samedi 1 novembre 2008
Publié par Filotea y Meximiliano à 22:16 0 commentaires
Libellés : monos
Criminal ineptocracia
Jesús González Schmal
Con qué cara Calderón podrá decirnos a los mexicanos y a los familiares de cerca de 6 mil víctimas de las ejecuciones habidas como respuesta a la embestida militar contra el narcotráfico, que se equivocó, que empezó por el final cuando lo primero era encontrar, dentro de sus propios organismos de procuración de justicia y seguridad, a los cómplices de las mafias que a plena luz del día las enteraban de cada una de las acciones de persecución y del avance de los expedientes integrados de averiguaciones previas abiertas contra capos, pistoleros o financieros de las organizaciones delictivas del país.
Una y otra vez se le dijo a Calderón que, pese a la insistencia de Bush en Mérida, era una irresponsabilidad emprender el combate al narcotráfico extraditando a reales o supuestos cabezas de cárteles que eran requeridos por Estados Unidos con procesos pendientes en México (o ya desde entonces sabía el gobierno que tenían infiltrados a los órganos de justicia nacionales y por eso atropelló la ley para salir del paso).
Y mucho más grave, se le insistía, era utilizar la fuerza militar para una acción represiva sin inteligencia y sin conocimiento claro del enemigo, su ubicación, modus operadi y efectos esperados de ello, provocando con esta improvisación no sólo víctimas inocentes y pueblos y ciudades devastadas, sino atraso económico y corrupción de todo tipo, en todas las policías.
Tuvo que ser un delator como testigo protegido en Estados Unidos el que supliera la ineficiencia de las labores de investigación del procurador, del secretario de Seguridad Pública y del Centro de Investigación y Seguridad Nacional (Cisen); este testigo, para nuestra vergüenza, a través de la DEA, señaló con lujo de detalles los nombres y altas posiciones del personal de la PGR que mantenía el aparato de información y protección a las organizaciones delictivas, aportando hasta las cantidades pagadas por estos servicios al director de Inteligencia y al coordinador técnico de la Subprocuraduría de Investigación Especializada en Delincuencia Organizada (SIEDO) y a varios agentes del Ministerio Público federal.
El propio Partido Acción Nacional tuvo en sus oficinas el pasado mes de septiembre al ex premier francés Dominique de Villepin, quien les dijo textualmente: “En la lucha contra el crimen organizado y el terrorismo, cualquier país democrático está condenado al fracaso si antepone la intervención del Ejército y las policías al uso de sistemas de inteligencia y de la plena identificación de los circuitos financieros que alimentan a estos grupos de delincuentes…” y agregó: “Porque el terrorismo y el crimen organizado se nutren de la incapacidad de las democracias de no respetar sus propios principios, lo que acarrea consigo como consecuencia la corrupción en todos los niveles de gobierno, así como la frustración de grupos sociales frente al proceso de globalización económica”.
Efectivamente, el gobierno calderonista traicionó sus principios, la corrupción está en sus entrañas y se alimenta de la impunidad que se garantiza a políticos y servidores públicos.
Publié par Filotea y Meximiliano à 22:03 0 commentaires
Libellés : desgobierno, policia
Quinto sol
Leyenda Azteca del Quinto Sol, Click aqui para ver
Publié par Filotea y Meximiliano à 21:57 0 commentaires
Libellés : video
CON R DE RESISITENCIA:
El pequeño Cuaderno del Ciudadano en Apuros*, presentado en el Círculo de Estudios Central hace ya más de un año y que ha seguido presentándose en los demás Circulos de la Resistencia Civil, viene a ser involuntariamente, con sus cortas y substanciosas reflexiones, indispensable para deternos y repensarnos en este Movimiento de la RCP. Quiero resaltar lo que en
la R de Resistencia dice:
Resistir es lo contrario
a resignarse, el reverso
de rendirse. La resistencia
no consiste en renegar.
Consiste en oponerse y a la vez
en proponer, en rebelarse
sin violentar, en poner la razón
al servicio de la rabia.
