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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 22 octobre 2007

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Las bondades del FMI

  • Impulsan la creación de un fondo financiero regional

Naciones de AL, por decir adiós al FMI y al BM

  • En la cita en Washington llueven críticas a los dos organismos
  • "Exigentes con países en desarrollo y complacientes con potencias"
  • Venezuela: la nueva entidad complementaría al Banco del Sur

Roberto González Amador, enviado, y David Brooks, corresponsal

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La novedad del dia, y el FMI descubre el agua tibia........

  • "Tasa muy modesta" de crecimiento nacional

Reportan BM-FMI una "extraordinaria concentración" de la riqueza en México

  • Hay "lenta disminución de la tasa de pobreza", afirman
  • Plantean que es necesario atacar la enorme desigualdad
  • Se deben garantizar condiciones mínimas de salud, señala
  • FMI y BM advierten también que disminuye a ritmo menor que en otras regiones

Roberto González Amador y David Brooks

Merci le FMI et la BM

Courrier international

Vingt ans d'erreurs en Afrique

Alors que démarrent les assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Washington, une évaluation interne implacable dénonce les politiques menées par la Banque dans le secteur agricole des pays d'Afrique subsaharienne. Compte rendu.










La Banque mondiale, financée par les Etats riches pour réduire la pauvreté dans les pays pauvres, a longtemps négligé l'agriculture dans une Afrique subsaharienne accablée de misère, où la plupart des habitants dépendent de ce secteur pour vivre. C'est ce qui ressort d'une nouvelle évaluation interne de la Banque, consultable sur son site Internet depuis la semaine dernière. L'étude a été menée par une unité interne qui a évalué toutes les activités de l'organisation, et qui est responsable devant son conseil d'administration et son président, mais pas sa direction.

Dans les années 1980 et 1990, lorsque les gouvernements africains étaient confrontés à de graves crises budgétaires, la Banque a fait pression pour que le secteur public, souvent mal géré et inefficace, se retire de l'agriculture, en supposant à tort que les mécanismes du marché donneraient un coup de pouce à la croissance agricole. Résultat, selon l'étude, les paysans se heurtent maintenant à des obstacles concrets : prix exorbitants des engrais, manque de crédits et pénuries de semences améliorées. Depuis quelques années, les rendements des cultures céréalières en Afrique subsaharienne ont été inférieurs de moitié à ceux de l'Asie du Sud et d'un tiers à ceux de l'Amérique latine.

Alors que le débat s'intensifie sur la stratégie à adopter pour combattre la faim en Afrique, l'équipe d'évaluation recommande que la Banque, premier bailleur de fonds pour l'agriculture africaine, s'efforce avant tout d'aider les agriculteurs à se procurer des moyens indispensables pour cultiver et commercialiser davantage de produits alimentaires : engrais, semences, eau, crédits, routes. Une critique qualifiée de "cinglante et accablante" par le Pr Jeffrey Sachs, de l'université Columbia, à New York.

Mais la direction de la Banque, dans sa réponse écrite à l'analyse, a exprimé ses divergences de vues sur certains points ; elle fait une interprétation plus optimiste des données sur la croissance agricole. Néanmoins, elle assure avoir anticipé la principale recommandation de ses auteurs, à savoir investir davantage dans l'agriculture en Afrique subsaharienne. D'après le rapport, les prêts qu'elle a accordés à cette fin, qui étaient tombés à 123 millions de dollars en 2000 contre 419 millions de dollars en 1991, sont passés à 295 millions de dollars en 2005 et 685 millions de dollars en 2006. "Nous sommes d'accord sur l'idée générale de l'évaluation", assure le vice-président pour la région Afrique. "Ce que nous voulons souligner, c'est qu'une évaluation porte toujours un regard rétrospectif."

Tout en prenant acte de l'accroissement récent de l'aide, Vinod Thomas, qui a dirigé le Groupe indépendant d'évaluation, regrette le mauvais usage qui a été fait du financement limité de l'agriculture. "Les prêts accordés par la Banque ont été 'saupoudrés' sur diverses activités agricoles comme la recherche, l'agrandissement, le crédit, les semences et les réformes dans l'espace rural, mais sans reconnaître vraiment les synergies possibles entre elles afin de contribuer efficacement au développement agricole", a-t-il écrit.

