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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 5 juillet 2007

Sensations fortes garanties

Le monde

Quand traverser la frontière devient un jeu pour les Mexicains


LEMONDE.FR | 03.07.07 | 19h39 • Mis à jour le 03.07.07 | 19h39
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Chaque nuit, ils sont une vingtaine à tenter de traverser la frontière. Se frayer un chemin dans l'obscurité, avancer à pas de loup et, surtout, ne pas se faire repérer par les projecteurs des patrouilles douanières. La "Border Patrol" rode, prête à lâcher les chiens... Bienvenue dans le parc d'aventure EcoAlberto ! Sensations fortes garanties.


Ces Mexicains sont en fait à environ 1100 kilomètres de la frontière avec les Etats-Unis, dans un petit village de l'Etat d'Hidalgo, au nord de la capitale, où vit la communauté indigène Hñahñu. Les touristes ont payé 100 pesos (7 €euros) pour vivre le grand frisson avec cette expédition nocturne ("Caminata nocturna"). Pendant cinq heures, ils vont marcher dans le froid, piétiner dans la boue, monter dans le coffre de camions, courir dans les champs de blé ou encore traverser le fleuve local, El Tula. Et à chaque instant, la police veille.

L'aventure semble bien réelle avec les jeux de lumière des effets spéciaux et l'expérience des organisateurs. Les membres de la communauté ont, pour la plupart, déjà tenté de passer de l'autre côté. "J'ai été 'coyote' pendant de longues années", avoue Poncho, en évoquant son passé de passeur. Dans le parc, il a gardé ce rôle. C'est lui qui, le visage constamment caché par une cagoule et un chapeau, guide ses touristes-clandestins à travers la nuit. "Chaque groupe est différent. L'itinéraire dépend de leur condition physique", précise-t-il.

"ETRE MIGRANT N'EST PAS UN CHOIX"

Pour Poncho, cette attraction n'est pas qu'un simple jeu. "Ce n'est surtout pas un terrain d'entraînement pour les candidats au départ", prévient-il pour couper court à la polémique faite autour de cette marche nocturne. "C'est un exercice de conscience sociale. A la fin de l'activité, les gens viennent me dire qu'ils n'auraient pas imaginé ressentir une telle peur au ventre." Et poursuit : "Etre migrant, ce n'est pas un choix".

Le village indigène El Alberto a perdu la moitié de ses habitants, qui ont voulu tenter leur chance pour vivre le rêve américain. La frontière la plus surveillée au monde voit passer chaque année près de 400 000 Mexicains. Un passage qui devient de plus en plus infranchissable à mesure que les tronçons de béton se dressent le long des 3200 kilomètres de frontière. "Au parc EcoAlberto, il n'y aura jamais de mur", prévient Poncho.

Au cours de la traversée, il est possible de voir sur un flanc de colline plusieurs centaines de bougies allumées qui représentent le nombre de migrants issus de la communauté. La plupart ont élu domicile à Las Vegas ou Salt Lake City. "Ce parc 100 % Hñahñu a été crée pour rendre hommage aux villageois partis, nos héros", explique-t-il. Les Mexicains sont financièrement aidés par les membres de leur famille qui ont préféré partir. Cet argent, appelé remesas, constitue depuis plusieurs années la principale source de revenus du pays avec les revenus pétroliers. En 2006, quelque 23 milliards dollars (environ 17 milliards d'euros) ont transité des Etats-Unis au Mexique.

"Aujourd'hui, nous avons notre propre source de revenus grâce aux ressources naturelles du site", se félicite Poncho. Au total, quelque 3 000 Mexicains ont découvert le parc d'écotourisme, financé par la commission nationale pour le développement des villages indigènes. Une réussite pour EcoAlberto, qui célèbre ses trois ans en juillet : aujourd'hui, cette petite entreprise emploie des Mexicains n'appartenant pas à la communauté. Le village, ancien point de départ pour les candidats à l'exode, est aujourd'hui devenu terre d'accueil.

Ségolène Allemandou

Les murs

Le monde

La contagion des murs, par Bertrand Le Gendre et Gaïdz Minassian

LE MONDE | 05.07.07 | 14h11 • Mis à jour le 05.07.07 | 14h11
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A Berlin, la chute du mur n'annonçait pas "la fin de l'Histoire". Elle préludait à d'autres soubresauts, à d'autres déchirures, comme en témoignent les barrières de béton et de barbelés construites depuis 1989 au nord du Rio Grande, à l'ouest du Jourdain ou à l'est du Tigre, pour tarir le flot d'immigrants clandestins ou combattre le terrorisme. Murs de la haine et de la peur, de l'humiliation et de l'impuissance. Contagion du chacun chez soi à l'heure où la mondialisation est censée effacer les frontières.


La clôture de sécurité séparant Israël de la Cisjordanie aura 730 kilomètres. Le mur américain courant de la Californie au Texas, au nord du Mexique, 1 120 kilomètres. Celui de Bagdad, 5 kilomètres. Les Américains le construisent pour isoler l'un des bastions sunnites les plus volcaniques de la capitale.

Partout dans le monde, des murs dressent une nation, une communauté religieuse ou un groupe ethnique contre un autre. L'Inde veut rendre infranchissable sa frontière avec le Pakistan dans la région du Cachemire. La Chine a installé une zone de sécurité à proximité de la Corée du Nord. Celle-ci est séparée de la Corée du Sud par une ligne de démarcation. La Thaïlande projette d'ériger une clôture étanche entre son Sud musulman et la Malaisie du Nord.

L'Espagne protège de barbelés ses enclaves marocaines de Ceuta et Melilla. L'Arabie saoudite voudrait rendre imperméables ses frontières avec le Yémen (au sud) et l'Irak (au nord). Une "ligne verte" coupe Chypre en deux - grec au sud, turc au nord. A Belfast, Portadown et Londonderry, une cinquantaine de "lignes de paix" séparent aujourd'hui encore catholiques et protestants...

Pour quels résultats ? En maintenant à distance les Huns, la Grande Muraille de Chine (IIIe siècle avant J.-C.) a d'abord tenu ses promesses, tout comme le mur d'Hadrien, érigé au IIe siècle par les Romains entre l'Angleterre et l'Ecosse. Mais, petit à petit, le temps a fait son oeuvre. A l'échelle des siècles, des demi-siècles parfois, les murs finissent par tomber. Un jour, la réunification s'impose, les migrations reprennent et la paix s'installe. Comme le souligne Bui Xuan Quang, professeur de relations internationales à l'université Paris-X, "retarder n'est pas empêcher".

Les murs divisent des peuples que l'histoire et la géographie ont condamnés à vivre ensemble. Allemands de l'Est et de l'Ouest. Sunnites et chiites à Bagdad. Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie. Américains des deux rives du Rio Grande, à l'image de leur passé commun : avant de hisser la bannière étoilée, le Texas et la Californie étaient mexicains.

Les murs disent leur époque : la guerre froide jusqu'en 1989, l'après 11-Septembre, les écarts de développement. George W. Bush est le propagateur de ce virus d'exclusion. Le président américain laisse les Israéliens attiser le désespoir des Palestiniens. C'est lui qui, en octobre 2006, a signé le Secure Fence Act qui cadenasse la frontière américaine avec le Mexique. Et lui encore qui a ordonné aux GI d'isoler les sunnites installés dans le quartier d'Adamiya, au nord de Bagdad.

Le mur israélien a été déclaré illégal par la Cour internationale de justice de La Haye, sans fléchir le gouvernement Olmert. Ce qui compte pour celui-ci, c'est l'étanchéité de cette clôture. Elle a tari les infiltrations de terroristes palestiniens, qui, pour la plupart, venaient de la rive ouest du Jourdain. Ce nouvel "apartheid" - l'expression est de l'ancien président américain Jimmy Carter - avait été testé avec succès à Gaza, dont très peu de kamikazes étaient originaires, parce que les Palestiniens candidats au "martyre" y sont depuis longtemps bouclés par les Israéliens.

La construction d'un mur en Cisjordanie, à la frontière mexicaine ou à Bagdad humilie les emmurés. Elle sème la zizanie chez les "emmureurs". Le premier ministre irakien, Nouri Al-Maliki, tout allié qu'il est de George W. Bush, s'y est opposé en vain. Il craint que le quartier d'Adamiya devienne un ghetto, ajoutant un peu plus au chaos. Les Mexicains, eux aussi alliés des Etats-Unis, dénoncent d'une même voix le mur que les "gringos" construisent à leur frontière.

"MR. GORBACHEV, TEAR DOWN THIS WALL !"

Le président mexicain, Felipe Calderon, le dit sans détours : "Les murs ne résolvent rien (...). Il serait plus bénéfique pour le développement de nos pays de construire 1 kilomètre d'autoroute dans l'Etat de Zacatecas ou celui de Michoacan que d'édifier 10 kilomètres de mur en Arizona." C'est aussi l'avis de la ministre des affaires étrangères mexicaine. Patricia Espinosa Cantellano soutient que le resserrement des liens économiques entre les deux pays - ils sont unis par un accord de libre-échange, l'Alena - et l'égalisation progressive de leurs niveaux de vie sont le seul moyen de stopper le flux des immigrants clandestins.

