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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 31 mars 2008

La construction d'un Sanctuaire des martyrs à Guadalajara réveille la laïcité mexicaine

Un monument à la barbarie

La laicite vieille depuis la guerre du « Reforme » en 1859 a 1863, depuis ont été les présidents et gouverneurs panistes avec son approche hypocrite et pseudo moral a la religion et a la politique ont case une tradition de longue dure et les lois qui vont avec.

Depuis l’abruti de Fox, la trahison aux lois est la règle et ça continue avec le bâtard de Calderon.

La construction d'un Sanctuaire des martyrs à Guadalajara réveille la laïcité mexicaine

Le monde

Ce sera la plus grande basilique d'Amérique latine : 200 000 m2, une nef monumentale où pourront s'asseoir 12 000 personnes, débouchant sur un atrium susceptible d'accueillir 50 000 fidèles, complété par un auditorium, une église pour les cultes quotidiens, et un musée. Sans oublier une croix illuminée de 65 mètres de hauteur, visible à des kilomètres à la ronde.

Dévoilée à la presse le lundi 24 mars, au lendemain de Pâques, la maquette du futur Sanctuaire des martyrs est impressionnante. Cet édifice est consacré à vingt-cinq catholiques canonisés sous le pontificat de Jean Paul II, tués durant la sanglante guerre des Cristeros, une rébellion déclenchée à la fin des années 1920 contre le laïcisme intransigeant du gouvernement mexicain. Il doit être construit d'ici à 2012 sur la montagne du Trésor, près de Guadalajara (Etat de Jalisco, ouest du Mexique), métropole de quatre millions d'habitants et bastion du catholicisme.

Mexilios: Et qu’ont fait à propos des professeurs et autres laïques de l’époque christere qui furent sauvagement mutiles pour les catholiques (conseilles pour les prêtres), aux hommes ont les coupaient les oreilles et aux femmes les seins ?

DENIERS PUBLICS

Mais le projet suscite déjà la polémique, dans un pays où les courants libéraux et révolutionnaires ont toujours prôné une stricte séparation entre l'Eglise et l'Etat. Le gouverneur de Jalisco, le conservateur Emilio Gonzalez, a en effet annoncé qu'il allait financer le sanctuaire à hauteur de 90 millions de pesos (près de 5,5 millions d'euros), avec les deniers publics, afin d'encourager le "tourisme religieux".

Mexilios: Le vrai pouvoir derrière le pouvoir est l’église en Guadalajara. Le très mondain évêque Juan Sandoval Iñiguez (il faut voir de quel façon il a célèbre son dernier anniversaire une bacchanale avec les hommes politiques de la république)

Ce geste a créé un malaise, jusque dans les rangs du Parti d'action nationale (PAN, droite), auquel appartient M. Gonzalez et qui gouverne le Mexique depuis 2000. Le coordinateur des députés du PAN au Congrès de Jalisco, Jorge Salinas, a fait remarquer que le devoir de l'Etat était de construire les infrastructures qui facilitent le tourisme, et non "les hôtels ou les sanctuaires que fréquentent les touristes".

La gauche s'était déjà vivement émue, lors du concours de Miss Univers organisé à Mexico en 2007, de la tenue portée par Miss Mexique : un attirail évoquant la guerre des Cristeros, avec une jupe imprimée de croix, de pendus et de fusillés, une ceinture de munitions et des chapelets.

Voila la tenue:

Dans le quotidien libéral Reforma, l'éditorialiste Sergio Sarmiento ne se prive pas de critiquer le "très catholique" gouverneur de Jalisco, qui se réunit une fois par semaine avec des fonctionnaires, au siège de son gouvernement, pour étudier en privé la Bible. Que des représentants de l'Etat mexicain assument leur foi et rompent avec "l'hypocrisie" des gouvernements passés n'est pas en soi dérangeant, souligne-t-il. Mais la "ligne de l'inacceptable" est franchie, selon lui, quand on emploie l'argent des contribuables pour appuyer des institutions religieuses.

Joëlle Stolz (Mexico, correspondante)

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