Selon le rapport, la Banque, qui emploie environ 10 000 personnes, n'a affecté l'année dernière que 17 experts techniques au service qui traite du développement agricole et rural en Afrique subsaharienne. La stratégie de la Banque dans les années 1980 et 1990, qui consistait à encourager les gouvernements africains à réduire ou à supprimer les subventions pour les engrais, à libérer les prix et à privatiser, a peut-être amélioré la discipline budgétaire, mais elle n'a pas fait grand-chose pour la production alimentaire, estime le groupe d'évaluation.

On avait espéré que l'augmentation des prix des produits agricoles encouragerait les paysans à accroître les cultures, tandis que la concurrence entre négociants privés réduirait les coûts des semences et des engrais. Mais ces mécanismes du marché n'ont pas fonctionné comme prévu. "Tout reposait sur l'idée que si on cessait d'intervenir en faveur des plus pauvres d'entre les pauvres, les marchés résoudraient les problèmes", commente le Pr Sachs. "Mais les marchés ne peuvent pas, et ne veulent pas, prendre le relais quand les gens n'ont rien. Si on supprime l'aide, on les laisse mourir."

Celia W. Dugger
The New York Times

Hier : "Vous devez vous réformer."
Aujourd'hui : "Vous devez vous réformer."

FMI, La jornada opine

Le courrier international

Le FMI, refuge de politiciens en disgrâce


DSK en conférence de presse, le 1er octobre
AFP

"La désignation de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI montre qu'il faut considérer cet organisme international comme un refuge pour politiciens en disgrâce puisque, comme son prédécesseur, l'aznariste Rodrigo Rato, Strauss-Kahn a été vaincu dans les sphères de son propre parti", s'exclame La Jornada dans son éditorial.

Pour le quotidien de gauche mexicain, fervent militant antilibéral, "cette désignation souligne le contrôle antidémocratique et exclusif exercé par les Etats-Unis et l'Europe occidentale d'un commun accord sur les principaux organismes financiers internationaux : Washington se réserve de nommer les dirigeants de la Banque mondiale et l'Union européenne exerce le même privilège sur le FMI."

"La succession Rato - Strauss-Kahn ne change rien au fonctionnement du principal organisme financier multilatéral dont les directives ont causé tant de catastrophes économiques, sociales et politiques en Amérique latine. Face aux turbulences financières amplifiées par la globalisation, le FMI n'a pas d'autres remèdes que de sacrifier les secteurs majoritaires de la population, tranquilliser les investisseurs – surtout étrangers –, diminuer le secteur public, congeler les salaires et libérer les prix. Dominique Strauss-Kahn semble être l'homme indiqué pour continuer à donner ce genre de conseils", écrit La Jornada.

"Ce n'est donc pas un hasard si de plus en plus de gouvernements latino-américains, parvenant à la conclusion que le FMI n'apportait rien de bon à l'économie de leurs pays, ont soldé leurs dettes avec lui et se sont libérés de ses règles amères."

la mano mocha
Monosapiens mon-1616lamano.jpg

Esto no es cortina de humo, pero quema!

El Plan Mexico

De Astillero


Los montajes que se viven en las alturas, con Chente en el torbellino y el perredismo colaboracionista en la confrontación con López Obrador, dejan en segundo término un asunto central para el país, como es el acuerdo entre la Casa Blanca y Los Pinos que ya es conocido como Plan México, por su similitud con el que en Colombia ha permitido que Estados Unidos tome el control directo, con tropas en la nación sudamericana, de la “lucha” contra el mercadeo de drogas y los grupos contrarios al régimen. Según medios extranjeros, es cuestión de horas para que los gobiernos de Bush y Calderón informen que destinarán mil 500 millones y 7 mil millones de dólares, respectivamente, para trabajar juntos en términos militares, aunque en teoría no habrá presencia armada estadunidense en México (tesis tan falsa, en la práctica, como la que prohíbe que haya agentes gringos armados en México para asuntos de narcóticos y policías extranjeros infiltrados en grupos delictivos mexicanos).

El Plan México está diseñado para contener la “ola” izquierdista latinoamericana, pues Estados Unidos pretende convertir a sus “vecinos amistosos” en estaciones militares de control de flujos migratorios y en plataformas de eventuales operaciones castrenses contra gobiernos como el venezolano, que a la Casa Blanca le parece que “se ha pasado de la raya” en cuanto a compra de armamento.