Décidé par une majorité républicaine, le mur qui sort de terre à la frontière mexicaine divise la nouvelle majorité démocrate. Avant d'être élue présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi (Californie) avait voté contre. Seuls, pour l'instant, 540 des 1 120 kilomètres de ce mur ont été financés. Une échappatoire qui annonce peut-être de nouvelles économies.

La fin du mandat de George W. Bush, en 2008, incitera-t-elle les Etats-Unis à faire marche arrière ? Les républicains, qui, sous la présidence de Ronald Reagan, ont tant oeuvré à la chute du mur de Berlin, ne jurent plus aujourd'hui que par cette solution, qui n'en est pas une. L'apostrophe de l'ancien président à son homologue soviétique, en juin 1987, est passée à la postérité : "Mr. Gorbachev, tear down this wall !" ("Monsieur Gorbatchev, abattez ce mur !")

L'histoire du mur de Berlin en dit long pourtant. A l'instar du mur israélien et de celui en construction à la frontière mexicaine, il a d'abord fait la preuve de son efficacité. La situation était en train d'échapper à Khrouchtchev et à Walter Ulbricht, ses initiateurs. Rien qu'au mois de juillet 1961 - le Mur fut édifié dans la nuit du 12 au 13 août -, trente mille Allemands de l'Est étaient passés à l'Ouest. La RDA se vidait de ses forces vives. Le Mur mit fin à cette hémorragie, mais il exacerba le désir de liberté des emmurés.

L'histoire finit bien. C'est à Heiligendamm, en ex-RDA, qu'une "Ossie" devenue la chancelière de 82 millions d'Allemands a organisé le dernier G8. Vladimir Poutine aurait pu y faire part à George W. Bush de son expérience d'ex-agent du KGB en poste en Allemagne de l'Est. A savoir que l'on n'entrave pas le cours de l'Histoire avec du béton et des barbelés.

Mas sobre la guerra en IRAK

Jornada

Immanuel Wallerstein

Finalizar la guerra de Irak: dos planes contrapuestos

Sólo hay dos planes serios -o tal vez deberíamos llamarles maquinaciones- para ponerle fin a la guerra de Irak. Muchos se sorprenderán al darse cuenta de que uno es formulado por George W. Bush, y el otro por Moqtada al-Sadr. Los dos planes comparten la presuposición de que la guerra de Irak es un pantanal donde los proponentes de estos planes pierden más cada día que pasa. En todo lo demás, ambos (las dos maquinaciones) están en conflicto entre sí.

Cuando las cosas marchan mal de todos los modos posibles, los realistas descartan los objetivos máximos y buscan un arreglo que les otorgue por lo menos algo crucial. Entonces, la cuestión es: ¿qué es lo absolutamente crucial para George W. Bush y qué es lo absolutamente crucial para Moqtada al-Sadr?

Si comenzamos con Bush, primero que nada olvidemos la retórica y olvidemos lo que eran sus objetivos al inicio de la invasión de Irak. Pensemos dónde está él hoy. Ha perdido la mayoría del apoyo popular estadunidense para la guerra en Irak (éste bajó a un tercio, según las encuestas más recientes), y todos los signos parecen indicar que a menos que hubiera una mejoría militar, las cifras serán aún peores hacia fines del verano. Y en cuanto a la situación militar, el general Petraeus, comandante de las tropas estadunidenses en Irak, parece ser el brillante capitán de un barco que se hunde y nada de lo que Estados Unidos favorece en términos de política iraquí parece estar ocurriendo. El Partido Republicano corre el riesgo de tener que pagar un alto costo por esto en las elecciones de 2008.

Entonces, si fueran ustedes Bush, ¿qué intentarían salvar? De la larga lista de objetivos estadunidenses en Irak, el más importante ha sido el establecimiento de una base militar estadunidense, de largo plazo, en el país. En términos de política estadunidense, sin duda Bush querría minimizar el impacto negativo sobre las elecciones de 2008. Si estas dos cosas tuvieran prioridad, ¿cómo habría que hacerle? Una filtración reciente indica cuál maquinación se cocina

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* * *

John Saxe-Fernández

EU 2008: ¿otro putch?

Por medio de una operación de espionaje, la semana pasada la camarilla de Bush dio la señal de arranque a la campaña para mantener la presidencia imperial bajo la égida neoconservadora, es decir, de la ultraderecha militar. Así lo percibió Fidel Castro al comentar en Juventud Rebelde la desclasificación por la Casa Blanca de 700 páginas de los archivos de la CIA que relatan algunas de las peores acciones secretas de terrorismo de Estado perpetradas en ultramar entre 1953 y 1973, incluyendo operativos de desestabilización de varios gobiernos e intentos de asesinato contra el líder cubano. Es "notorio" que el gobierno "que menos documentos ha desclasificado en la historia de EU y que incluso inició un proceso de reclasificación de información previamente desclasificada, tome la decisión ahora de hacer estas revelaciones", advirtió Castro, agregando que ante un creciente rechazo de la opinión pública, el gobierno de Bush quiere mostrar, "en los preámbulos del proceso electoral, que las administraciones demócratas fueron iguales o peores que la de Bush".

Aunque no sorprende, resulta neurálgico que, de cara a las elecciones de 2008, Bush et al recurran otra vez al aparato de espionaje y a las operaciones clandestinas, para incidir en la dinámica política doméstica y externa. Así lo han hecho de manera persistente "antes" y después del 11-9, cuando el clima político no les favorece.

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Cinismo

Jornada

Bush: mentiras, paciencia y carnicería

Con el cotidiano telón de fondo de las decenas de muertos en el Irak ocupado, el presidente George W. Bush invocó ayer la "paciencia" de sus gobernados ante la prolongación de la guerra contra el infortunado país árabe y aseguró que "la victoria" de Estados Unidos requiere, además, de "más coraje y más sacrificio". En la base aérea de la Guardia Nacional, en Virginia Occidental, y flanqueado por una enorme bandera, Bush pronunció un discurso patriotero, ciertamente a tono con la celebración de la independencia de la nación vecina -4 de julio-, pero sumamente alejado de la realidad.

Pueblo iraquí no necesitará la ayuda de 159 mil soldados estadunidenses en su país", abundó el gobernante, como si algún pueblo necesitara por un solo día en su territorio a un ejército invasor y como si la nación agresora requiriera invertir 3 o 4 mil vidas en la destrucción de un país que nunca le ha significado una amenaza.

Las exhortaciones chovinistas de Bush tuvieron su efecto hace cuatro años y fueron, a pesar de las mentiras contenidas en ellas, un aliciente para exacerbar los ánimos de la opinión pública estadunidense en respaldo a la invasión, el arrasamiento y la ocupación de un país petrolero situado a miles de kilómetros de distancia. Pero desde abril de 2004, cuando se dieron a conocer las atrocidades cometidas por las tropas ocupantes en la prisión de Abu Ghraib, el apoyo popular a la empresa bélica ha ido disminuyendo de manera sostenida. Hoy es ampliamente mayoritario el rechazo social a la permanencia de las tropas en Irak y los márgenes de acción de la Casa Blanca se han estrechado de manera perceptible, especialmente después del triunfo demócrata en las elecciones legislativas del año pasado.

Más allá de las realidades políticas y mediáticas de Estados Unidos, hay numerosos datos que indican la imposibilidad de que las fuerzas de ese país y sus tropas aliadas derroten a las organizaciones de la resistencia en Irak, o de que desempeñen un papel positivo para devolver la paz a esa martirizada nación. De acuerdo con la información procedente del teatro de operaciones, a cuatro años de la invasión los agresores no han conseguido ni siquiera ejercer un control efectivo en Bagdad, y mucho menos en el resto del territorio de Irak. En este contexto, las operaciones contra bastiones insurgentes como la que se lleva a cabo en estos días en la provincia de Diyala y su capital, Baquba, parecen ser simples incursiones punitivas, ciertamente mortíferas, pero efímeras, y una vez concluidas la insurgencia vuelve a tomar el control de las regiones atacadas.

La idea del Pentágono de sustituir de manera paulatina a las fuerzas ocupantes con cuerpos policiales y militares locales, entrenados y armados por Washington, tampoco ha dado resultados apreciables. En un contexto social de descomposición tan extrema como el que caracteriza al Irak ocupado, los intentos por conformar una milicia mínimamente confiable y disciplinada son como hacer estatuas con arena suelta. Los reclutas son asesinados en cuestión de días, desertan, se corrompen o se dedican a extorsionar a la población, y se ha sabido que no son pocos los casos de efectivos regulares que se pasan con todo y sus armas a las filas de la resistencia.

La única razón real para mantener a las tropas ocupantes en Irak por tiempo indefinido es la perspectiva de seguir brindando contratos a corporaciones del círculo presidencial estadunidense, como Halliburton, y seguir enriqueciendo, a costa de las vidas de iraquíes y de invasores, y con dinero de los contribuyentes, al puñado de empresarios vinculados a la mafia que controla la Casa Blanca.

