côté les services de protection civile du Tabasco.
Selon le gouvernement local, plus de 850 localités ou villages des 17 municipalités de la région, soit un total de 2 millions d'habitants, sont affectés et toutes les récoltes ont été perdues.

"Une des pires catastrophes naturelles"

"La situation est extrêmement grave: c'est l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire de notre pays", a déclaré le président Felipe Calderon jeudi soir lors d'un discours télévisé. Il a appelé les Mexicains a offrir de l'eau en bouteille, des conserves et d'autres produits de première nécessité aux centres de dons pour les sinistrés. Felipe Calderon s'était rendu sur place mercredi.
Après une semaine de fortes précipitations, la pluie a cessé jeudi, mais les météorologues prévoient une nouvelle aggravation dans les prochains jours. Ces inondations ne sont pas dues à la tempête tropicale Noël, devenue ouragan, qui a balayé les Caraïbes.
Le fleuve Grijalva, l'un des deux cours d'eaux entourant Villahermosa, a vu son niveau monté de deux mètres au-dessus de son seuil "critique" et s'est déversé dans le centre-ville.
L'Etat du Chiapas, au sud de celui de Tabasco, a également connu d'importantes inondations, qui ont affecté plus de 100.000 personnes, selon les autorités

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Jour de morts au Mexique

Ca fait quelques petits jours qu’on était plus et nous revoilà, avec des nouvelles sur le Mexique pas toujours chouettes, on commence pour le jour de morts et u n bon article apparu dans RFI


Le Mexique fête ses morts dans la joie

Au Mexique, la fête des morts est une sorte de carnaval où la mort n’est pas l’adversaire de l’homme mais son partenaire de jeu. Sans crainte ni tristesse, le Mexicain s’en amuse avec une délicieuse ironie, beaucoup d’humour et de sarcasmes. Chaque village a ses traditions et même les cimetières des grandes villes comme ceux de Mexico ou de Guadalajara, retrouvent à cette occasion les traditions rurales. Les fêtes de la Toussaint sont en effet l’occasion pour les habitants de ces grandes villes de retrouver leurs racines.

De notre correspondant au Mexique, Patrice Gouy

A 80 km de Mexico, Tlayacapan a su conserver ses racines indiennes et coloniales sans tomber dans l'exotisme bon marché. Cette charmante bourgade dans l’Etat du Morelos, dégage une atmosphère très particulière, magique, qui tient sans doute au mélange harmonieux de l’architecture coloniale et vernaculaire qui s'organise autour d’un immense couvent -forteresse du XVIe siècle. Au Mexique, les ordres religieux, Jésuites et Dominicains, ont inventé le style baroque. Intelligemment, ils ont souvent laissé libre cours aux fantaisies des artistes indigènes pour marier christianisme et croyances locales : l'Ancien et le Nouveau Monde s'associant alors pour poser chacune des pierres de ces édifices. Certains parlent d'art métis.

Tradition et syncrétisme

A Tlayacapan, la présence indienne s'exprime encore dans les traditions, en particulier au cours des cérémonies de la fête des morts dans la nuit du 1er au 2 novembre. Tlayacapan, qui signifie en langue indigène « le nez de la terre », possédait son rituel funèbre bien avant l'arrivée des Espagnols. Le village a été construit sur une ancienne cité aztèque, les 21 pyramides ont été détruites par les Espagnols et remplacées par 21 chapelles baroques, chacune ayant ses saints catholiques qui ne sont, en réalité, que les substituts des dieux païens. Avec l'évangélisation, les croyances, les dieux, les temples indigènes, estimés alors idolâtres, furent détruits mais le culte des morts, qui ressemblait au fond à celui de la religion catholique, s'est perpétué. Indigènes et religieux ont conservé l'illumination et la décoration des tombes ainsi que les offrandes de nourriture qui constituent une sorte de communion.

On passe la nuit au cimetière

La fête des Morts est l’occasion de resserrer, autour des ancêtres disparus, les liens de la communauté. C’est pourquoi le 1er novembre, tout le village se rend au cimetière pour nettoyer les tombes et préparer les offrandes. On manie le pinceau, sans craindre l’utilisation de toute la palette des couleurs pour que tout soit prêt la nuit pour la grande cérémonie. Chacun vient alors avec ses offrandes, allume les bougies. Les mères installent sur la pierre tombale les plats préférés des défunts : mole au chocolat, pozoles, tamales et enchiladas. On s’invite d’une tombe à l’autre. On y boit beaucoup de tequila et de mezcal, on s’interpelle, on se réconcilie, on s’aime, jusqu’au petit jour. Les tombes croulent sous les brassées de fleurs : crêtes-de-coq rouges et cempasuchils, des fleurs orange qui ressemblent à des zinnias et qui étaient considérées, au temps du Mexique préhispanique, comme la fleur des âmes mortes.

Des têtes de mort à peindre sont vendues pour les enfants.     (Photo : Patrice Gouy)
Des têtes de mort à peindre sont vendues pour les enfants.
(Photo : Patrice Gouy)

La mort qui se mange

Sous les arcades qui bordent la place du village, les boulangeries et les pâtisseries proposent le traditionnel pain des morts, de délicieuses brioches sucrées en forme d'angelots, mais surtout, bien alignés, des crânes ou des squelettes en sucre, des cercueils et des cadavres en chocolat qui font la joie des enfants. La tradition veut que l'on offre, à ceux que l'on aime, une tête de mort avec leur nom gravé sur le front ou... un petit cercueil ! Le prix Nobel de littérature Octavio Paz, dans « Le labyrinthe de la solitude », explique que « l'indifférence du Mexicain devant la mort se nourrit de son indifférence devant la vie. Ses chansons, ses fêtes, la sagesse populaire montrent sans équivoque que la mort ne l'effraie pas parce que la vie semble l'avoir guéri de la peur ».

La mort en musique

Les festivités s'accompagnent d’un festival de bandas de toutes les régions du Mexique. Il s’agit d’ensemble à vent et cuivres, qui jouent les grands airs ou les chansons traditionnelles. Le festival est ouvert par la banda Santamaria de Tlayacapan qui se rend au cimetière. Réunis autour de la tombe de Brigido Santamaria, le fondateur de cet ensemble d’agriculteur-musiciens plus que centenaire, tous ses descendants lui rendent un hommage qui se termine invariablement par la Marche triste de Berlioz.

Dans tout le village, on est sous le charme, dans une sorte de merveilleux solennel : sur les tombes se dressent les couronnes de fleurs, des bougies tapissent le sol, avec, aux quatre coins, des cierges blancs entourés de papier huilé, comme des cornets de fleurs, pour éviter que le vent ne les éteigne. Devant chaque maison est dessiné un chemin de pétales orange qui mène au cimetière afin de guider les âmes des défunts.