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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 31 mars 2008

Ultratumba

Ultratumba


Mourino: ni en su casa lo quieren

La premonición de don José
Bernardo Bátiz V.

Los ejemplos se multiplican a la vista de todos y dirigentes relevantes han sabido usar, sin parar en consideraciones de justicia o de moral, su derecho de picaporte en Los Pinos, en Gobernación, en Obras Públicas y en otras secretarías de Estado y dependencias diversas. El último y más conocido ejemplo ha sido motivo de una valiente denuncia por quien fue proclamado por la convención nacional democrática Presidente Legítimo de México, quien ha puesto a la vista del gran público en qué forma un panista de los últimos tiempos, funcionario joven y con rauda carrera política, no ha tenido el menor empacho en ser simultáneamente servidor público y gestor y representante de empresas privadas, y no ve nada reprobable en hacer negocios con el gobierno, precisamente en el área oficial en la que él se ha desenvuelto y en la que se espera que se actúe en defensa de los intereses del Estado mexicano.
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Irrita a panistas el cobijo que recibe Mouriño de Germán Martínez

  • Sospechan que el titular de la SG sí cometió anomalías

Georgina Saldierna


Una refrescadita · Rocha

Y AMLO tiene razon

  • Kessel propone alianzas con consorcios especializados

Manos libres en la operación de Pemex, nueva vía

  • Reyes Heroles, por adecuar el marco regulatorio de la petrolera
  • En diagnóstico oficial, la presentan en situación de crisis
  • Habrá iniciativa energética sólo si hay consensos, dice Sener
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Buscarán enajenar Pemex mediante contratos de usos múltiples o alianzas, advierte

AMLO: buscarán “disfrazar” la privatización de muchas formas

Ángeles Mariscal, René López y David Carrizales (Corresponsales)

Andrés Manuel López Obrador advirtió que la iniciativa de reforma energética con la cual el gobierno federal y los partidos Acción Nacional y Revolucionario Institucional pretenden enajenar Petróleos Mexicanos (Pemex) puede venir disfrazada en forma de contrato de usos múltiples, asociaciones o alianzas con empresas privadas.


Reyes horrores · Helguera

Petroleo: que siempre no, pero si

Las rebanadas del pastel

Los “diagnosticadores” afirman que en las próximas dos décadas “se debe superar lo hecho en 70 años”. En realidad, la titánica tarea es arreglar lo que dejó de hacerse en los pasados 25.

México SA
Carlos Fernández-Vega

■ Otro capítulo de la macabra historia petrolera del país

Que no es propuesta, sino diagnóstico; que ya no será el “sistema PAN” (inquilino de Los Pinos, partido blanquiazul, diputados y senadores de la casa) el que presente la iniciativa de “reforma”, sino “la sociedad”; que ya no “pagaremos el costo político” (Creel dixit), sino que “los cambios que habrán de realizarse” serán producto de “un amplio debate de todos los miembros de la sociedad” (¿con una “amplitud” de cuántos días?); que no “llevamos prisa”, pero les urge “medio embarazar” a Petróleos Mexicanos con capital privado (léase extranjero); que “la idea” es contar con más recursos propios y menos endeudamiento, pero “complementarse con inversiones de terceros” (léase privados); que, en fin, como era previsible, el engrudo se les hizo concreto y ya no saben cómo justificar la política antinacionalista que pretenden legalizar en el sector energético nacional.

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Tesoro negro
León Bendesky

Precisamente cuando el precio del crudo es el más elevado, justo cuando se reciben grandes ingresos excedentes por la exportación de petróleo y en tanto se obtiene una enorme renta petrolera, el argumento oficial es que hay que salvar a Pemex de la crisis en que se encuentra. Por eso resulta inverosímil decir que contamos con un tesoro en aguas profundas al que no se puede acceder.

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La expropiación de la industria petrolera
Gonzalo Martínez Corbalá/ I

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La astucia del general
José Antonio Almazán González


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Les quatre cavaliers, huile 130x81, 2008, à découvrir jusqu'au 28 mars à Toulouse, Galerie Can'Art

Les cavaliers de l’apocalypse

Qui se ressemble s’assemble

Ben oui que des distingues personnages, qui font partie du ce select groupe. Touts ses membres répudies dans sont payses et ailleurs.

Fox l’ex président du Mexique de funeste mémoire, d’après une administration catastrophique. Il a gaspille les six ans (2000-2006) de son mandat, il a faire construire des ouvres publiques comme des éléphants blancs, des façades ou des coquilles vides. Aussi il s’a dédie au gaspillage des quantités faramineuses d’argent et a laissé aussi a sa femme, sa famille et amis, dispendier l’argent publique provenant des impôts, du pétrole, ou de la mafia et de ses « busines » personnels ; au long des longuissimes six ans de « mandat ».

Aznar, aussi d’infâme mémoire, que veut coûte qui coûte mener une « reconquête » droitiste en toute l’Amérique latine.

Vargas Llosa, il faut voir comment les argentins l’ont reçu avec des œufs et a coups.

Voila les distingues personnalités de la droite hispano américaine.