Esta realidad es cada vez más clara para los segmentos mayoritarios de la sociedad estadunidense, y las proclamas patrioteras de Bush ya no dan el mismo resultado que hace cinco o seis años. Si en el momento actual la creciente presión interna -civil y legislativa- por un retiro rápido de las tropas fuera acompañada de un deslinde inequívoco y severo por parte de los gobiernos europeos, los cuales tienen todos los elementos de juicio para tomar distancia de la persistente y absurda carnicería que tiene lugar en Irak, es probable que el gobernante de Washington no tuviera más remedio que aceptar, de una vez por todas, la derrota a la que ha conducido a las fuerzas armadas de su país, las más poderosas del mundo.


Los peligrosos son los políticos

Jornada

Octavio Rodríguez Araujo

El temor al pueblo

Hubo un tiempo en el que los presidentes mexicanos salían a la calle en automóviles descubiertos y nadie los mataba ni les tiraba tomates o huevos podridos. Después del asesinato de John F. Kennedy las cosas cambiaron, primero en Estados Unidos y luego, poco a poco, en todo el mundo. Ahora hasta el jefe del Estado Vaticano viaja en papamóvil blindado acompañado de guardias de seguridad. El mundo se ha vuelto más peligroso.

Sin embargo, no debemos confundirnos con la realidad de hace 40 y más años por lo que se refiere a los presidentes mexicanos. Viajaban en descapotables y se asomaban al balcón de Palacio Nacional, pero "el pueblo" que los aplaudía eran trabajadores llevados bajo cuerda (acarreados) por sus dirigentes sindicales. En otros términos, el pueblo no agredía a los gobernantes, pero tampoco los aplaudía espontáneamente. La legitimidad popular, pues, estaba en entredicho, era cuestionada y, en el caso del México de entonces, cuando el PRI ganaba de todas todas, se aceptaba al gobernante no por su carácter democrático, pero sí porque había estabilidad económica y crecimiento anual de 6 por ciento con una tasa de desempleo mucho menor que la actual. No se gobernaba para las masas, pero éstas no sufrían tanto como ahora los estragos de la pobreza, del desamparo y de la altísima concentración de capital que vivimos en la actualidad. Había ricos y millonarios, sí, pero nuestros hombres de negocios no salían en la lista de Forbes o revistas parecidas.

Ahora se dice que aquellos gobernantes eran "populistas", y algo hay de cierto, pero lo que no se dice es que no le temían al pueblo (no como ahora). Y éste es un dato significativo en el que poco se repara, a pesar de su importancia. Los recientes gobernantes, tanto del PRI como del PAN (desde López Portillo hasta Calderón), sólo salían y salen a la calle en medio de burbujas de protección, y a los gobernados los recibían y los reciben (cada vez menos) en sus oficinas en Los Pinos, después de pasar por una serie de medidas de seguridad inimaginables para el ciudadano común. Es más, en los últimos años los gobernantes ya ni siquiera se arriesgan a reunirse con los trabajadores de las grandes centrales sindicales, los mismos que antes, aunque fueran acarreados, les tiraban papel picado y les movían banderitas a su paso. Vaya, ni el primero de mayo salen al balcón central de Palacio Nacional; prefieren reunirse (en Los Pinos, obviamente) con los líderes charros que enfrentar el descontento del pueblo. Han perdido legitimidad incluso entre los trabajadores controlados por sus dirigentes, en su mayoría tan autoritarios como sus antecesores de los tiempos del priísmo gobernante y corporativo.

El problema real no es que los índices de peligro hayan subido en México y en casi todos los países del mundo. Si fuera así no habría nadie caminando por las calles. Sabemos, quienes hemos vivido más de 50 años, que desde mediados de los años 80 es riesgoso salir a la calle o comer en un restaurante, sobre todo de noche, pero no nos encerramos en casa; y también sabemos que esto no ocurría antes, cuando éramos jóvenes. En aquel entonces los peligros eran que nos robaran la cartera (sutilmente, por cierto) o que nos viéramos envueltos en alguna riña callejera o de cantina. No más. Ahora hay más riesgos, pero igual tenemos que ir a trabajar o a casa de los amigos o a un bar o restaurante, o al cine o a un concierto. No. Este no es el problema más grave. El problema es que los gobernantes y los políticos que saben que carecen de legitimidad y de aceptación popular se sienten en peligro. ¿De los asaltantes, secuestradores o drogadictos desesperados? No, del pueblo. ¿Por qué?

Si fueran legítimos, si fueran aceptados por el pueblo, si no le debieran nada a éste, si tuvieran la conciencia tranquila del deber cotidiano cumplido, si estuvieran haciendo lo que tienen que hacer para favorecer al pueblo, no deberían de tener miedo. ¿Por qué Andrés Manuel López Obrador camina en la calle tranquilamente? ¿Por qué en su camino al templete en el Zócalo de la ciudad de México saluda incluso de mano a la gente que le queda cerca? ¿Y por qué, al mismo tiempo, Felipe Calderón tiene que celebrar "su victoria" en privado (sin pueblo), con mariachis previamente investigados y protegido por soldados y policías?

Las anteriores preguntas no son formuladas con ganas de molestar a nadie. Lo que me interesa es invitar a los críticos de López Obrador a que reflexionen sobre estas diferencias. Y me dirijo tanto a los críticos de derecha como a los que se dicen o se creen de izquierda. Es decir a todos.

Alguien diría que si agreden a Calderón o lo matan habría una enorme crisis política y el país entraría en el caos. Esto no es cierto y no tiene fundamento alguno. La Constitución tiene previsto esto y más. No pasaría nada. A lo más un velorio, altamente vigilado, en algún lugar privado y de aceptación elitista (y no por cierto en los velatorios del ISSSTE). Y otra cosa: podemos estar absolutamente seguros de que el pueblo, compuesto por esas masas que tanto teme Calderón, no le haría nada. Ese temido pueblo no se dedica a matar presidentes ni políticos por impopulares que sean. Los abuchea, es verdad, pero no los mata.

El pueblo no es peligroso. Los peligrosos son los políticos que están en contra del pueblo, los guaruras que los protegen (militares o policiacos), los maleantes, los policías o ex policías que se dedican a secuestrar gente, los sicarios de los narcotraficantes, los fanáticos religiosos y de pro vida, y algunos más, pero no el pueblo.

Todos sabemos que no todo el pueblo está con López Obrador ni todo en contra de Calderón, pero también sabemos que el primero no le teme y el segundo sí. ¿Por qué? Porque el primero es legítimo, aunque no sea presidente, en tanto que el segundo es ilegítimo, aunque sea presidente. Así de sencillo.

AMLO continua

Jornada

Adolfo Sánchez Rebolledo

A un año

Andrés Manuel informó el domingo que ya llevaba registrados un millón de representantes del gobierno legítimo de los cinco que espera reunir durante esta etapa. En buena hora. Se trata de un gigantesco conglomerado ciudadano dispuesto a movilizarse en torno a varias causas fundamentales, entre las cuales destaca la defensa del patrimonio nacional y, por ende, la oposición radical a toda forma de privatización de las industrias del petróleo y la electricidad. En esa fuerza emergente se halla, sin duda, parte importante del capital político acumulado por López Obrador, la concreción de un esfuerzo electoral que tuvo como bandera principal la causa de los más desprotegidos y olvidados, la reivindicación de un programa donde la desigualdad deja de ser una cifra más, un dato revelador y moralmente inasimilable, pero funcional con la lógica del sistema y el poder.

Perseverar en ese camino es, en mi opinión, el saldo más favorable de un año realmente difícil, la aportación singular de la izquierda a un exiguo debate nacional, caracterizado por el afán oficialista de conseguir la normalidad sin intentar siquiera reflexionar sobre la naturaleza de la crisis que aqueja al país. Y es que, en definitiva, la democracia no puede sobrevivir sin negarse cuando pretende edificar sobre una nación polarizada por la desigualdad de la población.

Es una ilusión creer que México puede modernizarse sin una política volcada a buscar el desarrollo económico y social, aunque en ese punto no hay cambios a la vista. El gobierno repite las viejas fórmulas o procura la mediocridad del arreglo "táctico" para no levantar polvaredas en materia fiscal, sin demostrar, al menos, el deseo de modificar ligeramente el rumbo principal. Obviamente, el futuro inmediato no será sencillo para nadie.

Encuestas van y vienen, pero lo cierto es que la disputa seguirá presente en la escena mientras persistan las causas que la engendraron. Un ejemplo: el linchamiento mediático como recurso permanente contra "el enemigo". En un año hemos visto toda suerte de campañas contra López Obrador, incluyendo la que se hizo para probar ex ante que éste fracasaría en el intento de reunir en la plaza a sus partidarios. No lo han conseguido.