Los escándalos de la iglesia Mexicana

La república

Duro y tupido
Una jerarquía en apuros

Humberto Musacchio

La jerarquía católica ya no siente lo duro sino lo tupido. En medio de los escándalos por abuso sexual de sacerdotes, aparece un libro de Sanjuana Martínez que pone en la picota a más de un dignatario: Prueba de fe. La red de cardenales y obispo en la pederastia clerical (Ed. Planeta, 2007).
El libro de la periodista es producto de una amplia investigación en la que quedan mal parados los cardenales Norberto Rivera Carrera y Juan Sandoval Iñiguez, Guadalupe Martín Rábago, arzobispo de León, y otros eclesiásticos que ocupan posiciones relevantes dentro de su Iglesia y que están involucrados, por una u otra razón, en los casos de abuso sexual contra niños y jóvenes.
Por supuesto, los involucrados deben creer —viven en un ámbito donde las creencias son definitivas— que sus delitos y complicidades quedarán impunes, como ocurrió con la larga cadena de tropelías de Marcial Maciel, el superior de los Legionarios de Cristo y protegido de Karol Wojtyla.
Sin embargo, avanza en Estados Unidos el proceso que involucra a Rivera Carrera y en el que ha sido señalado como protector de un sacerdote que abusó de más de 90 niños, tanto en la diócesis de Tehuacán, en tiempos en que Rivera Carrera fue obispo de esa circunscripción, como en la de Los Angeles, a donde mandó al pecador para ponerlo a salvo.
En el caso de Sandoval Iñiguez, cabeza de los sectores más fanáticos y agresivos de la Iglesia católica, a los atentados contra manifestaciones artísticas y al empleo abusivo del asesinato de su antecesor para golpear a Jorge Carpizo y otros personajes, se suma ahora la protección que brinda a la pederastia ensotanada, para la que existe la Casa Alberione de Guadalajara —denuncia Sanjuana Martínez—, una especie de refugio que tiene cara de clínica médica.
En medio de esos numeritos, de repente viene el secretario de Relaciones Exteriores del Vaticano a pedir más libertad religiosa, actitud solapada por el gobierno federal, y aquí, en León, el arzobispado se lanza contra la Iglesia Católica Tradicional México-Estados Unidos, a la que llama idolátrica porque en ella se rinde culto a la Santa Muerte, “especie de amuleto o ídolo falso” dice la mitra leonesa, como si hubiera alguien capaz de extender certificados de autenticidad a ídolos y amuletos.
Lo cierto es que la Iglesia católica pierde batallas y se reduce de manera constante el número de sus ministros y su feligresía. Para detener su caída, requiere de algo más que la complicidad de los panistas: necesita de un milagro.

hum_mus@hotmail.com

Le Vatican, l'argent et le pouvoir / El Vaticano el dinero y el poder

UN libro sobre el Vaticano, pero en frances:

http://deuxbabylones.ifrance.com/vatican.htm

LE VATICAN, L’ARGENT

ET LE POUVOIR

Frédéric Harcourt

Mise en page par Jean Leduc

Le Gouvernement de l'Église:

1- Saint-Siège et Vatican

2- La Curie

3- Évolution

4- Dicastères

5- Bilan

6- Le Secrétaire d'État

7- Diplomatie

8- Gérontocratie et Cumul

9- Ostpolitik

10- One Man Show

11- Nord-Sud

12- Conformisme de Masse

13- Évêques et Cardinaux

L'Économie du Saint-Siège:

14- Le Governatoro

15- Le Pape Patron

16- A.P.S.A.

17- Le Patrimoine

18- Spéculation

19- Le Sac de Rome

20- Le Patrimoine Culturelle

21- Denier de Saint-Pierre

Les Finances Secrètes:

22- Valeurs Boursières

23- Rerum Novarum

24- Ernesto Pacelli

25- Michelle Sindona

26- I.O.R.

27- Sindona aux Amériques

28- Cosa Nostra

29- Le Procès

30- Histoire de P2

31- Trafics

32- Carlo Pesenti

33- Avions Renifleurs

34- Finances Blanches

Appendice 1

35- Criminalité Internationale

Appendice 2

36- Vatican et Palestiniens

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Intervención del sacerdote Enrique de Castro en el Simposio Internacional "Pobre Mundo Rico"
“El Vaticano tiene que desaparecer: allí no pueden ir los pobres, sólo los Jefes de Estado"

El sacerdote de Vallecas afirma que "la pobreza es un negocio para el capital"

Resaltó la existencia de una pobreza mantenida y asistencial: “Planteamos la pobreza como algo que hay que mantener asistencialmente con limosna”, pobreza que además ha sido convertida en negocio por el capital.

