dimanche 1 juin 2008
■ Las “armas químicas no letales (¡súper sic!)” de Baby Bush
Bajo la Lupa
Alfredo Jalife-Rahme
La aciaga presidencia de Baby Bush ya fue marcada por el estigma de sus mendacidades sobre la posesión de “armas de destrucción masiva”(ADM) de sus enemigos, como acaba de revelar su anterior jefe de prensa y ex íntimo amigo, el texano Scott McLellan, en sus demoledoras memorias que han puesto de cabeza a una agónica administración que acapara el mayor repudio internacional y, sobre todo, doméstico.
Las armas nucleares, biológicas, químicas y radiológicas pertenecen a la panoplia de las laxamente definidas ADM, es decir, susceptibles de aniquilar gran número de seres humanos y/o provocar inmenso daño a la infraestructura y a la biosfera.
El tema de las ADM se ha vuelto el instrumento favorito del régimen torturador bushiano, su principal poseedor y utilizador mundial en todas sus variantes, para exorcizar a sus enemigos gracias al terrorismo desinformativo de sus omnipotentes multimedia que deberían formar parte de la definición original debido a la devastación planetaria que promueven mediante sus mendacidades. En su tratamiento del “caso Irak” quedó manifiesta la manera en la que el régimen torturador bushiano inventó la posesión de armas químicas con el fin de capturar su oro negro.
Cabe señalar el delicado asunto de las armas químicas,uno de los componentes letales de las ADM, que revela en todo su resplandor el desprecio del régimen torturador bushiano al derecho internacional, al que violenta mediante su uso indiscriminado de la fuerza bruta: su línea de solución a los contenciosos políticos del mundo.
La Convención de Armas Químicas (CAQ), firmada por 184 países, consiste en un acuerdo administrado por la Organización para la Prohibición de Armas Químicas (OPCW, por sus siglas en inglés), que es independiente de la ONU y que elaboró varios pasos desde su inicio hasta la destrucción completa de los arsenales contemplada para abril del 2012. Albania es el único país en haber completado la destrucción estipulada.
Bajo un acuerdo del G-8, el apoyo financiero para la destrucción del arsenal químico ruso provenía primordialmente de Estados Unidos, además de Gran Bretaña, Alemania, Holanda, Italia y Canadá que aportaron en su conjunto alrededor de 2 mil millones de dólares en 2004.
La Oficina de Contabilidad General (GAO, por sus siglas en inglés), anunció que no concluiría la destrucción total en la fecha límite, mientras el Pentágono espera disponer de los ominosos deshechos de su almacenamiento en Colorado y Kentucky hasta 2023 (C&EN; 18/1/07).
Estados Unidos ha gastado 20 mil millones de dólares y planeaba desembolsar otros 40 mil millones para contribuir sustancialmente a la erradicación de las armas químicas de la faz de la Tierra. ¿La grave crisis financiera que padece Estados Unidos habrá orillado al cese fulminante del financiamiento de la destrucción de las armas químicas rusas o, quizá, intenta avanzar una agenda oculta de rearme bio-químico?
CompletaPublié par Filotea y Meximiliano à 23:54 0 commentaires
Libellés : Alfredo JALIFE, USAmerikkka
Entrevista con Ruben Luengas aMuños Ledo
Del sendero
Ante estudiantes de La Universida de California Los Angeles- UCLA - se dio el debate entre Jorge Chavez Presa, ex priista y actual catedratico, ante Porfirio Muños Ledo, lider del Frente Amplio Progresista.
En entrevista con Ruben Luengas, Muños Ledo reitera la renuncia de FeCal el espurio.
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Publié par Filotea y Meximiliano à 23:50 0 commentaires
L'inaptitude du gouvernement mexicain.....
La Bourse mexicaine est nettement surcotée
LE MONDE
La Bolsa, la Bourse du Mexique, a connu quelques bonnes années, mais elles sont sans doute terminées. La croissance économique du pays est d'ailleurs, et de façon surprenante, assez médiocre. Et de fait, il apparaît que la place mexicaine, qui doit s'introduire en Bourse en juin, cherche à obtenir une prime à la croissance qu'elle ne mérite pas.
La Bolsa a certes connu une bonne période. Depuis cinq ans, les valorisations ont quintuplé tandis que le volume des transactions doublait. La privatisation a été retardée, en 2006, à cause de problèmes politiques. Cours et transactions ont bien tenu en 2008 en dépit de la baisse de l'ensemble des places boursières. Lancer l'introduction maintenant semble logique.
Le grand doute vient de la mauvaise performance économique, assez incompréhensible, du Mexique. Son taux de croissance en 2007 était de seulement 3 % en dépit de recettes pétrolières qui représentent environ 22 % des exportations. Sa situation géographique, le niveau modéré des salaires, des dépenses publiques faibles et un gouvernement de centre-droit devraient permettre au pays de faire bien mieux - et de viser au moins les 5 % à 6 % de la Colombie et du Brésil.