Ahora está en curso otra ofensiva cuyo objetivo es bastante elemental: introducir la cuña de la división entre López Obrador, los gobernadores y los grupos parlamentarios que constituyen el Frente Amplio Progresista (FAP), aprovechando la aparente descoordinación entre ambos (o diferencias reales) y la ausencia de un trabajo político cotidiano y visible por parte de los partidos aliados. Pero hay algunos elementos que contribuyen a dichas campañas. Por ejemplo, la desconfianza existente en algunos círculos izquierdista a concebir el trabajo parlamentario como esencial para el despliegue de la alternativa de la izquierda o la aceptación acrítica de la dicotomía entre la acción "desde abajo" y la actuación en "las instituciones del Estado", como si la complejidad del momento se redujera, una vez más, a la redición del viejo debate entre "dialoguistas" e "intransigentes". Sin embargo, la izquierda perdería una de sus razones de ser en el México de hoy si no consigue que sus planteamientos sean debatidos (y, eventualmente, aprobados) en esas instancias. Así se hizo con rigor y compromiso indiscutible durante los años en que la representación de la izquierda era absolutamente minoritaria en el Congreso, no sólo ante la aplanadora gubernamental, sino también frente a otros grupo, como el del PAN. Esa lúcida presencia contribuyó, sin duda, a transformar las instituciones y a darle nuevas perspectivas a la ciudadanía. ¿Cómo no hacerlo con mayores exigencias ahora que se cuenta, además, con el respaldo de una votación histórica y la movilización cotidiana de millones de personas dispuestas a conseguir los cambios necesarios.?

Aunque la situación objetiva "trabaja" a favor del cambio, es imposible olvidar que la actual coalición dominante cuenta con el aparato gubernamental, con la docilidad de buena parte del Poder Judicial, con el apoyo no disimulado de la Iglesia católica y el empresariado y, sobre todo, cuenta con los medios, cuya responsabilidad trasciende el ámbito de la "comunicación" política al constituirse en el principal inspirador del "sentido común" conservador sobre el cual descansa la aceptación de la oferta de la derecha.

En ese sentido, ninguna "alternativa" será viable si no se concreta en las urnas. Si la izquierda aspira a ganar las elecciones de 2009 y luego las presidenciales de 2012 tiene que comenzar ahora, construyendo la estructura territorial que es imprescindible para que no se pierda un solo voto favorable. Este trabajo no es opcional, pese al desencanto que ya consignan las encuestas.

Se dirá, con razón, que el problema es político y no organizativo. Pero es difícil imaginar un cambio de fondo sin modificar esa especie de bipartidismo electoral, sin duda anómalo, sobre el cual se sustenta el "régimen de partidos" en algunas regiones del del país. Además, ganar las elecciones supone hacer realidad la unidad dentro y fuera de los partidos que participan en el FAP, y atraer a sectores distantes de la izquierda organizada, lo cual es complicado de lograr, como hemos visto. En el futuro próximo, la izquierda tendrá que reflexionar a fondo sobre su futuro y hacer el balance que sigue pendiente.

Transformar MEXICO

Jornada

Deben evolucionar, dice en foro sobre reforma del Estado

Transformar a IFE y Fepade no es vendetta: Samuel Palma

FABIOLA MARTINEZ, ANDRES T. MORALES

Boca del Río, ver., 4 de julio. Ante el objetivo de los partidos Revolucionario Institucional (PRI) y de la Revolución Democrática (PRD) de transformar la actual estructura del Instituto Federal Electoral (IFE) -incluida la sustitución paulatina de los consejeros-, y dar autonomía a la Fiscalía Especializada para la Atención de Delitos Electorales (Fepade), el diputado Samuel Palma, responsable del foro Democracia y Sistema Electoral, dijo que el proyecto no responde a ''vendettas de carácter personal ni ajuste de cuentas'', sino a la intención de permitir la evolución de las instituciones.

Agregó que la reforma electoral ''no unifica ni compite'' con la agenda legislativa de otras iniciativas, como la enmienda fiscal presentada por la administración calderonista, y tampoco con temas de coyuntura, como la pretendida candidatura de Jorge Hank Rhon al gobierno de Baja California, actualmente bajo análisis del Tribunal Electoral del Poder Judicial de la Federación (TEPJF).

''Esto no es un atentado contra los organismos electorales, ni una moda, sino una necesidad de transformarlos'', expresó.

Al término del foro -convocado por el Congreso de la Unión en el contexto de la reforma del Estado- se informó que de casi 800 ponencias presentadas (en el transcurso de cinco foros temáticos) hay ''enormes coincidencias'' en materia electoral que permiten estar en condiciones de generar iniciativas de ley que discuta a la brevedad el Legislativo.

Leer competa

Pero al diablisimo con las instituciones

La pesadilla llamada México

Es tiempo de un cambio, pero de una gran limpieza en el país, le hace mucha falta.
Tenemos una des las burocracias mas caras del mundo que no sirve para nada.
Un instituto federal electoral, carisisimo al que le pagamos a precio de oro para que ayude a los fraudes electorales del partido en el poder.
Políticos ineptos e inescrupulosos.
Partidos políticos que merecen mas el tilde de "carteles" como los llaman ciertos periodistas, que no representan a nadie mas que a sus propios intereses.
Gobernantes que cobran y además son mafiosos (Ulises Ruiz y Enrique Pena Nieto por ejemplo) o cómplices de pederastas ( mario Marín). Solo por nombrar algunos porque de los treinta y tantos que hay no se hace uno.

Un defensor de los derechos humanos que defiende a Calderon en su función de gastroenterologo descalificado, pero que deja morir a los ofendidos.
Un gobierno federal usurpador, con evidencias de ello y al que todo mundo llama "presidente", a sabiendas que se robo el cargo.
Un Estado que ha roto su pacto social.
Y una República despedazada.

Y asi pudiéramos hacer mas larga la lista de joyitas que tenemos en México y nos faltaría espacio.
Basta ya de tanta falsedad es hora de llamar a todo por su nombre y lo que se vive en México en estos momentos es una burla y una vulgar comedia.
Nadie cree en las instituciones por desacreditadas y corrompidas, pero eso si las defienden como perros rabiosos (claro si no a quien le cobran).

De la provocación a la agresión

POR ESTO!

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jueves, 05 de julio de 2007

Por Raúl Moreno Wonchee

Mirador

Seguramente usted, despistado lector, algo oyó o leyó sobre el asunto pero no le prestó suficiente atención por andar distraído con otras danzas. O sones, como el que tocó el chino Zhenli para poner a bailar al gobierno y su partido. Pero el chino, o más precisamente el exchino y desde hace unos años mexicano Zhenli Ye Gon, no es solista sino que toca en una magna orquesta sinfónica donde sólo interpreta su partitura. Orquesta sinfónica de Estado, de las mismas que desde hace poco más de dos décadas tocan bajo la batuta del Departamento correspondiente desde que Ronald Reagan decidió usar el narcotráfico y su parafernalia como instrumentos de intervención política y militar.

El caso es que la sensacional entrevista de AP al exchino publicada a los 50 días, prácticamente al mismo tiempo que la insólita carta de los abogados del poderoso empresario al presidente Calderón, no fue una bomba sino una tarantela cuyos compases atraparon en su frenesí al secretario Lozano Alarcón, que en compañía del procurador Medina Mora corrió a comparecer a la tele. Y como si su palabra estuviera por encima de las contingencias de su oficio, los altos funcionarios gubernamentales creyeron suficiente descalificar a Zhenli, presunto narco y autoproclamado narcopolítico, cuyas declaraciones implican a Lozano que fue figura clave en el equipo del candidato panista a la Presidencia, al partido y al propio candidato.
Ojalá bastara la palabra de tan distinguidos funcionarios para disipar los perniciosos efectos de esas declaraciones, pero me temo que no. El gobierno debe sobreponerse al ataque de nervios y actuar con toda propiedad, lo que hasta ahora no ha hecho. Porque Zhenli no es un narcomenudista de barrio sino, como lo apuntó el senador Doring, todo un personaje de Walt Disney con piscinas rebosantes de dólares, que va y viene a través de la frontera a ciencia, paciencia y conveniencia del gobierno norteamericano, y cuyos abogados gringos, connotados personajes de las mafias ultraconservadoras, se atreven a dirigirse públicamente al Presidente de México en los términos amenazantes y vulgares de los bajos fondos de la política gringa.
Que la Procuraduría General de la República inicie la averiguación previa a que está obligada; que el secretario Lozano entienda que, aunque traiga bronca personal con Zhenli, el asunto obliga al gobierno a actuar con la unidad que demandan los hechos; y que el presidente Calderón tome una decisión extraordinaria para que, con el concurso de los otros poderes, ponga a salvo a la institución que representa de una situación que, de no esclarecerse, comprometería su legitimidad ya no frente a quienes se la niegan por motivos electorales, sino ante toda la sociedad mexicana y la comunidad internacional.
La Secretaría de Gobernación debe investigar y aclarar los vínculos del Zhenli y la naturaleza de su actuación, y la Cancillería exigir explicaciones al gobierno estadunidense. Ahora caigo en la cuenta de que el tema original de este artículo se me estaba escapando por andar de distraído. Permítame entonces, indulgente lector, referirme a ese otro asunto. Hace un par de semanas, el gobierno mexicano supo que el gobierno norteamericano había construido más de 5 kilómetros de muro en territorio mexicano (caso distinto al denunciado en febrero por el diputado Samuel Aguilar y que originó una protesta unánime de la Cámara de Diputados). En esta ocasión el tramo fue mucho más largo y no fue exactamente un muro sino una estructura de contención militar que construyó el ejército gringo invadiendo territorio mexicano. De este lado no se produjo protesta alguna sino apenas una solicitud de la Cancillería que fue respondida displicentemente por el gobierno nortemericano que, no obstante haberse comprometido a remover la construcción el pasado viernes (así lo anunció el presidente Calderón), no lo hizo sino hasta el domingo.
La invasión militar del territorio nacional no se debió a un error topográfico sino fue una acción deliberada para humillar al Ejército Mexicano guardián de la integridad territorial, a su jefe el Presidente de la República, al Congreso de la Unión, a los partidos, a México y a los mexicanos. Si el caso Lizhen huele a provocación, la invasión militar a Palomas, Chihuahua, fue una agresión. Ambas forman parte de una táctica para debilitar a México. A la división que siempre aprovechan los gringos, se suma la ignorancia y la impericia del grupo gobernante, ahora bajo sospecha. La pelota está en la cancha del Presidente.

