Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 30 novembre 2008

Linea Directa


El atentado contra Mourino

Sangre por petróleo
"A Mouriño lo mató la corrupción": SFP




El secretario de la Función Pública del gobierno espurio, Salvador Vega Casillas, acaba de hacer una declaración que puede permanecer en la historia como aquella de Salinas en su sexenio: "no se hagan bolas". Ha afirmado que "a Mouriño lo mató la corrupción", lo que es correcto. La impunidad en la corrupción pública y privada, como en el caso de los contratos de PEMEX, a la empresa de los Mouriño, Ivancar y los que Repsol obtuvo en forma muy beneficiosa para monopolizar el gas en la Cuenca de Burgos, desplazando a Halliburton, que tras la desaparición física de Mouriño "casualmente" acaba de concederle PEMEX un contrato por 36 millones de dólares para "exploración profunda". La corrupción es una de las sífilis del capitalismo. En todo caso, la declaración responde al ¿qué? pero no responde al interrogante que todo el país se hace acerca de ¿quién mató a Mouriño?

La ambición desmedida de Juan Camilo Mouriño, que no era parte de una característica personal sino reflejo de la feroz lucha económica por el control de jugosos mercados monopólicos entre el imperialismo estadounidense y sus emporios energéticos y el subimperialismo español a través de Repsol y Gas Natural, le llevó a tocar dos poderosos intereses del grupo Monterrey, las 39 familias oligárquicas del Consejo Mexicano de Hombres de Negocios y el Consejo Coordinador Empresarial, del Yunque, de las transnacionales petroleras gringas, en particular Halliburton y el lobby texano Bush-Cheany, y la Shell angloholandesa, así como de Carlos Salinas, Beltrones, el Jefe Diego y los cárteles asociados a ellos: el reparto de los bloques petroleros y la sucesión presidencial en 2012. El negocio más rentable en el país es el petróleo. Sólo es superado por otro gran negocio: llegar a Los Pinos y saquear todos los sectores económicos de México.
Leer completa

* * * * * *
YA DEJEN EN PAZ A JUAN CAMILO!

* * * * * * *

____________________________________________________________________


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/db/Tree_of_maya_languages.svg/600px-Tree_of_maya_languages.svg.png

Mexique: l'univers maya a travers son écriture


Finalement quelque chose qui ne parle pas de mafia et aléas....



L'écriture maya livre ses secrets

L'écriture maya


L
e 12 juillet 1562, Diego de Landa, évêque du Yucatan, fait allumer un grand bûcher sacrificiel. Il n'entend pas brûler des hommes, il veut brûler des livres. "Tous les livres de l'Amérique", résume Charlotte Arnauld, du laboratoire Archéologie des Amériques (CNRS et université Paris-I). Seuls trois codex en réchappent : ils sont aujourd'hui conservés à Paris, à Madrid et à Dresde. Mais outre la perte documentaire, l'autodafé de 1562 fait entrer l'écriture maya, utilisée depuis le Ve siècle avant notre ère, en clandestinité. Et il faudra attendre plus de quatre siècles pour qu'elle sorte de l'oubli et que les quelques milliers de textes mayas parvenus jusqu'au XXe siècle (inscriptions monumentales, textes sur céramiques, stèles, etc.) se remettent à parler.

(...)

Les glyphes mayas n'ont pas leur Champollion. A moins que ce ne soit Diego de Landa lui-même... Car le franciscain ne fut pas seulement un allumeur de bûcher. Il fut aussi un explorateur curieux. En témoigne un ouvrage écrit en 1566 à son retour en Espagne, Relation des choses du Yucatan, dans lequel il se livre à un minutieux travail d'ethnographe. Hélas, le livre se perd et il faut attendre 1862 pour qu'un abbé français, Charles-Etienne Brasseur de Bourbourg, en retrouve une copie intègre à l'Académie royale d'art de Madrid. Avec, dessinée et établie par Landa lui-même, la correspondance entre l'alphabet latin et un "syllabaire maya".

Bien sûr, c'eût été trop simple. "Diego de Landa a cru que le système d'écriture maya était alphabétique, ce qui s'est avéré faux, raconte le mayaniste Philippe Nondédéo. Mais, malgré cette erreur, cette ‘‘Pierre de Rosette'' qu'il a dessinée s'est ensuite avérée essentielle pour le déchiffrement." Au XIXe siècle, alors que les hiéroglyphes égyptiens et les cunéiformes de Mésopotamie abandonnent leurs secrets, on redécouvre les textes des chroniqueurs et missionnaires espagnols. "C'est aussi à cette période qu'on comprend le système de numération et de décompte du temps. Les Mayas comptent le temps à partir d'une date mythique, origine qu'ils placent en 3114 avant J.-C., dit Mme Arnauld. Cela compris, on peut commencer à dater les monuments, mais on ne comprend toujours rien aux textes..." Il faut attendre les années 1950 et 1960, pour que trois personnalités apportent des contributions décisives.

C'est d'abord un chercheur russe, Youri Knorosov qui, le premier, entrevoit le caractère dual des quelque 800 glyphes mayas - certains pouvant revêtir une valeur syllabique autant qu'une valeur logographique. C'est ensuite un amateur allemand, Heinrich Berlin, qui remarque l'existence de glyphes de nature "politique" - qu'il nommera glyphes-emblèmes - et dont chacun est associé au nom d'une cité.

(...)


Site de la Conférence maya européenne : http://wayeb.org

Stéphane Foucart