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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mardi 26 mai 2009

http://www.casasolamuseum.com/naranjo%206%20tio%20sam.JPG
El tesoro, naranjo
www.casasolamuseum.com/2001-2010.htm

Doctrine Monroe ou le feuilleton continue

Pour mieux connaitre l'histoire du policier du monde:

Qui a dit: « L’hémisphère tout entier nous appartiendra, comme en fait, par la vertu de la supériorité de notre race, il nous appartient déjà moralement. »
William Howard
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Dans le chaos de l’après-guerre

Du "destin manifeste" des Etats-Unis

Jamais les Etats-Unis n’ont officiellement possédé de colonies en Amérique latine. Mais des colonies de facto, oui. Du début du XIXe siècle aux années 1930, la politique du « gros bâton » - les interventions armées et les occupations d’Etats souverains - a permis à Washington de préparer le terrain aux dictateurs qui, ultérieurement, pour le malheur des peuples, se comporteront en parfaits supplétifs.

Par Maurice Lemoine

Le 22 février 1927, date anniversaire de la naissance de George Washington, l’ambassadeur des Etats-Unis à Paris, Myron Herrick, réunit en un banquet les représentants diplomatiques des Etats de l’Amérique latine membres de l’Union panaméricaine. « Les Etats-Unis ne sont pas avides de terre, déclare-t-il notamment lors de son discours. Ils n’ont ni désir ni besoin de nouveaux territoires. Comme tous les gens avisés le savent, ils ont constamment et délibérément écarté, durant les quarante dernières années, de fréquentes et faciles occasions d’étendre leur domaine. Ceux qui nous accusent de desseins impérialistes ignorent les faits ou ne sont pas sincères (1). » La mémoire sans doute ramollie par les vins et les ors de la Ville lumière, il a manifestement oublié le Mexique démembré, Cuba enchaînée, Haïti et la République dominicaine sous contrôle, Panamá arraché à la Colombie, l’invasion du Nicaragua, les Philippines annexées...

C’est le 2 décembre 1823, dans son message au Congrès, que le président des Etats-Unis James Monroe a lancé la doctrine qui conservera son nom. Alors que l’Empire ibérique s’effondre, réveillant certains appétits britanniques, il récuse toute intervention européenne dans les affaires des Amériques. Tout un chacun pourrait y trouver avantage si, sous couvert de lutter contre le colonialisme extérieur, les Etats-Unis n’orientaient dès lors leur politique étrangère vers la constitution d’un bloc continental sur lequel ils aspirent à instaurer leur domination.

Sans trop se préoccuper de la crédibilité de leurs justifications, les Etats-Unis interviennent militairement en 1824 à Porto Rico, en 1845 et 1847 au Mexique, en 1857 au Nicaragua, en 1860 dans la province de Panamá et encore au Nicaragua. A tel point que, en 1847, les gouvernements du Chili, de la Bolivie, de l’Equateur, de la Nouvelle-Grenade (Colombie) et du Pérou se réunissent à Lima pour examiner les questions posées par cet interven-tionnisme. L’année suivante, en 1848, la guerre contre le Mexique justifie leur inquiétude : du Texas à la Californie, les Etats-Unis annexent la moitié du territoire de leur voisin.


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