Plutocracia

De blogotitlan

Asimetrías

La Descomposición

El aniversario de la espuria "victoria electoral" de Felipe Calderón confirmó la crisis de la organización política actual, ajena a los intereses del Estado mexicano y, por tanto, de la sociedad nacional.



por Fausto Fernández Ponte

I

La celebración del aniversario de la espuria victoria electoral de Felipe Calderón fue elocuente: confirmó sin tapujos que la forma de organización política prevaleciente sufre una crisis severísima.

Y esa crisis tiene síndromes a plenitud: descomposición de sus componentes y agentes cohesionadores que, en dramático contraste, no cumplen su fin. No hay cohesión en la forma de organización política.

Y lo que sí hay --tal es la secuela-- es una crisis del poder formal y, en ese contexto dialéctico, una crisis del Estado y sus instituciones. La espuriedad prevaleció. Prevalece aún.

¿Por qué? Porque el poder formal --el Estado-- no es la consecuencia de un contrato social, entendido éste en su sentido rosseauniano. En México, la sociedad y el poder están divorciados.

Ese divorcio, empero, no es de reciente origen, aunque sí se ha acentuado en los últimos años --desde el sexenio de Carlos Salinas--, habiendo alcanzado el pináculo en la coyuntura electoral del 2006.

La inexistencia de ese contrato social se remonta a los sexenios civilistas del poder formal, desde el de Miguel Alemán, aunque se hizo notoria durante los gobiernos de Gustavo Díaz Ordaz y Luis Echeverría.

II

Para ese entonces, el contrato social --el de la Revolución Mexicana-- había perdido vigencia, pues el poder se ejerció bajo socaliñas y simulaciones monstruosas, las de la dictadura perfecta.

Pero, a todo ésto, ¿qué es un contrato social? Hobbes, Locke y Rosseau, entre otros, lo enunciaron con nitidez. Es una suerte de acuerdo tácito, no escrito, entre los individuos.

Mediante ese acuerdo tácito, los individuos arribarían a una forma de convivencia social en la que el poder, sometido a la ley, se coloca al servicio del respeto de las prerrogativas de todos. De todos.

Esto nos lleva a la tesis hobbesiana del contrato social. Por su natural condición, el hombre está animado por un deseo insaciable de poder. Ello convierte la convivencia en permanente estado de guerra.

En Leviatán --publicado en 1651--, Hobbes describe al hombre como "el lobo del hombre". Mas el hombre es también un ser dotado de razón y buscó y halló la manera de superar ese "estado de naturaleza".

Así pues, "contractualmente" los hombres convinieron todos sus derechos naturales a favor de la colectividad. Se constituyeron de esa guisa en sociedad política: contrato social y estado de sociedad.

III

Rosseau desarrolló esas ideas y, con ello, ejerció imponderable influencia sobre los hechos revolucionarios en Estados Unidos y Francia e inspiró el derecho público moderno en Occidente.

En su obra capital, precisamente El Contrato Social, publicado en 1762, Rosseau le dio a este instrumento la categoría de postulado de la razón y no de sucedido histórico.

Rosseau le dio, pues, al contrato social un sentido puramente deontológico, para acentuar la necesidad racional para concebir al Estado como fruto de la convergencia de voluntades.

En México, el Estado no es --reitérese: no es-- resultado de una convergencia de voluntades, sino la herramienta de una élite --una mafia, la define Andrés Manuel López Obrador-- de poder.

Y ello explica los hechos y sucedidos cotidianos que nos describen una profunda crisis del poder e inferidamente del Estado mismo. Sin un contrato social, el Estado vive en secuestro. Plutocracia.

Y hay anomia --relajamiento del respeto a las normas morales y jurídicas-- no sólo en la sociedad misma, sino en el poder (o sea el Estado). Quienes conforman el Estado viven por el poder mismo.

En ese contexto se inserta la celebración del "triunfo" calderonista de hace un año. Es un triunfo pírrico, ajeno a los intereses del Estado mismo y, ergo, de la sociedad.

ffponte@gmail.com

Glosario:

Deontológico: de deontología. Ciencia o tratado de los deberes.

"Dictadura perfecta": expresión acuñada por el escritor Mario Vargas Llosa para describir al sistema político mexicano.

Pírrico: falsa victoria. Se aplica a la danza usada en la antigua Grecia en la que se imitaba un combate.

Plutocracia: gobierno de los ricos.

Siempre no fue gasgtritis.....

Proceso

Emplaza el IFAI a Presidencia a pronunciarse sobre el caso de Ernestina Ascencio


maría de la luz tesoro México, D.F., 4 de julio (apro-cimac).-

La Presidencia de la República tiene que entregar una declaración oficial donde reconozca que Felipe Calderón no tenía ninguna prueba documental para afirmar que la señora Ernestina Ascencio Rosario, murió por gastritis, afirmó el comisionado del Instituto Federal de Acceso a la Información Pública (IFAI), Juan Pablo Guerrero Amparan.

Explicó que la Presidencia tiene que admitir que se dio esa valoración sin prueba documental, mediante la entrega al solicitante de la declaración oficial de inexistencia del documento en que se basó el Ejecutivo federal para declarar que Ascencio Rosario murió de una gastritis crónica no atendida.

La declaración oficial será la respuesta a la solicitud de información que, con número de folio 0210000063007, un solicitante hizo llegar al IFAI.

La Presidencia respondió así a la solicitud de “información en la que el c. Presidente de la República se basó para declarar que las causas de muerte de la señora Ernestina Ascensión Rosario, acontecida en la sierra de Zongolica, era una gastritis crónica no atendida (sic), le externamos lo siguiente:



“Después de haber realizado una búsqueda exhaustiva en los archivos de Presidencia de la República, no se ha localizado ninguna ‘información’ o documento que haga referencia a lo solicitado, por lo que la información se declara inexistente.

“Sin otro particular, y habiendo dado cumplimiento y forma al requerimiento de información en el marco de la Ley Federal de Transparencia y Acceso a la Información Pública Gubernamental quedamos de usted. Atentamente, la Unidad de Enlace”.

Esta respuesta originó que, en la sesión del pleno del IFAI, se votara hoy por unanimidad el recurso 1494/07, en el que el solicitante pide a la Presidencia de la República la información en la que Presidente de la República se basó para declarar que las causas de la muerte de Ernestina Ascencio, ocurrida en la Sierra de Zongolica, Veracruz, en febrero pasado, por una violación tumultuaria por presuntos elementos del Ejército mexicano, era un gastritis crónica.

En entrevista, el comisionado ponente Juan Pablo Guerrero dijo que la opinión pública conoció, en principio, de qué murió la señora por una autoridad (Felipe Calderón) que no era competente, en ese momento, en la materia.

Añadió que “cuando se le pregunta con qué pruebas documentales basó su declaración, la Presidencia dice pues no hay documentos, por lo que me parece que no es cualquier declaración y esa es la particularidad del caso”.

Guerrero Amparan subrayó que en la valoración que él hace del caso, como miembro del IFAI, es que, en términos de la ley, “yo como comisionado ponente, sí me parece observar, y es de sorprender que se establezca una declaración con esa valoración sobre las causas de un trágico evento sin prueba documental”.

Durante la discusión del proyecto presentado por el comisionado ponente, causaron sorpresa e indignación las declaraciones que, sobre el tema, hacía el presidente de la Comisión Nacional de Derechos Humanos, José Luis Soberanes, principalmente las que hizo en los últimos días.

La papa caliente... en chino

Proceso
Narco, el cogobierno

josé gil olmos México, D.F., 4 de julio (apro).-

Dos hechos enmarcan el primer aniversario de la administración de Felipe Calderón: la supuesta narcocumbre avalada por un representante de su gobierno y la revelación del chino Zhenli Ye Gon, acusado de narcotráfico, quien denunció que el PAN le pidió que guardara 205 millones de dólares que estarían destinados a la campaña del 2006 del entonces candidato presidencial.

Ambos hechos ponen en entredicho la probidad del gobierno calderonista, ya que no se pueden evitar las dudas respecto a la forma en que representantes de su gobierno han enfrentado el narcotráfico y, principalmente, su implicación en este negocio ilícito.

Sólo para recordar está el caso del embajador de México en Canadá, Emilio Goicochea Luna, quien tuvo relaciones con Genaro Caro Quintero, hermano de Rafael Caro. Fotos de estos dos personajes juntos en 1992, reveladas en un reportaje de Alejandro Gutiérrez (Proceso 1590), nos muestran cómo el panista –que entonces buscaba la gubernatura de Sinaloa--, hecho diplomático al inicio de este gobierno, ha tenido nexos con uno de los narcotraficantes más poderosos.