Mexilios: Pas incompréhensible, mais parfaitement compréhensible vu l’inaptitude montre pour Calderon face au gouvernement. L’incompétence de la majorité des membres du cabinet, l’inexpérience et la corruption au sein même du gouvernement en commencent pour la tête et suivant pour le ministre de l’intérieur, l’espagnol Juan Camilo Mourino qui tout en étant fonctionnaire publique, en profitant de son poste et de l’information privilège qu’il détente, fait des business pour les entreprises familiers avec le pétrole parmi d’autres. Et ainsi on pourrait parler de chaque membre du cabinet présidentiel.
Le problème semble venir d'une culture politique contre-productive cimentée, jusqu'en 2000, par quatre-vingt-huit années de pouvoir d'une seule formation politique, le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI). Le Congrès national a ainsi empêché le gouvernement actuel de Felipe Calderon d'autoriser les investissements étrangers dans la compagnie pétrolière nationale Pemex, même si elle en a besoin. Du coup la production de pétrole décline et les activités de raffinage ont été déficitaires en 2007.
Mexilios: Le problème s’est empire depuis l’année 2000 avec la grave incompétence largement montre pour les hommes politiques du PAN et des présidents Fox et Calderon. Pour tout dire le pays va de pire en pire. (Voir ici)
Et ce n’est pas l’opposition qu’empêche Calderon de privatiser le pétrole, (bien au contraire ils seraient presque ravis que se face ainsi), mais le peuple! qui défend ses ressources contre les prédateurs étrangers.
Les actions cotées sur la Bolsa s'échangent à 18 fois leurs bénéfices. C'est un niveau plus élevé que connaît l'Inde, où la croissance est trois fois plus forte qu'au Mexique.
Publié par Filotea y Meximiliano à 22:22 0 commentaires
Libellés : Economia, Mexi et le monde, petroleo
Prostitution
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Publié par Filotea y Meximiliano à 18:34 0 commentaires
Libellés : monos
MEXIQUE • Esclaves de luxe
La traite des femmes est au Mexique un commerce juteux. Non seulement les mafias "exportent" des Mexicaines en Europe mais elles "importent" aussi pour le marché local des femmes provenant d'Europe de l'Est. L'hebdomadaire Proceso consacre sa une à cette mondialisation de la prostitution.
Après le trafic de drogue et celui des armes, la traite des femmes représente un des commerces les plus attractifs pour les mafias internationales opérant au Mexique. Ces organisations, grâce à leurs liens avec les trafiquants de drogue et les autorités du pays, agissent dans l'impunité. Les victimes de cet esclavage sexuel subissent des brutalités qui se terminent souvent par leur mort. Les plus puissantes mafias – russe, ukrainienne, argentine, cubano-américaine, japonaise, etc. – s'adonnent à ce commerce. Elles exportent des Mexicaines aux Etats-Unis ou au Japon, et importent au Mexique des femmes d'Europe de l'Est, des Caraïbes ou d'Amérique du Sud. Certaines organisations non gouvernementales (ONG) affirment que la traite des femmes représente le "négoce le plus lucratif du Mexique".
Les diplomates hongrois au Mexique ont ainsi lancé un cri d'alarme : le consulat est assailli de jeunes Hongroises qui demandent de l'aide. "En Europe, le marché de la prostitution est saturé, notamment en Espagne, en Grande-Bretagne, en Italie et en France. C'est pour ça qu'on commence à envoyer de jeunes Hongroises, Roumaines ou Tchèques dans d'autres pays", a affirmé l'ambassadeur de Hongrie, György Herczeg.
"En Hongrie, les réseaux de trafiquants de personnes proposent à nos jeunes des contrats de travail alléchants leur garantissant un bon salaire, un logement, une assurance sociale et un visa de travail au Mexique. Ecrit en tout petit, il est spécifié qu'elles travailleront dans des bars comme serveuses. Elles acceptent par nécessité. Mais ce sont des contrats de trois mois, avec un salaire qui n'est pas si élevé. On commence alors à leur dire que, si elles veulent gagner plus, elles doivent faire d'autre choses... Elles sont victimes de chantage et de menaces, et ce sont leurs employeurs qui gardent leur passeport. Elles n'ont aucune liberté. C'est la forme moderne de l'esclavage", précise Sandor Galambos, consul de Hongrie à Mexico.
Selon Mariana Rendon, qui coordonne le programme de soutien aux victimes de la traite des femmes au Mexique de l'Organisation internationale pour les migrations, les femmes de l'Europe de l'Est sont "destinées" aux plus riches Mexicains. Mais l'essentiel du trafic concerne des femmes provenant d'Amérique centrale ou des Caraïbes. La plupart des mafias sont implantées à Cancun, sur la côte caraïbe.
Rodrigo Vera (extraits)
Proceso
Publié par Filotea y Meximiliano à 18:27 0 commentaires
Libellés : Mexi et le monde, Mujer
Publié par Filotea y Meximiliano à 18:27 0 commentaires