Iglesia del poder e Iglesia de base

Para comenzar a hablar de la Iglesia el Cura de Vallecas, Enrique de Castro, matizó la necesidad de considerar que no hay sólo una: “existe una concepción desde el poder y otra desde el pueblo, de base”, posturas que no coinciden entre sí. La iglesia del poder -señaló- no refleja el espíritu de Jesús en lo que ofertaba al pobre. Hay pues –explicó- dos posturas en lucha, y hablar de la pobreza conlleva considerar ambas.

La primera –que tiene su máximo exponente en el Vaticano- nos presenta a un Dios vengativo, duro, mientras que en la Iglesia de los Pobres de Jesús se muestra una faceta diferente: “un Dios que dice no a la ley y que no es mediación para el Ser Humano”; en la primera media el Templo, en la segunda “lo que es mediador es que el ser humano recupere su fe”. Señaló un gesto que es muestra de la revolución: “una mesa donde todos nos podemos sentar, la mesa de la subversión, en la que se sientan borrachos, prostitutas y pecadores” una mesa en la que no hay diferencias y se erige como “mesa de la igualdad”.

Comportamiento ante pobreza: asistencia social

En lo que respecta al comportamiento ante la pobreza indicó que “Estamos en una sociedad en la que existe inquietud” -explicó-, en la que nada nos convence, ni siquiera las ONGs (que se presentan como “correas de transmisión del gobierno”), en la que creemos que la asistencia social es lo que funciona. En cambio, “derivar la pobreza en asistencia es mantenerla”. “Planteamos la pobreza como algo a lo que tenemos que atender asistencialmente con una limosna”, puso de manifiesto así la importante pregunta “¿es justa la caridad de la Iglesia?”

Los ricos no confían en sí mismos

En su intervención Enrique de Castro refirió también el espíritu en la pobreza y en la riqueza, señaló así la diferencia entre el rico y el pobre que es ‘la confianza en sí mismo’: “El rico no confía en su desnudez”, porque somete su confianza a factores externos como el dinero, el pobre en cambio confía en si mismo porque no tiene nada. “Un pobre es un ser tan estéril que sólo sirve para que un rico haga méritos para ganar el cielo”, señaló.

“La liturgia de la iglesia oficial está vacía, es separadora y divide”

En sus alusiones a la liturgia oficial, enfatizó, por un lado el carácter discriminatorio y jerárquico de la Iglesia concebida desde el poder, que separa (los paños son sagrados, el cura se viste de manera diferente), y que no abre las puertas a los pobres. Además indicó que de ella deriva la fuerte pobreza mantenida. “La liturgia de la mesa de Jesús era en cambio un desafío”: en ella se sentaban todos por igual.

De ese carácter jerárquico se extrae que en al Vaticano “no puedan ir los pobres, sólo los Jefes de Estado, y es por eso –apuntó- que “tiene que desaparecer”. Señaló así la intención de “poner en evidencia a una jerarquía que ha dado la espalda al pueblo”.

La pobreza: un negocio para el capital

En otro sentido, y refiriendo otra idea reiterada en otras conferencias y mesas de “Pobre Mundo Rico”, señaló que “la pobreza no es sólo fruto de la injusticia, se ha convertido en un negocio para el capital”. Indicó cómo por un niño pobre de nuestro país el Estado paga 65.000 pesetas diarias, que no recibe el niño; negocio que empieza a denominarse ‘mercado de la solidariedad’ y en el que ni las ONGs inspiran confianza.

Club Internacional de Prensa
www.clubinternacionaldeprensa.org
www.pobremundorico.org

Sarkozy : ensemble, c'est fini

Courrier International
Ce 18 octobre, le gouvernement Fillon-Sarkozy affronte sa première grande grève, lancée par les syndicats de la RATP et de la SNCF pour protester contre la réforme des régimes de retraite. Au même moment, les rumeurs sur le divorce du couple Sarkozy commencent à acquérir le statut d'information : l'épouse du président a entamé une procédure juridique en déposant au tribunal de Nanterre une requête de séparation à l'amiable.
18 oct. 2007
L'heure des conflits
Selon une enquête CSA pour L'Humanité, 54 % des sondés disent soutenir la mobilisation syndicale de ce 18 octobre, 26 % y étant hostiles et 17 % indifférents.
Dessin de Chappatte
paru dans Le Temps(Genève)