Cuando se publicó el reportaje, uno pensaría que lo más lógico habría sido la destitución inmediata de Goicochea como embajador, pero el gobierno de Calderón no hizo nada, guardó silencio.

Esta actitud displicente, incluso comprometedora del gobierno calderonista, con el narcotráfico se evidencia nuevamente con la presunta participación de representantes gubernamentales en la narcocumbre --que se habría realizado en Aguascalientes, Tamaulipas o en Monterrey--, la primera semana de junio pasado.

Supuestamente un representante del gobierno de Felipe Calderón estuvo como “árbitro” entre las partes en ése cónclave del narcotráfico. De ser cierto, resulta preocupante que el gobierno federal juegue un papel de réferi, pues con ello estaría reconociendo una supeditación al poder del narcotráfico: en lugar de atacarlo, estaría aceptándolo como actor principal en el acto de gobernar.

Después de aquella jornada histórica en la que fueron ejecutadas 21 personas --la primera semana de junio--, los muertos por las luchas intestinas del narcotráfico disminuyeron drásticamente y nadie se explicaba el porqué, hasta que empezaron a circular las versiones de que los jefes de los principales carteles se habían puesto de acuerdo para dividirse el territorio nacional, como si fueran ejércitos vencedores de una guerra que ya lleva seis años con más de 10 mil muertos.

La primera noticia publicada en el diario Reforma llamaba la atención, pues se daba por hecho la supuesta asistencia de un representante del gobierno federal en calidad de árbitro. ¿De árbitro? fue la primera pregunta que surgía de esta versión. Y frente a la gravedad del hecho, el secretario general de Gobierno de Aguascalientes, Jorge Mauricio Martínez Estebanez, trató de salir al paso negando la existencia de dicha cumbre.

Sin embargo, el gobierno de Felipe Calderón guardó silencio y lo sigue guardando.

Ahora con el caso del chino Zhenli Ye Gon, prófugo de la justicia mexicana y que se encuentra en Estados Unidos, el gobierno de Calderón se encuentra otra vez envuelto no sólo en el escándalo mediático, sino en problemas judiciales, pues uno de los involucrados es el secretario de Trabajo, Javier Lozano Alarcón, a quien el presunto narcotraficante señala como el enviado de Calderón para hacer uso de dinero de procedencia oscura para la campaña presidencial del 2006.

Lozano Alarcón, exvocero del PRI en el 2000, quien participó en la campaña de Francisco Labastida como candidato priista a la presidencia en ese año, y quien para el 2006 cambió de camiseta y se incrustó en el equipo de Felipe Calderón, negó inmediatamente las versiones de Zhenli.

Pero la duda queda. No se encuentran razones para que el prófugo de la justicia mexicana lo mencione directamente a él e incluso señale la hora en que Lozano le pidió guardar el dinero. Habría que recordar que durante la campaña del 2006, nunca se tuvo claridad cuál era la función de Lozano en el círculo más cercano de colaboradores de Calderón. Lo único claro es que por sus actividades Lozano fue recompensado con una secretaría de Estado, la del Trabajo, sin que esté capacitado para ello, pues no tiene experiencia en la materia.

Otro aspecto que pone en tela de juicio al gobierno de Calderón es el hecho de que 204 millones de dólares, de los 205 que fueron incautados en la casa de Zhenli, ya no están en México sino que fueron enviados a las reservas federales de Estados Unidos.

Cuando se realizó la mayor incautación de dinero en la historia de la lucha contra el narcotráfico en el mundo, Calderón dijo que ese dinero se quedaría en México y sería utilizado en programas contra las adicciones y en el combate a los carteles de la droga.

Ahora resulta que el presidente Calderón faltó a su palabra y que ese dinero, manchado por la duda de si estaba destinado para su campaña, ya está fuera del país. Pareciera que se quieren deshacer de una “papa caliente”, de una prueba clara de que el narcotráfico ha rebasado los límites de la política y busca el cogobierno.

Hagase su opinion

Proceso
Entrampado, el gobierno de Calderón por el caso Ye Gon

de la redacción México, D.F., 4 de julio (apro).-

El caso del chino naturalizado mexicano, Zhenli Ye Gon, tiene atrapado en el escándalo al gobierno de Felipe Calderón.

Después de la difusión de la entrevista que le hizo la agencia AP a Ye Gon, el caso se complicó con la carta que el abogado de éste, Ning Ye, envió, el pasado 2 de julio, al presidente Calderón, en la que confirma que los 205 millones de dólares que la policía encontró en la residencia de su cliente se los dio de manera clandestina el actual secretario del Trabajo, Javier Lozano.

Según escribió Ning Ye en la carta, el funcionario le entregó el dinero a su defendido entre mayo y septiembre de 2006; y en esa ocasión Lozano le confió al empresario que dichos recursos “eran depósitos que correspondían a partidas secretas del PAN para la campaña presidencial”.

Pero no es lo único. Ning Ye le pide a Calderón que interceda en el caso de su cliente “antes de que sea tarde y por el bien de todos…”

En la carta de cuatro cuartillas, el abogado del chino que está acusado por la justicia mexicana de la comisión de los presuntos delitos de delincuencia organizada, contra la salud, posesión de armas de uso reservado al Ejército y lavado de dinero, ofrece otros elementos que, en su opinión, desbaratan los cargos que le imputa la Procuraduría General de la República (PGR).

El abogado sostiene, por ejemplo, que la sustancia que encontraron las autoridades policíacas en 19 contenedores registrados a nombre de la empresa de Ye Gon no era pseudoefedrina.

“Tiene que revisar los procedimientos que realizó el laboratorio forense de su país”, le reclama a Calderón.

Prosigue: “Asumiendo que su laboratorio forense hizo su trabajo, falló por completo al no establecer la cantidad de ‘acetato de efedrina’ que fue encontrado… el hecho es que, a menos que su laboratorio haya cambiado la estructura molecular de lo que encontró a partir de un abuso legal de su poder, usted no encontrará una sola partícula del precursor químico.

“Esto, de acuerdo con las muestras tomadas de las lecturas científicas de su propio gobierno. Por ello, la ruidosa comedia de este frívolo caso debe terminar ahora, antes de que sea demasiado tarde”, advierte.

En la carta, que antes de llegar a Los Pinos, fue enviada vía fax a la embajada de México en Estados Unidos, Ning Ye llama también la atención del presidente por el trabajo desarrollado por la PGR en el caso de su cliente:

“¿No le ha llamado la atención el hecho de que su Procuraduría no ha encontrado una sola partícula de narcóticos en el lugar, desde la bodega de mi cliente hasta su casa, ni ha investigado a sus familiares o trabajadores?”

Además, acusa a la PGR de “filtrar a la prensa mensajes irresponsables y difamatorios”, lo cual, asegura, ha dañado a su cliente.

Ning Ye termina la carta con una petición puntual a Calderón:

“Lo único que queda por resolver es la cuestión de las pilas de dinero. Por eso le pido respetuosamente que su excelencia se maneje con extrema cautela, dada la delicada naturaleza del caso.”

Le propone “sentarse a negociar para llegar a una solución”.

Ye Gong huyó del país el pasado 15 de marzo y contrató los servicios de un despacho de abogados en Washington, Martin Macmahon y Asociados, con sede en el número 1150 de la avenida Connecticut, de donde es socio Ning Ye.

En tanto, el abogado de Ye Gon en México, Rogelio de la Garza reiteró que en las declaraciones que su cliente hizo a la agencia AP no hay un señalamiento directo en contra del secretario del Trabajo, Javier Lozano.

El señor Ye Gon, dijo, “no domina el idioma español y no tiene un manejo perfecto del idioma; entonces tengo mucha duda del manejo que se le dio a la entrevista, porque debió haber sido en inglés".

En una entrevista con el programa de radio Panorama Informativo, el defensor desmintió también el contenido de la carta presentada en la embajada de México en Washington. Sostuvo que dicha misiva no la autorizó su cliente.

De la Garza agregó que "no podemos manejar un litigio desde Estados Unidos para México ni pedir un apoyo jurídico de Estados Unidos para México", pues no tiene nada qué ver.

Por si fuera poco, este miércoles el diario El Universal publicó una información en el sentido de que Ye Gon podría haberse acogido al programa de testigos protegidos en Estados Unidos. De ser cierta esta versión, la justicia mexicana se vería impedida a solicitar al gobierno del vecino país la detención y extradición del chino naturalizado mexicano.

Chinito no quelel "cuello"




¿Cuento chino?





gomezalce@aol.com





• Lo que Zhenli quiso decir...
• Narcotráfico en campañas


Más vale no saber nada, mi estimado, que saber a medias muchas cosas. Con el paso de los agitados días se hace cada vez más bolas el peligroso cuento chino donde su protagonista, el empresario Zhenli Ye Gon, detonó una bomba cargada, cargada con más de 200 millones de dólares involucrando en el reventón al gobierno federal, a su secretario del Trabajo, Javier Lozano Alarcón, quien amenazó con demandar a Ye Gon y sus abogados declarando que ...éstos se equivocaron de estrategia, de gobierno, de Presidente y de veras que también se equivocaron al haberme escogido a mí para ponerme en esta historia...

