Indymedia Paris
APPEL A LA SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE DE OAXACA 21-07-07
Aux peuples du Monde, Au peuple du Mexique, Au peuple de Oaxaca, Aux medias alternatifs, A l'Autre Campagne,
APPEL A LA SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE DE OAXACA
Brutalité, sauvagerie, barbarie, cruauté ne sont pas suffisants pour décrire l'ampleur de la repression mené par le pseudo-gouvernement de l'Etat de Oaxaca, dirigé par l'assassin Ulises Ruiz Ortiz. Celui-ci a de nouveau donne l'ordre de réprimer le peuple de Oaxaca qui le 16 juillet assistait à des festivités qui exprimaient ses traditions et sa culture. Différentes preuves (video, photos et témoignages) attestent que l'affrontement du 16 juillet a été planifié méticuleusement par les services de renseignements et de répression gouvernementaux a l'encontre de la manifestation qui est partie du Zócalo (place centrale) en direction de "el Cerro del Fortin", L'attaque a été lancé par les forces de polices municipales et de l'Etat sans aucun motif. Elles ont lancé des gaz lacrymogènes sur la délègation de Chinas de Oaxaca qui dansaient ignorant volontairement le siége militaro-policier imposé selon la version officielle afin de "protéger l'Amphithêatre de la Guelaguetza contre de possibles menaces à la sécurité nationale". Le siége était formé par des policiers municipaux et différants corps répressifs du peudo-gouvernement de l'Etat, appuyé par des forces fédèrales envoyés par FECAL (Felipe Calderon president de la république mexicaine) pour protéger l'assassin URO (Ulises Ruiz Ortiz). Parmis ces forces fédèrales ont y trouve des troupes de l'Agence Fédèrale d'Investigation (AFI), de la Police Fédèrale Préventive (PFP), des membres de l'armée mexicaine, des militaires vêtus en civil. Cependant ces menaces, qui justifient le siége militaro-policier, sont totalement fictives et existent uniquement dans la tête malade des represseurs gouvernementaux. Ou alors l'expression culturelle représenterait-elle pour les haut-fonctionnaires du gouvernement un danger pour la sécurité nationale ?
Les jets de gaz ont inicié l'attaque des corps de police contre le peuple, celui-ci n'a pas eut d'autre choix que de se défendre avec des pierres. A cause du déséquilibre des forces provoqués par les conditions géographiques et la méticuleuse planification de l'agression, les compañeros qui repoussaient l'agression des gaz, n'ont pas pu resister plus longtemps. Une chasse contre les compañeros a alors commencé dans les rues, ce qui a produit differents affrontements et l'arrestation indiscriminée et brutale de plus de 40 personnes, beaucoup d'entre-elles ne se trouvaient pas sur les lieux de l'affrontement. Ces personnes ont étè sauvagement frappées, il y a des preuves de cela. Les cas les plus graves sont les cas de compañeros arrêtés sans opposer de résistance et qui ont étè tellement frappés qu'ils se trouvent à l'hopital gravement blessés entre la vie et la mort.
Depuis des jours, une opération d'intimidation, de persécution et de violence irrationelle contre le peuple d'Oaxaca est menée. Il s'agit de vols de reconnaissances d'hélicoptères militaires, d'une constante mobilisation de l'armée mexicaine, d'un harcèlement dans les rues par les patrouilles de police et par des convoies de différents corps policiers et militaires, qui en plus de cela réalise des arrestations abitraires et donc ilégales.
Hélas ce-ci n'est pas tout, il s'agit seulement du début de la construction d'un scénario qui sera probablement une répression encore plus brutale et à plus grande échelle de la part du pseudo-gouvernement de l'Etat appuyé par le gouvernement fédèral, dirigé par FECAL. FECAL qui manquant de crédibilité car il a étè imposé et à cause de ses actuelles problémes de corruptions et de népotisme, essait de dévier l'attention de l'opinion publique en utilisant une des actions, les plus aberrantes qui soit, a la quelle peut recourir un rétrograde : la répression et la violation des droits de l'Homme afin d'anihiquiler l'indomptable protestation sociale.
Il s'agit d'un symptome de plus du discrédit dans lequel est tombé le gouvernement fédérale et celui de Oaxaca du tiran URO. Cela révèle qu'il est de plus en plus nécessaire au Mexique et en particulier à Oaxaca de transformer les structures politico-sociales qui organizent la vie de la société. Chaque fois il est démontré que la forme traditionnelle de faire de la politique grace au clientèlisme et à la repression est rejeté par les personnes conscientes et qui ont l'intention de vivre differament, de façon solidaire autonome et en liberté. Il est important que nous, les peuples d'Oaxaca, continuons la reorganisation à partir des peuples, des quartiers et communautés afin de réussir la transformation profonde qu'Oaxaca nécessite. Cette transformation ne pourra jamais être réalisé par les partis politiques à travers d'absurdes "Réformes de l'État".
