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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 11 mars 2009

Helioflores: Sin excepciones

y Mexico? James Petras

-Comentarios para Radio Centenario del sociólogo norteamericano James Petras

Ángeles: En el tema de las relaciones entre EE.UU. y América Latina, queríamos pedirte un análisis sobre lo que está pasando en México porque las noticias todos los días muestran un desarrollo muy importante del narcotráfico pero sobre todo lo que se muestra son acciones muy espectaculares, mutilaciones, hallazgo de muchos cadáveres, decapitaciones. Pero queda como en un segundo plano una realidad y es que EE.UU. se está metiendo cada vez más en México, incluso habla hasta del envío de marines

Petras: Hay una propuesta de unificar o vincular la presencia de tropas norteamericanas directamente con el ejército mexicano. El problema de fondo es que la quiebra en México, la quiebra de la agricultura, la masificación de pobreza especialmente entre la juventud, está muy vinculada con el tratado de libre comercio entre México, estados Unidos y Canadá. Este comercio desplaza a millones de mexicanos. Y en el grado que los EE.UU. construye barreras para que la población excedente mexicana no pueda salir de la pobreza en EE.UU., se queda, y sin ocupación y sin futuro quedan disponibles para el reclutamiento en la única industria que está floreciendo, que es la droga.
El crecimiento del tráfico y producción de droga está directamente vinculado con la caída del empleo y los ingresos en los sectores desplazados por el tratado de libre comercio.
Y sustituir la represión militar simplemente no funciona porque los mismos presupuestos estatales están en la baja y las oportunidades para los oficiales de corromperse en el comercio más dinámico que es la droga, es enorme. El problema no tiene ninguna solución. Aumenta en el estado la corrupción, la corrupción fomenta a los narcotraficantes. Hay una relación dialéctica: más crece el narcotráfico, más corrupción; más corrupción oficial, facilita el narcotráfico. En esta situación es un círculo vicioso y cada vez que ponen más soldados más intervienen en los conflictos.
Hay que decir una cosa: cuando matan o capturan narcotraficantes, muchas veces es porque los oficiales estatales están tomando partido por otro grupo de traficantes, es una forma de eliminar la competencia no que simplemente estén aplicando la ley de manera uniforme.
Hay un cartel en Chihuahua, otro en Tijuana, en Ciudad Juárez. Si uno quiere identificar hay sectores oficiales con unos y otros de los carteles incluso altos oficiales nacionales en el gobierno. Por eso nunca pueden solucionar este problema. Más que nada porque la depresión económica en EE.UU. incluso la salida de cientos de miles de mexicanos volviendo a México ahora sin trabajo allá en su país, va aumentar la violencia, la descomposición. No hay un movimiento mexicano urbano que pueda orientar este descontento. Andrés López, el candidato de la oposición, es un buen político electoralista, es socialdemócrata, pero no tiene ninguna solución frente a la crisis actual. El se está postulando para las próximas elecciones que faltan muchos años. Los zapatistas quedan en Chiapas, hacen lo que pueden, sobreviven con ayuda económica de las ONG. Grupos intelectuales en la ciudad de México hablan y escriben cosas interesantes pero están totalmente afuera de cualquier alternativa práctica con una base de masas. Es un país políticamente explosivo pero sin ningún canal político. Frente a eso, los traficantes ofrecen soluciones de corto plazo: un trabajo, un ingreso. Con muchos riesgos de perder la vida dentro de 2 ó 3 años.

Ángeles: Y la importancia de México al lado de EE.UU. hará que por supuesto se le preste una atención especial, diferente.

Petras: Sí, una atención pero sin soluciones. La militarización de México coincide con un aumento de asesinatos. Es evidente que el problema es socio económico y político y no militar. El gobierno de México puede multiplicar por 10 el número de soldados y no va a tocar el tema de fondo.

(...)


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ENTREVISTA CON: JAMES PETRAS.
CARGO: ESCRITOR, ENSAYISTA, PROFESOR DE SOCIOLOGÍA EN LA UNIVERSIDAD DE NUEVA YORK EN BINGHAMTON.
TEMA: ESTADOS UNIDOS ESTÁ EVALUANDO DE QUÉ MANERA PUEDE AYUDAR A MÉXICO A COMBATIR A LA DELINCUENCIA ORGANIZADA, EL TRÁFICO DE DROGAS Y ARMAS.





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Preciosa visita-Rocha

L’affaire Cassez et les autres

L’affaire Cassez

Mexilios ne se prononce pas sur la culpabilite ou pas de M. Cassez, vu qu’on n’a pas suivi le cas de cette citoyenne française jugée comme délinquante par la justice Mexicaine.

Mais on comprend bien la négative du peuple mexicain au rapatriement de Florence Casiez en France pour purger sa peine, pourquoi ?

Malheureusement en ce moment la justice au Mexique travaille a deux vitesses et avec deux poids, par exemple à un leader social qui n’a pas commis délit on l’accuse de « kidnappe » a fonctionnaire et la peine est de plus de cent ans ! Par contre un vrai kidnappeur est de 60 ans ! Incroyable quand même !

C’est le cas de : Ignacio del Valle, condamne a 112 ans de prison, son délit être leader social, défendre des vendeurs des fleurs en Atenco.

Le dernier scandale la détention arbitraire de trois femmes indigènes dont Jacinta Marcial, condamnée à 21 ans de prison en décembre pour avoir "séquestré six policiers ».

Alors on croit plus rien en venant des autorités mexicaines actuelles, pour sa manque de clarté et vu que le chef de la police Genaro Garcia Luna est soupçonne d’être lie au narco et a des kidnappeurs…..