Lo inédito, my friend, es que a raíz del tubazo chino (¿habrá sido pirata?) que desencadenó los originales amagos del titular de la STyPS e histeria colectiva de preocupación (y ocupación) presidencial, salió uno de los abogados del empresario y en entrevista con José Cárdenas puntualizó que el célebre Zhenli está en algún lugar de México (?), que nunca pretendió involucrar en el desmadre al funcionario federal Lozano (¿?), que las carretadas de billete no eran de parte de Acción Nacional sino para invertir en una planta de whatever y generar 15 mil empleos... (¿¿??) y que cuando en el ocurrente video, donde aparece el famoso chino hablando de las amenazas de que “...coopera o cuello...” se trataba de los tiempos en que fue secuestrado (¿¿¿???) y que al ingenuo de Zhenli se le complica terriblemente hablar el idioma español, por eso (bola de imbéciles que no entendemos nada) hay tanta confusión y sospechosismo... en esta historia que trastoca al presente régimen...

En primer lugar porque este personaje era amigo y conocido en varios círculos importantes y de varios divertidos personajes. En segundo lugar porque nadie en su sano juicio guarda millones de dólares en su clóset para ser “invertidos” en el país. En tercer lugar porque justo cuando se destapa la cloaca resulta que la lana está en Estados Unidos y no en Banjército, después de que millones de mexicanos atestiguaron un megaoperativo a las 15:00 horas de un viernes donde se estaba escoltando la billetiza... y que hace más de un mes el Bank of America recibió, evidentemente, de parte del gobierno mexicano la dolariza de una delicada investigación... que no está concluida y donde aparecen actores de la cúpula empresarial mexicana. Las explicaciones sobre la ubicación del billete por parte de la administración de Calderón son entre tardías y cínicas.

No deja de ser fascinante que al ser distinguido internacionalmente como el primer escándalo del narcotráfico tocando a la puerta presidencial, el caso diera un vuelco de 180 grados en las versiones... chinas. Sobre todo cuando la familia está en la cárcel. Sobre todo cuando el gobierno estadunidense tiene cartas fuertes en todo este simpático asunto. Sobre todo cuando la industria del lavado de dinero es básica en ambas economías. Sobre todo por el halo de misterio, oscuridad y recelo que giró alrededor del millonario decomiso que dio la vuelta al mundo y que desencadenó la batalla entre corporaciones, domésticas e internacionales, por la medallita.

Ya para qué profundizar en la versión del abogado sobre la permanencia del empresario Ye Gon en... México y no en Nueva York desde donde opera, envía correos a sus amigos y es un protegido del gobierno estadunidense. Porque de ser cierto que está en suelo azteca, mi estimado, de labores de inteligencia mejor ni hablamos, pues. O mejor aún, ¿quién(es) está detrás de Zhenli Ye Gon...?

Es por demás sabido los dos cárteles que operan en complicidad con el Estado mexicano y los hilos chinos son parte del inmenso culebrón. Es de sobra conocido que el narcotráfico financia campañas y la presidencial no tenía por qué estar fuera del importante esquema. La opacidad del célebre espoteo mediático no reconocido por el ife (con minúsculas) podría arrojar a menos datos sobre su financiamiento y orígenes. La empresa RWConsulting operó para la campaña presidencial de Felipe Calderón con un esquema financiero alterno (e ilegal) parecido a los Amigos de Fox donde estuvo involucrado Javier Lozano Alarcón.

Hay datos duros en todo este cuento que dista de ser chino y que debe ser investigado a fondo porque la aplicación de maravillosas vacunas no es suficiente cuando el virus trae genes del crimen organizado que tarde o temprano, my friend, pasan su factura. En las buenas... y en las malas.

La verdad mandarina

México SA
Carlos Fernández-Vega

Las rebanadas del pastel

Veloz, el secretario de la Función Pública, Germán Martínez, deslindó al gobierno de Calderón de las acusaciones de Zhenli Ye Gon. Pero, por tratarse de un asunto presuntamente registrado en tiempos y con fines electorales, y de un dinero supuestamente destinado a la campaña calderonista, ¿qué no debe ser la autoridad electoral la encargada de investigar el caso? ¿Calderón se investigará a sí mismo? ¿Dónde quedan IFE y Trife? ¿Olvida Germancito su participación en el equipo de campaña del michoacano?

Ta en chino

Jornada

Enrique Galván Ochoa

La trama del chino

Bloquea el PAN una investigación

Abascal, Salazar y Larrea, acusados

Igual pero diferente

Ya salió el peine: es una conspiración comunista. Zhenli Ye Gon es el único chino que ama a Mao (todos los demás se hicieron capitalistas y su sueño es un Melcele Ben). Tramó el escándalo de los 205 millones de dólares confiscados en Lomas de Chapultepec para desestabilizar la administración (es un decir) derechista y anticomunista de Felipe Calderón. Patrióticamente, el cártel panista en la Comisión Permanente del Congreso bloqueó ayer una propuesta de los cárteles rivales -PRI, PRD, PT, Convergencia y anexas- a fin de crear una comisión de legisladores que investigue si el maldito oro de Pekín -como dice el chino- tenía como destino las manos de los operadores de la campaña presidencial panista. En suma, cero. El procurador de Justicia (es otro decir), Eduardo Medina Mora ya desafanó al sospechosudo secretario del Trabajo, Javier Lozano Alarcón; el titular de la Función Pública, Germán Martínez Cázares, por su lado, dice que el caso es objeto de ''análisis''. Eso suena freudianamente bien, sobre todo si incluye un examen siquiátrico, por las tendencias que el secretario de Trabajo ha mostrado: hace unas semanas se supo que alquiló una lujosa residencia en Las Lomas -a cargo del presupuesto, of course- para que le sirva de oficina alterna; es que a su despacho del sur de la ciudad van muchos obreros y huelen mal.

Memoria que no se borra

El sindicato de mineros anunció que ayer presentaría una denuncia penal por el delito de homicidio por omisión contra Germán Larrea, el poderoso empresario de Minera México, y los ex secretarios de Gobernación Carlos Abascal y de Trabajo Francisco Javier Salazar Sáenz, en conexión con la tragedia que costó la vida a 65 trabajadores en la mina Pasta de Conchos, de San Juan Sabinas, Coahuila. El grupo sindical es el que maneja Napoleón Gómez Urrutia. El delito por omisión consiste en que no atendieron su responsabilidad respecto de un esquema mínimo de seguridad. Tanto Abascal como Salazar Sáenz han sido incorporados a la dirigencia del PAN. En suma, otro cero.

e@Vox Populi

Asunto: Mu malo, mu malo

Hago referencia a su columna Dinero en la edición de La Jornada del pasado martes. ''¿El secretario del Trabajo debe pedir licencia sólo porque un chino sospechoso de haber escondido 205 millones de dólares de dudosa procedencia lo señala como presunto cómplíce de un financiamiento electoral ilícito? ¿Sin prueba alguna? Estoy de acuerdo en que no hay que exculpar a nadie de antemano y que es preciso investigar en serio, pero si la prensa comienza a pedir la renuncia temporal de funcionarios públicos en casos semejantes, sin pruebas, estaríamos frente al fin del estado de derecho que otorga la suposición de inocencia hasta que se pruebe lo contrario. Más que facilitar la aplicación de la justicia facilitaría la calumnia, la difamación y la ingobernabilidad. ¿O debo entender que usted estaría dispuesto a renunciar a su pluma si yo lo acuso mañana de haber robado mi vehículo? Por favor, refleje y mida usted sus comentarios antes de entrar en una polémica barata e indigna de un periódico serio.

Thomas Wissing/Distrito Federal

R: Voy a suponer que existe buena fe en su comentario y que no pertenece usted a la nómina del secretario de Trabajo. No son delitos equiparables el robo de un vehículo y amenazar con darle cuello al chino, si no cooperaba en ese sospechoso negocio de los 205 millones de dólares relacionados con el narcotráfico. Ahora bien: ¿es tan frágil la situación de Lozano Al(n)arcón, (peldón, yo hablano sólo mandalín) que necesita de la protección del fuero? Si tiene las manos limpias (mmm, ¿qué me recuerda la frasecita), ¿por qué no pide licencia temporal para comparecer como ciudadano común y corriente ante las autoridades? Finalmente, ya que parece estar usted muy enterado, ¿no sabe por qué tomaron la decisión de sacar el dinero de México?

Asunto: The number one

Es vergonzoso que en un país de quinto mundo como el nuestro se encuentre el hombre más rico del planeta, con una fortuna no muy bien habida: basta con ver cómo en los teléfonos de la calle los segundos pasan más rápido, los recibos con llamadas jamás realizadas, la telefonía celular en que inexplicablemente el crédito de prepago se termina muy rápido, promociones engañosas que son una verdadera farsa, etcétera. ¿Y las autoridades? Bien, gracias. Afirmo todo esto porque lo he vivido en carne propia. ¿Ustedes no?

Angel Sánchez González/Puebla

R: Como dice La Bamba: se necesita un poquito de gracia y otra cosita para hacer tanto dinero. ¿Por qué no se nos ocurrió postularlo, en lugar de Chichén Itzá como una de las nuevas maravillas del mundo?