Quienes resisten asumen
la responsabilidad
de decir no a la imposición.
No a la imposición, pero sí
al reto de lo imposible.
Resistir todos los días,
con todos los recursos al alcance,
fortalece nuestras raíces
y extiende nuestras ramas.
* Fue editado por Calentamiento Global A.E. mayo 2007,y sus autoras son Caludia Burr, Claudia Canales y Ana Piñó .
Del sendero del peje
Publié par Filotea y Meximiliano à 21:14 0 commentaires
Libellés : renegados
Publié par Filotea y Meximiliano à 21:13 0 commentaires
Après la crise, l’exode
La crise financière mondiale est en train de provoquer un exode sans précédant des Mexicains qui travaillaient aux Etats-Unis et qui retournent chez eux. Depuis août dernier 150 000 Mexicains sont déjà revenus au pays ce qui inquiète terriblement le gouvernement qui ne sait que faire de cette main d'œuvre en pleine récession économique.
Avec notre correspondant à Mexico, Patrice Gouy
Le gouvernement mexicain estime que d'ici Noël, il y aura un million et demi de retours au pays et un autre million juste après les fêtes.
La situation est devenue catastrophique pour les travailleurs émigrés aux Etats-Unis. Les sans papiers sont pourchassés par la police migratoire qui en a déjà déportés 800 000 depuis le début de l'année. Ceux qui ont un visa de travail sont les premiers à être mis au chômage à cause de la récession économique.
Le rêve américain
Cet exode va sérieusement mettre à l'épreuve le gouvernement de Felipe Calderon. Il devra fournir travail, emploi, éducation et service à ces millions de Mexicains à part entière qui durant des années ont envoyé une manne financière de 20 milliards de dollars par an, deuxième source de devises du pays.
Le gouvernement a promis un plan de développement des infrastructures pour créer des emplois mais il ne cache pas son pessimisme. Le nombre de pauvres va considérablement augmenter.
Pour des millions de travailleurs émigrés, le rêve américain est en train de se transformer en cauchemar mexicainPublié par Filotea y Meximiliano à 21:05 0 commentaires
Libellés : Mexi et le monde, migra
Pétrole : feu vert à la modernisation de Pemex
Malheureusement "moderniser" veut dire privatiser, ben oui on à l'expérience ca fait 30 ans environ. Avec cette mot pas très sexy maintenant on nous a tout privatise!
par Patrice Gouy
Article publié le 29/10/2008 Dernière mise à jour le 29/10/2008 à 05:56 TU
La Compagnie nationale des pétroles mexicains, Pemex ne sera pas dénationalisée, mais la réforme énergétique votée permettra d'ouvrir certaines de ses activités aux capitaux privés.
( Photo : RFI / Patrice.Gouy )
L'approbation de la réforme énergétique est le résultat de multiples compromis politiques. Elle démontre que le Mexique a retrouvé le chemin du travail parlementaire (??? il vaut mieux bien s'informer de comment s'est passe: les deputes ont tout simplement leve leurs doits). Cette réforme n'est pas celle dont rêvait Felipe Calderon et la droite libérale, qui auraient voulu ouvrir largement la Compagnie des pétroles mexicains (Pemex) aux investisseurs privés. Elle ne satisfait pas non plus le FAP, la gauche nationaliste et son leader Andres Manuel Lopez Obrador, qui se sont battus pour la défense du patrimoine et de la souveraineté nationale. C'est une réforme qualifiée de « light » pour les uns, une victoire à la Pyrrhus pour d'autres, compte tenu des gigantesques efforts déployés par les protagonistes, mais dans son ensemble la société applaudit, car cette réforme réconcilie une société fortement polarisée, et devrait permettre à Pemex de sortir de son archaïsme.(quand archaïsme rime avec protectionisme, alors ca veut dire que: on pourra morceller PEMEX!)
