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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 22 juillet 2007

SOS Oaxaca

Del Sendero del Peje

Il y a des infos à propos de Oaxaca, on dit que lundi 23 juillet 2007, le gouverneur Ulises Ruiz obligerai aux hautes fonctionnaires de son gouvernement pour y aller au mont ( la où se réaliserai la Guelaguetza populaire) et montrer à l’opinion publique que Oaxaca est avec lui. De même il à ordonne d’agresser les participants dans la fête pour nuire l’image de l’APPO et ainsi exercer la répression.

Il faut agir!

Basta la represión en Oaxaca !

Me informa uno de mis viejos camaradas que uro va a obligar al personal de confianza de las dependencias de gobierno a ir al cerro el lunes para demostrar a la opinion publica que oaxaca esta con el. Ademas buscara que sean agredidos para afectar y dañar la imagen de la appo y utilizar la represion.

Creo que esta informacion la puedes utilizar para prevenir o evitar los planes de uro


En inglés:

I have received the following information. I think we should pass it on.

An old friend has informed me that Ulises Ruiz will force government workers to go to the hill on Monday in an attempt to show the public opinion that Oaxaca is supposedly with him. Plus he will try to get them attacked to damage APPO and thereby use repression.

It is important to use this information in order to stop Ulises Ruiz's plan



También lo siguiente:

To whom it may concern,

The illegitimate Mexican government headed by Felipe Calderon has greenlighted Oaxaca's governor Ulises Ruiz's plan to use violent repression against the people of Oaxaca this Monday, July 23. Ruiz has already sent his police to savagely beat and arrest without a reason tens of innocent people in Oaxaca. We fear many may day at the hands of Ulises Ruiz's assassins with the complete knowledge and permission of Felipe Calderon. We URGE you to PLEASE stop this. I repeat: we fear Ulises Ruiz's police, assassins, and paramilitary, may kill, torture and rape innocent people in Oaxaca, as well as people who have done nothing but to participate in legitimate protests to defend their rights.

In your hands is the fate and the lives of innocent people, as you may very well be the only ones who can stop the Mexican government from perpetrating this attack.
PLEASE do something.

Indymedia Paris

APPEL A LA SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE DE OAXACA 21-07-07

Aux peuples du Monde, Au peuple du Mexique, Au peuple de Oaxaca, Aux medias alternatifs, A l'Autre Campagne,

APPEL A LA SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE DE OAXACA

Brutalité, sauvagerie, barbarie, cruauté ne sont pas suffisants pour décrire l'ampleur de la repression mené par le pseudo-gouvernement de l'Etat de Oaxaca, dirigé par l'assassin Ulises Ruiz Ortiz. Celui-ci a de nouveau donne l'ordre de réprimer le peuple de Oaxaca qui le 16 juillet assistait à des festivités qui exprimaient ses traditions et sa culture. Différentes preuves (video, photos et témoignages) attestent que l'affrontement du 16 juillet a été planifié méticuleusement par les services de renseignements et de répression gouvernementaux a l'encontre de la manifestation qui est partie du Zócalo (place centrale) en direction de "el Cerro del Fortin", L'attaque a été lancé par les forces de polices municipales et de l'Etat sans aucun motif. Elles ont lancé des gaz lacrymogènes sur la délègation de Chinas de Oaxaca qui dansaient ignorant volontairement le siége militaro-policier imposé selon la version officielle afin de "protéger l'Amphithêatre de la Guelaguetza contre de possibles menaces à la sécurité nationale". Le siége était formé par des policiers municipaux et différants corps répressifs du peudo-gouvernement de l'Etat, appuyé par des forces fédèrales envoyés par FECAL (Felipe Calderon president de la république mexicaine) pour protéger l'assassin URO (Ulises Ruiz Ortiz). Parmis ces forces fédèrales ont y trouve des troupes de l'Agence Fédèrale d'Investigation (AFI), de la Police Fédèrale Préventive (PFP), des membres de l'armée mexicaine, des militaires vêtus en civil. Cependant ces menaces, qui justifient le siége militaro-policier, sont totalement fictives et existent uniquement dans la tête malade des represseurs gouvernementaux. Ou alors l'expression culturelle représenterait-elle pour les haut-fonctionnaires du gouvernement un danger pour la sécurité nationale ?