En plus a cette répression criminelle, s'ajoute les actions dáutres acteurs, comme celles des ciniques médias et spécialement les médias électroniques (Televisa et TV Azteca) qui comme toujours cachent et manipulent l'information, adhérant à la campagne de repression de l'Etat contre les mouvements sociaux. Ils attaquent la population avec la botte militaire et les gaz lacrymogènes et ils utilisent les médias pour cacher les plus viles actions de violacion des droits de l'Homme. Grace au siége médiatique ils prétendent isoler le peuple de Oaxaca afin de tenter d'anihiquiler complétement le mouvement social qui a resister aux attaques du pseudo-gouvernement assassin depuis plus d'un an. Ajoutons à cela la récente déclaration signée par tous les partis politiques (PRI, PAN, PRD, PVEM, PT, PC, UP, PANAL), qui se sont rallié à la campagne réprsive. Ils tentent de criminalizer mobilisation sociale en l'appellant vandalisme. A l'expression pacifique des traditions et de la culture les represseurs répondent par barbarie. A la mainifestation pacifique des idées pour la transformation afin d'améliorer la vie du peuple, les represseurs répondent par la mort. C'est pour cela qu'il est urgent de dénoncer les actes criminels que en ce les assassins du peuple mènent et de dénoncé la planification qu'ils sont en train d'élaborer afin de memer à bien une répression encore plus brutale, indiscriminée et à grande échelle.
Il est aussi necessaire pour cela d'augmenter les efforts pour libérer nos compañer@s prisonierEs politiques, traitéEs injustement comme des criminelles pour le simple fait d'exposer leurs idées et d'agir de façon pacifique pour répondre aux attentes de justice, d'égalité, de démocratie, de solidarité, d'autonomie et de liberté du peuple d'Oaxaca. C'est à dire pour le seul fait de démontrer leur dignité d'êtres humains.
Face à ce climat de repression, nous lançons un appel à tous les groupes solidaires du Mexique et du monde à faire usage de la parole, de la culture, de l'art et de la mobilisation dans les rues le 23 juillet.
Pour la Liberté de touTEs les PrisonierEs Politiques ! Dehors URO le Tiran d'Oaxaca ! Que soient punis les coupables de la repression ! Appuie au Boicot de la Guelaguetza Oficielle !
VOCAL (Voces Oaxaqueñas Construyendo Autonomía y Libertad) Julio 21 de 2007 http://www.vocal.lunasexta.org/
A los pueblos del mundo Al pueblo de México Al pueblo de Oaxaca A los medios alternativos de comunicación A la Otra Campaña
Llamado a la solidaridad con el pueblo de Oaxaca
Brutalidad, salvajismo, barbarie, crueldad son calificativos que no alcanzan a describir completamente la dimensión de la represión ejecutada por el seudo Gobierno del estado, encabezado por el asesino Ulises Ruiz Ortiz, quien nuevamente ordeno reprimir al pueblo de Oaxaca que el pasado 16 de julio simplemente se encontraba en una festividad expresando su tradición y cultura.
Diversas evidencias (fílmicas, fotográficas y testimoniales) comprueban ahora que el enfrentamiento del pasado 16 de julio, fue planeado cuidadosamente por los organismos de inteligencia y represivos gubernamentales, contra la verbena que partió del Zócalo hacia el Cerro del Fortín, además el ataque fue iniciado sin motivo alguno por parte de las fuerzas policiales, municipales y estatales, quienes lanzaron descargas de gas lacrimógeno contra la delegación de Chinas oaxaqueñas que se encontraban bailando haciendo caso omiso al cerco policiaco-militar, impuesto según las versiones oficiales para el "resguardo del Auditorio Guelaguetza de posibles amenazas para la seguridad nacional" ; cerco conformado por policías municipales y de las diferentes corporaciones represivas del seudo gobierno del estado, contando además con el apoyo de los elementos federales enviados por FECAL para respaldar al asesino URO, entre quienes se podían encontrar tropas de la Agencia Federal de Investigaciones (AFI), Policía Federal Preventiva (PFP), y miembros del Ejército Mexicano, además de militares vestidos de civil ; sin embargo, esas amenazas por las cuales el cerco policiaco-militar fue tendido, son por decir lo menos totalmente ficticias y solo existen en la desquiciada mente de los represores gubernamentales, o ¿acaso para los altos funcionarios gubernamentales la expresión de la cultura representa un riesgo para la seguridad nacional ?