Une réforme modernisatrice
Cette réforme donne en effet à Pemex une plus grande autonomie et plus d'efficacité dans sa gestion. (Bizarre ils ont meme pas touche le sindicat, qu'est pire que la camorra italienne) Pour se moderniser, la compagnie nationale pourra passer des contrats avec des entreprises privées dans les domaines de l'exploration et de la production de pétrole, par exemple pour la construction de plates-formes pétrolières et les creusements de puits en eaux profondes ; par contre, elle conserve la construction et la gestion des raffineries, coupant l'herbe sous les pieds des multinationales européennes (Repsol, Total) ou nord-américaines (Exxon, Chevron) qui auraient aimé investir dans ce domaine financièrement très rentable. Pemex aura également la possibilité de passer des contrats de construction ou de services, mais sans jamais céder des droits sur la propriété du pétrole. A la différence de ce qui se passait auparavant, Pemex pourra recourir aux financements extérieurs sans avoir à demander l'autorisation du ministère des Finances, ce qui devrait lui donner une plus grande autonomie.
On dirai plutot que on a legalise des actes illegales que des grandes multinationales tels que Halliburton, par example faisent en toute impunité....
Les tentatives de privatisation les plus fortes ont donc été écartées et la Nation reste propriétaire du pétrole. Une nouvelle qui ne réjouira sans doute pas Washington, qui n'a jamais caché son envie de voir s'ouvrir le secteur énergétique mexicain à ses compagnies pétrolières, considérant le pétrole mexicain comme faisant partie de la sécurité nationale nord-américaine.
Mais en Washington respirent tranquiles, il y a des trous dans la nouvelle "loi" pour faire plein des bons busines!
Eviter la privatisation
Lorsque le Président Felipe Calderon avait envoyé son projet de loi au Sénat en avril dernier, il pensait le faire passer en force grâce au soutien du PRI, le parti de l'ancien régime ; mais il s'est immédiatement heurté à la résistance des parlementaires de gauche qui ont pris la tribune du Congrès pendant 3 semaines pour empêcher le vote et réclamer un large débat. Pour défendre ce bien national, Andrés Manuel Lopez Obrador a alors convoqué la population à de grandes assemblées populaires. Par cette action, il a contraint le gouvernement et tous les partis politiques à ne pas voter la loi à la va-vite et à s'ouvrir au dialogue.
Par sa ténacité, il est parvenu à imposer un agenda législatif et à faire adopter pratiquement l'essentiel du projet par la gauche. Néanmoins, au lieu de crier victoire et d'en tirer bénéfice, il a préféré continuer sa lutte en soulignant les incohérences de cette loi. Il estime en effet qu'elle est pleine de « trous » qui permettent des interprétations diverses et laissent le champ libre aux entreprises privées, en particulier les transnationales, pour prendre progressivement le contrôle de Pemex.
Il n'y a pas de vainqueur ni de vaincu a déclaré Ruben Camarillo, sénateur du PAN. Le président de la Commission énergie a expliqué que tous les partis ont construit ensemble l'avenir de Pemex. Les députés et sénateurs de gauche ont toujours défendu la non privatisation de cette compagnie et ils y sont arrivés a souligné Graco Ramirez ( le trahite), faisant remarquer qu'il ne reste pas grand-chose de l'initiative présentée par Felipe Calderon.
Néanmoins, c'est pour le président une victoire politique importante. C'est la première réforme structurelle qui soit véritablement discutée(oui bien sur, discute par qui ?) au parlement. En acceptant le dialogue imposé par la gauche, il a considérablement renforcé son image de président de tous les Mexicains.
Mais non Calderon ou FeCal reste un bâtard illegitime(Espurio) pour une grande partie de la population , et même un groupe d'importants avocats et juristes l’ont accusé devant la cour pour trahison a la patrie. lien: Juicio de Traicion a la Patria
Publié par Filotea y Meximiliano à 20:34 0 commentaires
Libellés : Mexi et le monde, petroleo
Publié par Filotea y Meximiliano à 20:34 0 commentaires