Sarko vu du Mexique

Guillermo Almeyra

Los líos de Nicolas Sarkozy

No me refiero a sus líos conyugales, ya que los mismos son estrictamente privados, aunque la izquierda “buenuda” se escandalice ante lo que otros, laicamente, definen affaires de cu. Hablo de la huelga general de los asalariados del transporte (metro, buses, trenes) contra el intento de imponer a los trabajadores de ese ramo la prolongación por cuarenta y dos meses más de su vida laboral, antes de la jubilación. Este paro, ampliamente acatado, inaugura la “estación social” de este gobierno y representa para el mismo una amenaza mucho mayor que la oposición tibia del Partido Socialista o que las vagas e interminables negociaciones para constituir un frente amplio de la izquierda política y social.

Por supuesto, todos los medios de información hablarán mucho más de los pruritos amorosos de la ex pareja presidencial que de la importancia de esta huelga nacional que precede a una ola de otros movimientos sociales en uno de los países capitalistas más importantes.

Sarkozy, además, debe lidiar con la política exterior. Por ejemplo, no puede mirar para otro lado, silbando, mientras Bush amenaza con una guerra atómica a Rusia y el mundo, sobre todo porque Rusia es una potencia europea y es proveedora de combustible a Francia y a la Unión Europea. Este hombre, que adora el american way of life y a George W. Bush, tiene que tragarse las afirmaciones de su ministro de Relaciones Exteriores, el ex socialista y siempre sionista Bernard Kouchner, sobre la inevitabilidad de un ataque atómico a Irán y, ahora, viaja a Marruecos para que Francia no sea desplazada por Estados Unidos del norte de África, lo cual le obligará a desempolvar una política “árabe” que no es funcional desde el punto de vista de Washington.

Dicho sea de paso, esta política “árabe” de segunda la inauguró su ahora ex mujer al conseguir que Muammar Ghadaffi liberase a las enfermeras búlgaras que habían sido condenadas a muerte bajo la acusación de sembrar el sida. Y a dicha política agrega otra latinoamericana (de quinta categoría) negociando con Álvaro Uribe y con las FARC, con la intermediación de Hugo Chávez, la liberación de la ex candidata presidencial colombiana Ingrid Betancourt, que tiene también nacionalidad francesa. O sea, incursiona en el patio trasero de Washington reconociendo a una guerrilla y dando un espaldarazo al “promotor del mal” de Caracas…

Durante el reinado de los Reyes Cristianísimos (así se hacían llamar los monarcas franceses), Francia no dejaba en manos del Vaticano la conducción de su Iglesia ni de su política exterior. Este galicanismo no ha desaparecido sino que se expresa, ahora, en una “soberanía con servilismo limitado”, para calificarlo de algún modo, frente al boss estadunidense en desgracia. De modo que las diferenciaciones entre el gobierno de ultraderecha sarkoziano y el de Bush serán mayores, previsiblemente, que las que separan a éste del gobierno “socialista” británico.

Dada la inseguridad del gobierno alemán y la presión rusa sobre los europeos occidentales, es posible esperar igualmente que la política de la Unión Europea no esté totalmente alineada con la estadunidense, sobre todo ante la torpeza y la brutalidad de las amenazas bélicas formuladas por Bush y ante las provocaciones a China –gran mercado europeo–, como el recibimiento a ese muerto político viviente que es el Dalai Lama en el mismo momento en que la jerarquía china, en su congreso y después de él, busca definir una política de mediano plazo.

Sarkozy el Africano, Sarkozy el Caribeño, Sarkozy el Europeo, escapan de la imagen de our men in Paris (“nuestro hombre en París”), peor que Tony Blair. En la política hay una densidad histórica, sociocultural, que impregna incluso a los advenedizos, como este hijo de inmigrante burgués húngaro formado en la derecha francesa gaullista.

Por supuesto que esto no significa que haya que esperar una evolución del personaje que es y seguirá siendo reaccionario. Sí significa, en cambio, que el muro que debe enfrentar la izquierda social francesa es frágil y está resquebrajado y podría incluso caer si todos los que quieren derribarlo empujan juntos, y no en orden disperso, y son capaces de proponer, en todos los terrenos, una política alternativa para la cuestión social, para la educación y la cultura, para Europa, para la inmigración, para la paz mundial. ¿Es demasiado pedir que los socialistas sean socialistas y los izquierdistas anticapitalistas?