Les jets de gaz ont inicié l'attaque des corps de police contre le peuple, celui-ci n'a pas eut d'autre choix que de se défendre avec des pierres. A cause du déséquilibre des forces provoqués par les conditions géographiques et la méticuleuse planification de l'agression, les compañeros qui repoussaient l'agression des gaz, n'ont pas pu resister plus longtemps. Une chasse contre les compañeros a alors commencé dans les rues, ce qui a produit differents affrontements et l'arrestation indiscriminée et brutale de plus de 40 personnes, beaucoup d'entre-elles ne se trouvaient pas sur les lieux de l'affrontement. Ces personnes ont étè sauvagement frappées, il y a des preuves de cela. Les cas les plus graves sont les cas de compañeros arrêtés sans opposer de résistance et qui ont étè tellement frappés qu'ils se trouvent à l'hopital gravement blessés entre la vie et la mort.

Depuis des jours, une opération d'intimidation, de persécution et de violence irrationelle contre le peuple d'Oaxaca est menée. Il s'agit de vols de reconnaissances d'hélicoptères militaires, d'une constante mobilisation de l'armée mexicaine, d'un harcèlement dans les rues par les patrouilles de police et par des convoies de différents corps policiers et militaires, qui en plus de cela réalise des arrestations abitraires et donc ilégales.

Hélas ce-ci n'est pas tout, il s'agit seulement du début de la construction d'un scénario qui sera probablement une répression encore plus brutale et à plus grande échelle de la part du pseudo-gouvernement de l'Etat appuyé par le gouvernement fédèral, dirigé par FECAL. FECAL qui manquant de crédibilité car il a étè imposé et à cause de ses actuelles problémes de corruptions et de népotisme, essait de dévier l'attention de l'opinion publique en utilisant une des actions, les plus aberrantes qui soit, a la quelle peut recourir un rétrograde : la répression et la violation des droits de l'Homme afin d'anihiquiler l'indomptable protestation sociale.

Il s'agit d'un symptome de plus du discrédit dans lequel est tombé le gouvernement fédérale et celui de Oaxaca du tiran URO. Cela révèle qu'il est de plus en plus nécessaire au Mexique et en particulier à Oaxaca de transformer les structures politico-sociales qui organizent la vie de la société. Chaque fois il est démontré que la forme traditionnelle de faire de la politique grace au clientèlisme et à la repression est rejeté par les personnes conscientes et qui ont l'intention de vivre differament, de façon solidaire autonome et en liberté. Il est important que nous, les peuples d'Oaxaca, continuons la reorganisation à partir des peuples, des quartiers et communautés afin de réussir la transformation profonde qu'Oaxaca nécessite. Cette transformation ne pourra jamais être réalisé par les partis politiques à travers d'absurdes "Réformes de l'État".

En plus a cette répression criminelle, s'ajoute les actions dáutres acteurs, comme celles des ciniques médias et spécialement les médias électroniques (Televisa et TV Azteca) qui comme toujours cachent et manipulent l'information, adhérant à la campagne de repression de l'Etat contre les mouvements sociaux. Ils attaquent la population avec la botte militaire et les gaz lacrymogènes et ils utilisent les médias pour cacher les plus viles actions de violacion des droits de l'Homme. Grace au siége médiatique ils prétendent isoler le peuple de Oaxaca afin de tenter d'anihiquiler complétement le mouvement social qui a resister aux attaques du pseudo-gouvernement assassin depuis plus d'un an. Ajoutons à cela la récente déclaration signée par tous les partis politiques (PRI, PAN, PRD, PVEM, PT, PC, UP, PANAL), qui se sont rallié à la campagne réprsive. Ils tentent de criminalizer mobilisation sociale en l'appellant vandalisme. A l'expression pacifique des traditions et de la culture les represseurs répondent par barbarie. A la mainifestation pacifique des idées pour la transformation afin d'améliorer la vie du peuple, les represseurs répondent par la mort. C'est pour cela qu'il est urgent de dénoncer les actes criminels que en ce les assassins du peuple mènent et de dénoncé la planification qu'ils sont en train d'élaborer afin de memer à bien une répression encore plus brutale, indiscriminée et à grande échelle.

Il est aussi necessaire pour cela d'augmenter les efforts pour libérer nos compañer@s prisonierEs politiques, traitéEs injustement comme des criminelles pour le simple fait d'exposer leurs idées et d'agir de façon pacifique pour répondre aux attentes de justice, d'égalité, de démocratie, de solidarité, d'autonomie et de liberté du peuple d'Oaxaca. C'est à dire pour le seul fait de démontrer leur dignité d'êtres humains.

Face à ce climat de repression, nous lançons un appel à tous les groupes solidaires du Mexique et du monde à faire usage de la parole, de la culture, de l'art et de la mobilisation dans les rues le 23 juillet.

