samedi 27 octobre 2007
BB y mi miseria
Estaba retecontenta, ahora vengo a la triste realidad mexicana, es deprimente ver a México como el cangrejo, peor ahora con ese gobierno de apátridas que hace mucho daño mientras el país se desquebraja, se deshace. Me pregunto como estará el ánimo de las gentes que padecen esa ominosa realidad.
Ayer veíamos en la tele un programa sobre Brigitte Bardot, dedicada desde hace unos treinta años en cuerpo y alma a la protección de los animales. Mi querido Meximiliano no es amante ni de BB, ni de los cuadrúpedos; al terminar el programa discutimos el punto, el reprochaba mi compasión hacia los animales, incluso ¡mayor que hacia los seres humanos!, me dijo. Lo cual no es verdad, pero a mí me pesa mucho ver la crueldad del humano, entonces le respondí: es porque el hombre tiene voz, y el animal no , ¿como se defiende de tanta maldad?
Ello nos llevo a una larga discusión y a remover tantos recuerdos e imágenes anestesiados en mí, no solo los animales abandonados y maltratados que hay en México, que es de partir el alma, sino las gentes. Tantos limosneros, tantos niños de la calle, tanta desgracia y miseria, que muchas veces ya no tenemos corazón para ello y para curarnos en salud les damos una moneda o comenzamos a ignorarlos, se forma como una especie de caparazón y cubrimos con un manto de invisibilidad todo lo que no queremos ver o los negamos tal como hace Calderón.
Me había olvidado de la miseria cotidiana, pues en Francia desde luego que existe, pero no en el grado de la mexicana. Aquí nunca he visto un perro callejero, pero si pordioseros y personas que no tienen casa y viven en la calle. Los llamados SDF (sin domicilio fijo) no están tan a la deriva, hay posibilidades de que el gobierno los ayude o las ONG, incluso hay lugares en donde reparten comida gratuitamente. La miseria no es igual allá que acá, ni la política o la corrupción, por ello estoy enojada.
Y aquí me paro, porque hay mucha tela de donde cortar y la verdad hoy estoy cansada….
Publié par Filotea y Meximiliano à 22:08 0 commentaires
Libellés : Edito
La fête des morts à Paris avec autel et tout et tout!!!!!!
Et si on parle des citrouilles c’est parce que vient le temps de la fête des morts, et si vous étés intéressez allez au musée Branly qui propose un superbe programme sur les traditions des morts mexicaines, en plus son gratos
Vacances de la Toussaint
du 27 octobre au 3 novembre 2007
accès libre et gratuit dans la limite des places disponibles.
inscription sur place, à l’accueil des groupes.
Le musée du quai Branly rend hommage au Mexique et à sa tradition de célébrer les morts en proposant une programmation spéciale pendant les vacances de la Toussaint. En plus de nombreux ateliers et visites gratuits, un autel participatif est dressé au cœur du musée du quai Branly pour rendre hommage aux disparus, de manière festive et colorée !
- La fête des morts...
consultez la programmation détaillée de la semaine...
Franchement à ne pas manquer, et en plus c'est gratos et dans un superbe musée.....
Publié par Filotea y Meximiliano à 13:15 0 commentaires
Libellés : Agenda, Cultura, Mexi et le monde
Citrouille sans Cendrillon
On parle peu du Mexique dans sa dimension culturelle, peut être parce qu’on est énerves contre le gouvernement et l’inertie d’une partie de la société, mis appart tout cela, le Mexique est un grand pays riche en histoire, traditions et culture, un pays qu’a donne beaucoup au monde, que feront les frenchis sans les haricots verts ? je me demande……. Voila un joli article sur les cucurbitacées
Citrouille, potiron, potimarron... quelles courges!par Simone Estran
Est-ce pour leurs formes et leurs couleurs variées que les courges sont tant célébrées tout au long de l'automne? Elles font en effet l'objet d'un certain nombre de fêtes et festivals dans toute la France. Sans oublier bien sûr les diverses manifestations liées à Halloween...