En écrivant ca on trouve un article apparu dans Rue 89, voila le lien si vous êtes intéresses :

Florence, Jacinta, Ignacio : ainsi va la justice au Mexique | Rue89


Tiempo de canallas-Fisgón


Entre Paris et Mexico, le sort de Florence Cassez



O
fficiellement, le sujet ne figure pas à l'agenda, et la relation entre les deux pays est censée être "sans nuage". Pourtant, le voyage au Mexique du président Nicolas Sarkozy et de son épouse, Carla Bruni - d'abord dans un cadre privé, du 6 au 8 mars, puis avec tout le faste d'une visite d'Etat, le lundi 9 mars -, sera marqué par les ombres et les lumières de l'affaire Florence Cassez.

Cette jeune Française a été lourdement condamnée par la justice mexicaine pour complicité avec une bande de malfaiteurs dans des enlèvements. Mais elle persiste, après plus de trois ans de détention, à clamer son innocence. Le 3 mars, le magistrat chargé de réviser le dossier en appel a réduit la sentence de 96 ans de réclusion, prononcée en mai 2008, à 60 ans.

La peine reste très sévère, même dans le contexte mexicain. En France, elle a suscité une tempête médiatique.

M. Sarkozy, qui a reçu jeudi le père de Florence Cassez et son avocat français, Franck Berton, se voit sommé d'endosser une nouvelle fois le rôle de libérateur qu'il avait joué en 2007, en faveur des infirmières bulgares et du médecin palestinien condamnés à mort en Libye.

Son homologue mexicain, Felipe Calderon, doit quant à lui ménager une opinion très sensible au fléau des enlèvements (8 000 par an et en hausse de 150 %, selon les autorités), mais aussi des alliés politiques importants.

Même si Paris se garde de parler d'erreur judiciaire, les défenseurs de Florence Cassez soulignent les inconsistances du dossier. Il y a d'abord son "arrestation", mise en scène par la police au profit des médias, le 9 décembre 2005, dans un ranch de la région de Mexico, alors que la jeune femme avait été arrêtée la veille sur une autoroute, avec son ancien fiancé, Israel Vallarta. Encore en attente d'être jugé, celui-ci est accusé d'une dizaine d'enlèvements et de deux assassinats. Selon ses premières déclarations, Florence Cassez ignorait ses activités criminelles.

"Il est grave que, dans un pays en train de construire sa démocratie, la justice commence à instruire un procès sur la base d'un mensonge", rappelle l'un des avocats mexicains, Agustin Acosta.

Les condamnations fondées sur des preuves falsifiées ou des aveux arrachés sous la contrainte, sont fréquentes au Mexique, surtout lorsque les accusés sont pauvres et indigènes. Plutôt que d'entamer des recours judiciaires, la fondation caritative du milliardaire Carlos Slim a tiré de prison des milliers d'entre eux en payant une caution.

Une des trois victimes libérées le 9 décembre 2005 avait incriminé la Française, assurant que celle-ci avait menacé de le mutiler et l'avait piqué au doigt. Mais à l'expertise, la trace d'une prétendue cicatrice de piqûre s'avérera être une tache de naissance. Les deux autres victimes, Cristina Rios et son fils de 11 ans, n'avaient alors pas reconnu Florence Cassez, malgré son physique européen et son accent.

Mère et fils ont modifié leur témoignage en février 2006, quelques jours après que Florence Cassez, lors d'une intervention téléphonique depuis sa prison, eut mis en difficulté le directeur de l'Agence fédérale d'investigation, Genaro Garcia Luna, au cours d'une émission de télévision en direct, en dénonçant certaines incohérences de l'accusation. Or M. Garcia Luna est devenu depuis le ministre de la sécurité publique, soit un acteur-clé de la bataille de M. Calderon contre le crime organisé.

Certains médias mexicains ont vivement réagi à ce qui est perçu comme une ingérence de la France. La chaîne Televisa, qui produit plus de 80 % des informations accessibles au grand public, a manipulé des archives afin de présenter la condamnée sous un jour défavorable. Le quotidien Reforma a publié vendredi à la "une", quelques heures avant l'arrivée de M. Sarkozy, l'appel de Cristina Rios : "Ne laissez pas partir celle qui m'a séquestrée !"

PURGER SA PEINE EN FRANCE

En page intérieure, un caricaturiste a représenté M. Sarkozy, accompagné de son épouse, en train de plaider en ces termes la cause de sa compatriote : "Jolie, étrangère, ambitieuse, sans scrupules et séduite par un amant voyou... c'est vraiment un délit ?", plaçant implicitement le président français au même niveau qu'Israel Vallarta.

Mme Rios, qui vit désormais aux Etats-Unis par crainte, dit-elle, de représailles des criminels, s'indigne de ce que Florence Cassez puisse purger sa peine en France, si elle renonçait à se pourvoir en cassation et demandait à être transférée en vertu de la convention du Conseil de l'Europe, signée par le Mexique. Mercredi, au cours d'entretiens accordés au Monde et à l'AFP, M. Calderon avait lui-même indiqué cette voie juridique, ce que Paris a salué comme un geste d'apaisement. L'Etat qui accueille le détenu rapatrié s'engage à poursuivre l'exécution de la condamnation, mais a aussi la latitude de la convertir par une procédure judiciaire ou administrative.

Cet épineux dossier devait être abordé dès dimanche soir, au cours d'une rencontre privée entre les deux couples présidentiels.

Joëlle Stolz

Turistas en un Estado fallido-Helguera

Pathétique!

Les regards des fonctionnaires mexicains quand la belle passe....



Carla Bruni, esposa del presidente Nicolas Sarkozy, arriba a Palacio Nacional, donde Felipe Calderón encabezó una ceremonia de bienvenida al mandatario europeo. Atrás, los secretarios Genaro García Luna y Agustin Cartens

http://www.jornada.unam.mx/2009/03/10/


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