Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 6 octobre 2007

Dernierment pas mal d'interet pour le Mexique et son petrole, peut etre?



LE MONDE

Pour l'OCDE, le Mexique doit mener des "réformes fondamentales"

En dépit des progrès enregistrés depuis dix ans, le Mexique doit faire "un nouvel effort de réforme sur un large front" s'il veut placer son économie "sur une trajectoire de croissance plus forte et durable", recommande l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans un rapport rendu public jeudi 4 octobre. Il s'agit du premier diagnostic dressé par l'OCDE sur ce pays membre depuis l'arrivée au pouvoir, en décembre 2006, du président Felipe Calderon, un conservateur décidé à relancer la dynamique réformatrice enlisée sous son prédécesseur, Vicente Fox.


Tout en soulignant que des améliorations peuvent encore être obtenues dans les limites de la législation actuelle, l'Organisation juge qu'il sera "tôt ou tard" nécessaire de modifier la réglementation, voire d'envisager "des réformes plus fondamentales". Il s'agit d'autoriser le secteur privé, mexicain ou étranger, à s'associer aux entreprises publiques dans l'exploration et la production de gisements de pétrole en eau profonde, et de permettre à la société nationale des hydrocarbures, la Pemex, d'avoir accès plus rapidement à des technologies qui lui font aujourd'hui défaut. Prudente, l'OCDE se garde pourtant de prôner des mesures radicales sur un terrain sensible.

Le budget de l'Etat, relève le rapport, reste "extrêmement tributaire de recettes pétrolières incertaines". Si le Mexique a nettement amélioré ses performances macroéconomiques, avec des taux de croissance de 3,6 % par an en moyenne depuis 1995 - voire 4,8 % en 2006, à la faveur d'exportations soutenues et d'un investissement en hausse -, ces résultats ne suffisent pas à combler son retard sur les pays les plus industrialisés. En 2005, le revenu médian de la population était à peine un quart de celui des Etats-Unis.

"NI ÉQUITABLE, NI EFFICACE"

L'emploi informel et les activités faiblement productives jouent un trop grand rôle. Pour renverser la tendance, il faut, selon l'OCDE, former davantage les individus, améliorer l'environnement des entreprises, ainsi que réformer le marché du travail et la politique sociale "afin de renforcer les incitations à l'emploi formel".

Deux lois adoptées début 2007, non sans résistance de l'opposition de gauche, montrent la voie : en rendant possible le transfert des pensions entre public et privé, la réforme du régime de retraite du secteur public"facilitera la mobilité de la main-d'oeuvre", tandis que celle des comptes d'épargne-retraite devrait accroître le rendement des fonds de pension privés.

"Il faut aller plus loin", insiste l'OCDE, dans la flexibilité du marché du travail, avec des procédures de licenciement plus souples - mais aussi dans la protection des travailleurs vulnérables.

Le système de sécurité sociale, "ni équitable, ni efficace", couvre environ la moitié de la population, le reste ayant recours, au niveau des Etats de la fédération, à des services de santé de médiocre qualité. A long terme, l'OCDE plaide pour un système unifié, mais encourage dans l'immédiat l'élargissement du Seguro popular, une assurance de base pour les plus démunis. La première mesure prise par le gouvernement Calderon, en décembre 2006, a consisté à l'étendre à tous les enfants nouveau-nés.

Ce "filet" de protection sociale ne sera viable que si l'on stimule aussi la productivité et la libre concurrence. Les règles existent sur le papier, mais leur application est contrariée par de longues actions en justice des entreprises en position dominante, rappellent les experts de l'OCDE, qui souhaitent la création de "tribunaux spécialisés dans les affaires économiques" afin de trancher plus vite.

Avec l'électricité - contrôlée par des syndicats qui jouissent d'une rente de situation -, la téléphonie est toujours citée en tête des secteurs problématiques, à cause du comportement de "l'entreprise dominante" (Telcel, propriété du multimilliardaire Carlos Slim). L'OCDE exhorte l'autorité de régulation, la Cofetel, à faire preuve de "plus d'indépendance". Il suffirait à la Cofetel d'imposer l'accès de tous les opérateurs à la boucle locale, comme le prévoit la loi, pour casser le monopole exercé par le groupe de M. Slim.

Joëlle Stolz

Maintenant le Chili à quand le Mexique?

On commence avec un info sur le Chili, Chili : la veuve et les enfants du général Pinochet arrêtés pour corruption, et on espère que soit ainsi et tout le poids de la loi tombe sur les contrevenants et soit applique sans privilèges.
Mais aussi on se demande à quand pour le Mexique?
après que Vicente Fox et sa femme on fait scandale pour montrer sa richesse, que même avec le salaire de président Fox n'aurait jamais pu avoir tout ce qu'il a montre, mais ce n'est pas tout!
Il y a aussi de la corruption, trahison à la Patrie, mensonges, detournement des fonds, supcon avec des liens avec le narco, népotisme et violations des droits de l'homme, violations constitutionnelles, etc......

Chili : la veuve et les enfants du général Pinochet arrêtés pour corruption

La veuve d'Augusto Pinochet, Lucia Hiriart, lors des funérailles de l'ex-dictateur, le 12 décembre 2006. | REUTERS/STR

REUTERS/STR
La veuve d'Augusto Pinochet, Lucia Hiriart, lors des funérailles de l'ex-dictateur, le 12 décembre 2006.

Près d'un an après la mort d'Augusto Pinochet, la justice chilienne a ordonné, jeudi 4 octobre, l'arrestation de la veuve de l'ancien dictateur, Lucia Hiriart, et de ses cinq enfants, pour détournement de fonds publics.

Le juge Carlos Cerda a précisé que dix-sept autres personnes sont également inculpées et font l'objet d'un mandat d'arrêt. Parmi eux, l'ex-secrétaire du général Pinochet, Monica Ananias, son porte-parole, Guillermo Garin, et son avocat, Gustavo Collao.

Trois des enfants Pinochet, les deux fils, Augusto et Marco Antonio, et l'une des trois filles, Lucia, sont déjà détenus par la police à Santiago. Tous sont accusés de détournements de fonds publics, commis entre 1980 et 2004, pour quelque 27 millions de dollars.

Le scandale avait éclaté en 2004 à la suite d'une enquête du Sénat américain qui avait découvert une centaine de comptes détenus par la famille Pinochet auprès de la banque Riggs, aux Etats-Unis et dans des paradis fiscaux. Le 23 novembre 2005, l'ex-dictateur, qui avait amassé une fortune incompatible avec les revenus d'un chef d'Etjat, avait été assigné à résidence après avoir été inculpé de fraude fiscale par le juge Cerda. Le général est mort le 10 décembre 2006, sans avoir été jugé pour les crimes et délits dont il était accusé.

Christine Legrand