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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 5 janvier 2007

Dans le monde.......

Les aventures mexicaines de Sarah Ilitch, une Française dans le chaudron d'Oaxaca LE MONDE | 04.01.07 | 14h25 • Mis à jour le 04.01.07 | 14h25

Sarah Ilitch se souvient de tout, du moindre détail de cette pièce sinistre aux murs vides, mangée par la poussière. De ces cinq policiers mexicains du commissariat d'Oaxaca debout, face à elle, les visages masqués par des cagoules. De cette femme surtout, la seule de cet escadron anonyme, qui n'en finit pas de lui crier les mêmes questions, les poings levés en signe de menace "Non", Sarah Ilitch n'a pas de "noms de rebelles à donner". Elle ne connaît pas les dirigeants de ce mouvement insurrectionnel qui secoue Oaxaca depuis des mois. Cette jeune Française de 22 ans est venue comme "simple touriste". Et dit avoir peur. Les deux amis qui l'accompagnaient au moment de son arrestation l'ont précédée dans cette même cellule. Ils ont été battus, elle en est sûre.Sarah Ilitch est aujourd'hui en France, raccompagnée, voilà plus de trois semaines, par deux agents des services de la migration mexicaine à bord d'un avion d'Aeromexico. Expulsée comme une étrangère en situation irrégulière.Etudiante en droit et originaire de Nice, elle dit n'avoir jamais été militante, être partie au Mexique en septembre 2006 dans l'idée de parcourir le pays, avec la simple intention de passer voir un ami espagnol installé à Oaxaca. Elle n'a alors, insiste-t-elle, aucune notion de la crise sociale et politique qui secoue la région.La jeune femme découvre une ville en état de siège, occupée depuis juin 2006 par des grévistes organisés en Assemblée populaire du peuple d'Oaxaca (APPO). Ils luttent pour obtenir la démission du gouverneur Ulises Ruiz, "le tyran". Sarah croise des étudiants venus d'Europe et d'Amérique du Nord. "Pas toujours des militants, souvent des anarchistes", glisse-t-elle. Elle se prend au jeu, embrasse le mouvement, "forcément". Au mois de novembre, elle se trouve au milieu des affrontements avec les forces fédérales. Elle aide les manifestants, apporte de l'eau, du vinaigre et du Coca Cola pour atténuer les effets des lacrymogènes. Le 25 novembre, les forces fédérales parviennent à reprendre le centre-ville.C'est là, dans les jours qui ont suivi, qu'une patrouille de la police coffre Sarah et deux amis mexicains. Au lendemain de l'interrogatoire, un agent l'accuse d'avoir incendié une moto des forces de l'ordre lors de son arrestation. Son sac à dos est posé au milieu de la salle avec, bien en évidence, deux lance-pierres qui ne lui appartiennent pas. Le policier lui tend une feuille blanche, l'intime de signer si elle veut sortir. Sarah s'exécute.Trois jours plus tard, elle se retrouve dans l'avion, un vol direct pour Paris. Depuis, elle a appris que la plupart de ses amis se cachent à Mexico. Tous, dit-elle, sont touchés par une vague de répression qui a suivi l'évacuation d'Oaxaca. Il y a deux jours, la jeune femme a reçu un courrier des services de la migration de Mexico indiquant qu'elle était interdite de territoire pour une durée de cinq ans pour "activités illicites"
Nicolas Bourcier

Internet

El sueño robado de una información igualitaria
Bemoles del milagro internet

por Eric Klinenberg

Se tiende a identificar a internet con un medio de libertad absoluta, porque finalmente permitiría que todos -con la condición de pertenecer a las categorías pudientes del mundo rico- reciban información a medida que se produce y difundan a su vez hacia el planeta entero noticias, y sobre todo comentarios personales. De alguna manera, el medio ideal que libera de los tentáculos de la propaganda y el dinero. ¿De veras?

Los directivos estadounidenses de los conglomerados mediáticos y sus aliados en el Congreso utilizan el argumento de la diversidad de la información en internet para sostener que las leyes que regulan los medios de comunicación tradicionales (old media) se habrían vuelto obsoletas. “¿Cómo podría un conglomerado, aunque posea el diario de la ciudad, una de las cuatro cadenas de televisión nacionales (NBC, CBS, ABC, Fox y ocho canales locales monopolizar el mercado de la información cuando internet ofrece tantas opciones a los consumidores?” Investigador en la Fundación Heritage (ultraderecha), James Gatuso llegó a pretender que los umbrales de concentración perjudicaban al público: “Más que enfrentarse a medios de comunicación en posición monopólica, los consumidores se encuentran frente a una opción sin precedentes y casi desconcertante. La verdadera amenaza reside para ellos en las restricciones obsoletas e inútiles, que corren el riesgo de limitar los progresos tecnológicos y de los mercados de la información, y en consecuencia las ventajas que estos progresos pueden procurarles”.

Una postura semejante había inspirado las prioridades del ex presidente de la Comisión Federal de Comunicaciones (FCC, según sus siglas en inglés), Michael Powell, quien explicaba: “Contrariamente al discurso imperante sobre los medios de comunicación, pienso que tenemos tantos que estamos desbordados. Les aseguro que con todo lo que se recibe, no puede suceder en el mundo ningún hecho importante sin que nos enteremos a los veinte minutos. Me basta con ir a Google News para poder elegir entre 4.000 fuentes de información en el mundo. La perspectiva que esto me ofrece es fascinante”.

Por cierto, la proliferación de contenidos transformó el funcionamiento de los medios de comunicación. Pero no podemos limitarnos a este enunciado, ya que según el Centro para el Futuro Digital de la Universidad de California del Sur, el 21 % de la población estadounidense no utilizó internet ni una sola vez en 2005 y el 33 % carece de conexión en sus hogares. Finalmente, entre quienes sí la poseen, menos de la mitad dispone de un servicio de alta velocidad que permita acceder fácilmente a los archivos de sonido e imágenes.

Texto completo en la edición impresa de enero-febrero de 2007.
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Bonne année!!!!!!

Tarde pero sin sueno.
Esperamos que les vaya bonito a todos.