Las ráfagas de gas iniciaron el ataque de las corporaciones policiacas contra el pueblo, quien no tuvo mas opción que defenderse con piedras, en una desigual lucha provocada por las condiciones geográficas del lugar y a la cuidadosa planificación que los represores hicieron para montar la agresión, por lo que los compañeros que repelían la agresión de los gases no pudieron aguantar mas iniciándose una persecución en calles aledañas que derivo en diferentes enfrentamientos, y en la detención indiscriminada y brutal de mas de 40 personas, muchas de las cuales ni siquiera se encontraban cerca del lugar de los acontecimientos las cuales fueron golpeadas salvajemente, de ello también hay pruebas y entre ellas las de mayor gravedad son los casos en que compañeros detenidos sin oponer resistencia fueron golpeados a tal grado de encontrarse en salas de hospital gravemente heridos y debatiéndose entre la vida y la muerte.
Es decir, se lleva a cabo desde hace días ; un operativo de intimidación, persecución y violencia irracional contra el pueblo de Oaxaca, consistente en continuos vuelos de reconocimiento por parte de helicópteros militares, constante movilización de tropas del ejercito mexicano, hostigamiento en las calles por patrullas y convoys de diferentes corporaciones policías y militares quienes además realizan detenciones arbitrarias y por lo tanto ilegales. Lamentablemente esto no es todo, lo anteriormente mencionado solo es el inicio de la construcción de un escenario de lo que muy probablemente será una represión aun mas brutal y a mucha mayor escala por parte del seudo gobierno estatal respaldado por el gobierno federal dirigido por FECAL quien ante la falta de credibilidad por haber sido impuesto de facto y sus actuales secuelas de corrupción y nepotismo, trata de desviar la atención de la opinión pública mediante una de las acciones mas aberrantes a las que puede acudir un retrograda, la represión y la violación delos derechos humanos, intentando aniquilar la indomable protesta social.
Siendo esto un síntoma mas del descredito en el que ha caído el gobierno federal de Fecal y de Oaxaca del tirano URO sólo revelan que en México y en Oaxaca particularmente cada vez se hace más necesario una transformación de las estructuras político-sociales que organizan la vida en sociedad, cada vez se demuestra que la forma tradicional de hacer política mediante clientelismo y practicas de botín es rechazada por las personas conscientes y con intenciones de vivir diferente, en solidaridad, autonomía y libertad ; es importante que los pueblos de Oaxaca sigamos la reorganización desde los pueblos, barrios y comunidades para lograr la transformación profunda que Oaxaca necesita, la cual nunca podrá ser realizada por los Partidos Políticos mediante sus absurdas "Reformas del Estado".
Ante esta criminal represión se agrega además las acciones de otros actores, tales como los cínicos medios de comunicación en especial los electrónicos (Televisa y TV Azteca) quienes como siempre ocultan y manipulan la información, adhiriéndose a la campaña represiva contra los movimientos sociales por parte del Estado que mediante la bota militar y los gases lacrimógenos ataca a la población, y que usa a los medios de comunicación para ocultar las mas viles acciones de violación a los derechos humanos y mediante un cerco informativo pretender aislar al pueblo de Oaxaca, para de esta forma intentar aniquilar completamente al movimiento social que ha resistido los embates del seudo gobierno asesino hace ya mas de un año, agregándose a ello la reciente declaración firmada por todos los partidos políticos (PRI, PAN, PRD, PVEM, PT, PC, UP, PANAL) quienes añadiéndose a la campaña represiva intentan criminalizar la movilización social llamándola vandalismo.
A la expresión pacifica de las tradiciones y cultura los represores responden con la barbarie, a la manifestación pacifica de las ideas en pro de una transformación para mejorar la vida del pueblo, los represores contestan con la muerte ; es por ello que es urgente denunciar los criminales actos que en estos momentos los asesinos del pueblo llevan a cabo y la preparación del terreno que están elaborando para de forma aun mas brutal llevar a cabo una represión indiscriminada a gran escala.
Por lo tanto es necesario incrementar los esfuerzos para lograr la liberación de nuestr@s compañer@s pres@s politic@s, tratados injustamente como criminales por el simple hecho de exponer sus ideas y de actuar de forma pacifica para lograr los anhelos de justica, igualdad, democracia, solidaridad, autonomía y libertad para el pueblo de Oaxaca, es decir por el solo hecho de demostrar su dignidad como seres humanos.
Frente a este clima de represión hacemos un llamado a todos los grupos solidarios de México y el mundo a hacer uso de la palabra, la cultura, el arte y la movilización callejera este 23 de julio.
¡Por la Libertad de Tod@s l@s Pres@s Politic@s ! ¡Fuera el Tirano URO de Oaxaca ! ¡Castigo a los culpables de la Represión ! ¡En apoyo al Boicot de la Guelaguetza Oficial !
VOCAL (Voces Oaxaqueñas Construyendo Autonomía y Libertad) Julio 21 de 2007