Le simple nom de courge recouvre des légumes-fruits très différents les uns des autres, qui reflètent l'étonnant polymorphisme de la famille des cucurbitacées. Courgette, potiron, citrouille, pâtisson, potimarron, calebasse et gourde, entre autres, se disputent la même parenté.
Les courges sont apparues dans l'alimentation au Mexique 8.000 ans avant notre ère. Mais il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour qu'elles apparaissent sur les catalogues européens de graines.
On distingue cinq espèces de courges comestibles:
- "Cucurbita maxima" est représentée par les potirons (Rouge vif d'Etampes et Jaune gros de Paris), les giraumons, les potimarrons et d'autre courges moins connues (courge de Hubbard, ou l'oblongue et bleutée Blue Banana). Ces fruits sont parmi les plus gros.
- "Cucurbita pepo", ou "courge vraie", regroupe les courgettes, les pâtissons, la courge spaghetti ou encore les citrouilles.
- "Cucurbita moschata": ces "courges musquées" gagnent à être gardées en hiver; elles prennent alors une teinte brun cuivré. Elles se divisent en deux groupes: celles dont le fruit est en forme de poire plus ou moins allongée (Butternut, Sucrine du Berry, Musquée de Nice...) et celles dont le fruit a l'apparence d'un potiron très côtelé, plus ou moins aplati (courges musquées américaines ou japonaises, courge Musquée de Provence).
Deux autres espèces proviennent d'Amérique centrale:
- "Cucurbita mixta" (courges mexicaines)
- "Cucurbita ficifolia", plus connue sous le nom de Siam ou melon de Malabar.
D'autres courges sont récoltées pour la décoration: "Cucurbita
foetidissima (non comestible), "Cucurbita lageneria (groupe des gourdes) et "Cucurbita benincasa" (groupe des calebasses).
Entières, les courges peuvent être conservées sans problème pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, à température ambiante.
D'une faible teneur en calories (à peine 30 aux 100g), les courges sont bien pourvues en minéraux, oligo-éléments, vitamines variées et fibres.
Pourvu d'une écorce souvent coriace, il n'est pourtant pas nécessaire d'éplucher un potiron, celle-ci devenant très douce à la cuisson: on se contentera de bien la nettoyer. Mais sa saveur délicate, souvent peu prononcée, demande à être réhaussée par un judicieux dosage d'épices et d'aromates:
- en salade: potiron râpé cru, servi comme des carottes, avec une vinaigrette un peu corsée.
- en soupe: à servir dans le légume creusé (potiron ou potimarron), avec clou de girofle, poivre long et noix de muscade. Pour une soupe plus copieuse, ajouter des moules et du safran, ou des lardons et du fromage râpé.
- en gratin: les courges rouges ou les courges spaghetti, précuites, sont coupées en tranches, avec noix de muscade et cardamome, et gratinées avec du parmesan.
- en soufflé: la chair d'un petit potimarron mélangée à des jaunes et des blancs d'oeuf battus en neige ferme, avec piment de Jamaïque, citronnelle, cumin, sera cuite dans la coque évidée. Ajouter du haddock, des crevettes ou du munster.
- en dessert: utiliser la courge sucrine ou la courge butternut (au goût de beurre noisette) pour des tartes ou des flans. Les beignets de courges sont un délice: tranches cuites passées dans une pâte à beignets et plongées trois minutes dans l'huile bouillante. Les saupoudrer de sucre glace. AP
se/com/mw
Publié par Filotea y Meximiliano à 11:33 0 commentaires
La France se met au vert.....
Des sujets dérangeants.....
26/10-Bilan du Grenelle: Réduction de 50% des usages des pesticides en accélérant la diffusion des méthodes alternatives et sous réserve de leur mise au point...
Elysée Disours de clôture de N. Sarkozy (photos) | Le MDRGF fait le bilan des ces 6 mois de travail et envisage les suites à donner à ce processus: retrouvez le lancement du grenelle, la phase "groupe de travail", la phase "consultation du public", la négociation finale et notamment les bilans sur les pesticides, les OGM, la bio.. |
"Pesticides, révélations sur un scandale français" : Un livre choc qui dérange |
Publié par Filotea y Meximiliano à 11:18 0 commentaires
Les cours du pétrole montent inexorablement
CHRONOLOGIE
1970 : le prix officiel du pétrole saoudien est fixé à 1,80 dollar le baril.