La droite se réunit en séminaire


Courrier international

Le séminaire Les défis de l'Amérique latine : entre défaillances institutionnelles et opportunités de développement a réuni, les jeudi 27 et vendredi 28 mars à Rosario, en Argentine, "la fine fleur de la droite hispano-américaine. Parmi les présents : l'ancien Premier ministre espagnol José María Aznar, l'ancien président mexicain Vicente Fox, le maire de Buenos Aires Mauricio Macri et le sous-secrétaire d'Etat américain chargé de l'Amérique latine Roger Noriega", rapporte Página 12. Selon le quotidien de gauche, ces personnalités se sont retrouvées pour "faire de la présence" face à ce qu'elles qualifient d'"avancée du populisme dans la région". Sur les stands, raconte l'envoyé spécial du quotidien, on ne voyait que des livres où le nom de Chávez était associé aux mots "corruption" et "complot".

Le célèbre écrivain péruvien Mario Vargas Llosa (qui a eu 72 ans le 28 mars), qui était chargé d'ouvrir le séminaire, "a signalé avec un sourire que [la présidente argentine] Cristina Kirchner était très proche du populisme" et "rappelé que le libéralisme arrive dans certains pays par les voies les plus inattendues, comme ce fut le cas avec Margaret Thatcher".

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La construction d'un Sanctuaire des martyrs à Guadalajara réveille la laïcité mexicaine

Un monument à la barbarie

La laicite vieille depuis la guerre du « Reforme » en 1859 a 1863, depuis ont été les présidents et gouverneurs panistes avec son approche hypocrite et pseudo moral a la religion et a la politique ont case une tradition de longue dure et les lois qui vont avec.

Depuis l’abruti de Fox, la trahison aux lois est la règle et ça continue avec le bâtard de Calderon.

La construction d'un Sanctuaire des martyrs à Guadalajara réveille la laïcité mexicaine

Le monde

Ce sera la plus grande basilique d'Amérique latine : 200 000 m2, une nef monumentale où pourront s'asseoir 12 000 personnes, débouchant sur un atrium susceptible d'accueillir 50 000 fidèles, complété par un auditorium, une église pour les cultes quotidiens, et un musée. Sans oublier une croix illuminée de 65 mètres de hauteur, visible à des kilomètres à la ronde.

Dévoilée à la presse le lundi 24 mars, au lendemain de Pâques, la maquette du futur Sanctuaire des martyrs est impressionnante. Cet édifice est consacré à vingt-cinq catholiques canonisés sous le pontificat de Jean Paul II, tués durant la sanglante guerre des Cristeros, une rébellion déclenchée à la fin des années 1920 contre le laïcisme intransigeant du gouvernement mexicain. Il doit être construit d'ici à 2012 sur la montagne du Trésor, près de Guadalajara (Etat de Jalisco, ouest du Mexique), métropole de quatre millions d'habitants et bastion du catholicisme.

Mexilios: Et qu’ont fait à propos des professeurs et autres laïques de l’époque christere qui furent sauvagement mutiles pour les catholiques (conseilles pour les prêtres), aux hommes ont les coupaient les oreilles et aux femmes les seins ?

DENIERS PUBLICS

Mais le projet suscite déjà la polémique, dans un pays où les courants libéraux et révolutionnaires ont toujours prôné une stricte séparation entre l'Eglise et l'Etat. Le gouverneur de Jalisco, le conservateur Emilio Gonzalez, a en effet annoncé qu'il allait financer le sanctuaire à hauteur de 90 millions de pesos (près de 5,5 millions d'euros), avec les deniers publics, afin d'encourager le "tourisme religieux".

Mexilios: Le vrai pouvoir derrière le pouvoir est l’église en Guadalajara. Le très mondain évêque Juan Sandoval Iñiguez (il faut voir de quel façon il a célèbre son dernier anniversaire une bacchanale avec les hommes politiques de la république)

Ce geste a créé un malaise, jusque dans les rangs du Parti d'action nationale (PAN, droite), auquel appartient M. Gonzalez et qui gouverne le Mexique depuis 2000. Le coordinateur des députés du PAN au Congrès de Jalisco, Jorge Salinas, a fait remarquer que le devoir de l'Etat était de construire les infrastructures qui facilitent le tourisme, et non "les hôtels ou les sanctuaires que fréquentent les touristes".

La gauche s'était déjà vivement émue, lors du concours de Miss Univers organisé à Mexico en 2007, de la tenue portée par Miss Mexique : un attirail évoquant la guerre des Cristeros, avec une jupe imprimée de croix, de pendus et de fusillés, une ceinture de munitions et des chapelets.

Voila la tenue:

Dans le quotidien libéral Reforma, l'éditorialiste Sergio Sarmiento ne se prive pas de critiquer le "très catholique" gouverneur de Jalisco, qui se réunit une fois par semaine avec des fonctionnaires, au siège de son gouvernement, pour étudier en privé la Bible. Que des représentants de l'Etat mexicain assument leur foi et rompent avec "l'hypocrisie" des gouvernements passés n'est pas en soi dérangeant, souligne-t-il. Mais la "ligne de l'inacceptable" est franchie, selon lui, quand on emploie l'argent des contribuables pour appuyer des institutions religieuses.

Joëlle Stolz (Mexico, correspondante)


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