Astillero

Jornada

Julio Hernández López

Germán RBD

Secretario sublevado

Cantinfleo en chino

Clarividencia felipense

El comandante rebelde (RBD) Germán Martínez convocó ayer a los mexicanos, desde algún auditorio clandestino de la colonia Guadalupe Inn de la capital del país (donde está el cuartel general de la Secretaría de la Función Pública), a "sublevarse contra la corrupción". Incendiario, el guerrillero de derecha fustigó las diversas formas en que esa putrefacción cívica y ética se produce, y enderezó su boletinada catilinaria contra políticos, funcionarios, "personalidades importantes" y ciudadanos transas en general aunque, cual oposición que fuera y no burócrata de altísimo nivel, advirtió que "es innegable que en la oscuridad del poder anida el huevo de la corrupción". ¡Oh, cuán valiente el secretario de empolladuras!

El llamado oficial a la sublevación (con tres copias y sello de recibido) no resistió, sin embargo, la muy inmediata prueba contrarrevolucionaria de una rueda de prensa. Por más que los reporteros insistieron en que el levantisco secretario precisara si abrirá una investigación contra su contlapache Javier (que Lo Sano lo pasa Al Arcón), el mencionado comandante Germán se puso Moreno como Mario y cantinfleó para decir que sí pero no, aunque seguramente lo que se investiga se investiga y así se hará cuando se investigue o ya se esté investigando. El secretario de lo Público como Show (la Función Pública, es el nombre oficial) habló en el contexto de un pomposamente llamado "seminario internacional sobre ética en la gestión pública y la lucha contra la corrupción" que la Sefunpu (así se abrevia el nombre de la secretaría que si fuera fungicida no exterminaría más que hongos expiatorios) organizó en coordinación luterana (la iglesia en manos del obligado 10 por ciento) con la Cámara Nacional de la Industria de la Construcción que no presiden los hermanos Bribiesca. El indómito Martínez sedicioso resistió a pie firme los embates de los periodistas que le hicieron 14 preguntas (de las cuales nomás medio respondió una con cierta claridad) sobre el secretario del Trabajo y las acusaciones en chino sobre dólares migrantes.

Ese es el punto clave de los alegatos actuales sobre los llamados cuentos chinos. Que el equipo calderónico actúa a la defensiva y cometiendo errores que sólo podrían provenir del nerviosismo que produce un hecho cierto que se desea ocultar o disolver. Primero, la PGR se adelantó a las divulgaciones periodísticas que preparaba la AP, para tratar de instalar la versión pagada de que todo era un chantaje. En el mismo paquete, la PGR exculpó a Lozano y al PAN de todo lo que sobre el caso se dijera y se pudiera decir ahora y muchos años más delante. Luego pretendieron atrincherarse en que el abogado mexicano de Ye Gon desmentía lo que el abogado gringo, también de origen chino, había hecho en Estados Unidos (ese litigante extranjero sostuvo y amplió los datos disponibles, asegurando incluso que hay más panistas importantes metidos en la danza oriental). Y, hasta que se supo que el dinero del decomiso había sido enviado a Estados Unidos con toda irregularidad, las autoridades hacendarias dieron la cara para jurar que no hay malas intenciones sino trámites de rutina. ¡Oh, gran guerrero germánico contra la corrupción, ¿de verdad quieres sublevarte y comenzar a procesar y encarcelar rateros de alto cuello burocrático?! Vaya ironías lingüísticas: el anterior ocupante de esa oficina fue Francisco Barrio, que prometió poner peces gordos al sartén justiciero y ni siquiera se asomó a un riachuelo seco; y el sucesor, de nuevos ímpetus declarativos pescadores, no tiene iniciales náuticas sino automotrices, G.M.C., General Motors Choro.

Otro practicante del verbo desbordado fue puesto en evidencia ayer. Resulta que, según el Instituto Federal de Acceso a la Información, el licenciado Calderón no tuvo fundamento alguno cuando anunció a La Jornada que la señora Ernestina Ascensión había fallecido por una gastritis mal atendida (convendría que alguna asociación de clarividentes extendiera credencial de socio honorario al panista michoacano, pues adelantó, sin nada que sustentara sus palabras, lo que luego se convertiría en dictamen oficial). Pero ese verbo desbordado difícilmente podrá mostrarse frente al Peje Obrador que ayer, entrevistado por Carmen Aristegui, dijo que estaría dispuesto a debatir con su contrincante blanquiazul. El duelo de palabrería no tiene futuro a causa del pasado y el presente: uno y otro, para empezar, no aceptarán las denominaciones que cada cual ostenta. Y, para cerrar con temas perrederos, el caso Zacatecas los lleva a una ironía extrema: investigarán si deben sancionar a un senador porque apoyó a candidatos que desde otros partidos ganaron y muy probablemente pasarían a la órbita del partido negro y amarillo, mientras sostienen sin castigo a gobernadores y legisladores que manteniéndose formalmente en el PRD actúan gravemente contra el interés de este partido y sirviendo al PAN (¡uf!: véase al nepotista Leonel Cota criticando que los jefes perredistas beneficien a sus familiares con cargos y candidaturas).

Y, para cerrar, el profesor Benjamín Cortés Valadez dice en otra de sus décimas: "Debate tipo español/ Aristegui aquí propone./ Obrador listo se pone/ y al reto ya le da el sol./ Felipe ante el descontrol/ piensa: '¿Y yo qué cara doy/ si un espurio sólo soy?'/ No habrá de ser cosa extraña/ que aquí sea, distinto a España,/ 'el presidente', el rajoy". Y, ahora sí, ¡hasta mañana, en este México donde tantos mueren a causa de obras mal hechas o de vigilancias o previsiones nunca cumplidas!

La dictadura del FMI

del sendero

PARA ENTENDER LA NOTICIA


Por Benjamín Castro

AMLO DESAFIA AL OLIMPO FINANCIERO Y NOMBRA AL FMI

Hubo una transformación en el mensaje de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) el domingo pasado en el Zócalo de la Ciudad de México. Por primera vez centro su ataque en el Fondo Monetario Internacional (FMI) e identificó a Felipe Calderón como un simple instrumento de este organismo. Al hacerlo, AMLO ha trasformado radicalmente la política que se hace en este país, un país en el que estaba prohibida la sola mención de este organismo. Era como el elefante en la sala de la casa que nadie quiere mencionar. Todos saben que el secretario de hacienda, el voluminoso (o elefantesco) Agustín Carstens, es un enviado del FMI (o como dijo AMLO en Veracruz, es un bebé del Fondo), que trabajó en ese organismo hasta antes de venirse a dirigir las finanzas de México. También se sabe que las reformas que persigue el gobierno de Calderón y de Carstens son las mismas que el FMI ha impuesto en la mayoría de los países del continente y de buena parte del mundo. También se sabe que el FMI ha dirigido a los últimos gobiernos de México desde Miguel de la Madrid Hurtado en diciembre de 1982. Sin embargo, siempre se quiso hacer política en México como si esa dictadura no existiera y culpando de sus obras a los gobiernos títeres del organismo. Eso se acabó. Ya no se podrá ocultar al elefante que hemos tenido en la sala durante décadas y que no queríamos mencionar.



Al denunciar a Calderón como un instrumento del FMI y como un simple administrador de la agenda del organismo, AMLO ingresa al club de dirigentes políticos y estadistas que ha desafiado por nombre el olimpo financiero. Es un club muy exclusivo, que preside, sin duda, el economista Lyndon H LaRouche, quien iniciara desde los años 70s, la lucha contra el organismo ejecutor de las órdenes de la oligarquía financiera. En ese club tiene un lugar honorífico el ex presidente mexicano José López Portillo quien, en los años 80s, se unió a la causa de LaRouche para combatir al FMI y sus políticas explicando, en medio de un océano de incomprensión, lo que esas políticas representaban; "una edad obscura sin posibilidades de renacimiento".



Después vinieron más dirigentes que se atrevieron a combatirlo. Wilson Funaro de la Secretaría de Finanzas de Brasil, después por un tiempo muy corto Alan García quien después renegó y desertó de esa militancia. Ahora, hay toda una rebelión mundial contra la política librecambista y globalizadota que impone la oligarquía internacional a través del FMI, presidentes como, Néstor Kirchner de Argentina, Rafael Correa de Ecuador, Evo Morales de Bolivia, Hugo Chávez de Venezuela, Vladimir Putin de Rusia y muchas otras figuras de menor nivel, encabezan institucionalmente esta lucha.



En México todos los políticos de nombre y todos los que han estado en el poder se habían negado a mencionarle (al FMI) y a reconocerlo como lo ha hecho AMLO: Los mexicanos sufrimos una dictadura, la del FMI, y los gobiernos neoliberales son solo títeres y lacayos de ese organismo. Que bueno que ahora lo reconoce, AMLO tendrá que librar muy duras batallas en el futuro, tendrá que aprender muchas cosas de lo que el FMI representa. AMLO ira aprendiendo y eso será bueno para México.


El autor es miembro del Movimiento Internacional del economista Lyndon H. LaRouche.



benjamincastro_1@hotmail.com