1974 : le prix dépasse 10 dollars après le premier choc pétrolier (embargo de l'OPEP pendant la guerre du Kippour)
1979 : le cours dépasse 20 dollars, alors que vient d'éclater la révolution en Iran, qui provoque le deuxième choc pétrolier.
1990 : en octobre, à la veille de la guerre du Golfe, le baril dépasse 40 dollars.
2005 : il atteint 70 dollars avec l'ouragan Katrina sur le Golfe du Mexique.
2007 : le 12 septembre, le baril dépasse 80 dollars, le marché s'inquiétant de la baisse des stocks pétroliers américains. Le 18 octobre, le baril franchit la barre des 90 dollars à New York.
Le mondePublié par Filotea y Meximiliano à 10:59 0 commentaires
Libellés : petroleo
La fin de l'or noir???
On commence avec un sujet d'actualite, le petrol
Dans:
La moitié des réserves pétrolières seraient épuisées
Le pic pétrolier, le moment où la moitié des réserves de brut de la planète ont été épuisées, aurait été atteint en 2006. L'extraction de l'or noir serait désormais sur une pente déclinante de 3 % par an, et les compagnies n'extrairont plus que 39 millions de barils par jour en 2030 (contre 81 millions aujourd'hui). Telle est la principale conclusion, alarmiste, des experts d'Energy Watch Group (EWG) - créé par le député Vert allemand Hans-Josef Fell - dans un rapport publié à Londres lundi 22 octobre.
"Dans cette région, la production va décliner dans un avenir proche", affirme le rapport. Ce serait une très mauvaise nouvelle pour les pays consommateurs, qui comptent sur ces réserves pour alimenter leur croissance économique, alors que l'on s'attend à un déclin de la production des pays non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Russie, Mexique...) à partir de 2010.
"CHANGEMENT ÉCONOMIQUE"
Le niveau exact des réserves est invérifiable. Les pays producteurs ne sont pas tenus à une obligation de transparence. C'est ainsi que l'EWG estime les réserves de l'Iran à 44 milliards de barils (contre 130 officiellement) sur la foi d'un ancien ingénieur de la compagnie nationale (NIOC). Celles de l'Arabie saoudite ne seraient pas de 262 milliards mais de 181 milliards de barils.Les calculs du groupe d'experts allemands s'appuient sur la production actuelle et tiennent compte des difficultés des compagnies (accès aux ressources, retard des projets). Plusieurs majors pétrolières ont accusé, ces derniers mois, une forte baisse de leur production. L'EWG souligne aussi que les grands champs du golfe Persique ont atteint un pic et qu'"une augmentation de l'extraction n'est pas dans l'intérêt à long terme des pays du Moyen-Orient". Notamment des Saoudiens, dont la production serait déjà en baisse.
A ceux qui dénoncent ses méthodes de calcul, l'un des deux auteurs du rapport, Jörg Schindler, répond que "c'est sur cette base qu'EWG a pu annoncer sans se tromper que la production de mer du Nord atteindrait son pic en 2000". L'EWG juge que "le monde est au début d'un changement économique structurel" lié à la déplétion pétrolière, et que l'Agence internationale de l'énergie (AIE) adresse un "message erroné" aux politiques, aux industriels et aux citoyens.
(...)Le scénario noir d'EWG sous-estime les progrès dans les techniques d'exploration et de production, qui accroissent le taux de récupération du brut. Il minimise aussi le potentiel des pétroles dits "non conventionnels" (sables bitumineux, huiles lourdes...) rentables avec un baril à 90 dollars, même si leur extraction se fait à des coûts énergétiques et environnementaux élevés. En 1950, juste avant les grandes découvertes des décennies 1950-1970, le rapport entre réserves prouvées et production annuelle était de vingt-deux ans ; il est aujourd'hui de quarante-quatre ans.
Publié par Filotea y Meximiliano à 10:50 0 commentaires
Libellés : petroleo