Pour la Liberté de touTEs les PrisonierEs Politiques ! Dehors URO le Tiran d'Oaxaca ! Que soient punis les coupables de la repression ! Appuie au Boicot de la Guelaguetza Oficielle !

VOCAL (Voces Oaxaqueñas Construyendo Autonomía y Libertad) Julio 21 de 2007 http://www.vocal.lunasexta.org/

A los pueblos del mundo Al pueblo de México Al pueblo de Oaxaca A los medios alternativos de comunicación A la Otra Campaña

Llamado a la solidaridad con el pueblo de Oaxaca

Brutalidad, salvajismo, barbarie, crueldad son calificativos que no alcanzan a describir completamente la dimensión de la represión ejecutada por el seudo Gobierno del estado, encabezado por el asesino Ulises Ruiz Ortiz, quien nuevamente ordeno reprimir al pueblo de Oaxaca que el pasado 16 de julio simplemente se encontraba en una festividad expresando su tradición y cultura.

Diversas evidencias (fílmicas, fotográficas y testimoniales) comprueban ahora que el enfrentamiento del pasado 16 de julio, fue planeado cuidadosamente por los organismos de inteligencia y represivos gubernamentales, contra la verbena que partió del Zócalo hacia el Cerro del Fortín, además el ataque fue iniciado sin motivo alguno por parte de las fuerzas policiales, municipales y estatales, quienes lanzaron descargas de gas lacrimógeno contra la delegación de Chinas oaxaqueñas que se encontraban bailando haciendo caso omiso al cerco policiaco-militar, impuesto según las versiones oficiales para el "resguardo del Auditorio Guelaguetza de posibles amenazas para la seguridad nacional" ; cerco conformado por policías municipales y de las diferentes corporaciones represivas del seudo gobierno del estado, contando además con el apoyo de los elementos federales enviados por FECAL para respaldar al asesino URO, entre quienes se podían encontrar tropas de la Agencia Federal de Investigaciones (AFI), Policía Federal Preventiva (PFP), y miembros del Ejército Mexicano, además de militares vestidos de civil ; sin embargo, esas amenazas por las cuales el cerco policiaco-militar fue tendido, son por decir lo menos totalmente ficticias y solo existen en la desquiciada mente de los represores gubernamentales, o ¿acaso para los altos funcionarios gubernamentales la expresión de la cultura representa un riesgo para la seguridad nacional ?

Las ráfagas de gas iniciaron el ataque de las corporaciones policiacas contra el pueblo, quien no tuvo mas opción que defenderse con piedras, en una desigual lucha provocada por las condiciones geográficas del lugar y a la cuidadosa planificación que los represores hicieron para montar la agresión, por lo que los compañeros que repelían la agresión de los gases no pudieron aguantar mas iniciándose una persecución en calles aledañas que derivo en diferentes enfrentamientos, y en la detención indiscriminada y brutal de mas de 40 personas, muchas de las cuales ni siquiera se encontraban cerca del lugar de los acontecimientos las cuales fueron golpeadas salvajemente, de ello también hay pruebas y entre ellas las de mayor gravedad son los casos en que compañeros detenidos sin oponer resistencia fueron golpeados a tal grado de encontrarse en salas de hospital gravemente heridos y debatiéndose entre la vida y la muerte.

Es decir, se lleva a cabo desde hace días ; un operativo de intimidación, persecución y violencia irracional contra el pueblo de Oaxaca, consistente en continuos vuelos de reconocimiento por parte de helicópteros militares, constante movilización de tropas del ejercito mexicano, hostigamiento en las calles por patrullas y convoys de diferentes corporaciones policías y militares quienes además realizan detenciones arbitrarias y por lo tanto ilegales. Lamentablemente esto no es todo, lo anteriormente mencionado solo es el inicio de la construcción de un escenario de lo que muy probablemente será una represión aun mas brutal y a mucha mayor escala por parte del seudo gobierno estatal respaldado por el gobierno federal dirigido por FECAL quien ante la falta de credibilidad por haber sido impuesto de facto y sus actuales secuelas de corrupción y nepotismo, trata de desviar la atención de la opinión pública mediante una de las acciones mas aberrantes a las que puede acudir un retrograda, la represión y la violación delos derechos humanos, intentando aniquilar la indomable protesta social.

Siendo esto un síntoma mas del descredito en el que ha caído el gobierno federal de Fecal y de Oaxaca del tirano URO sólo revelan que en México y en Oaxaca particularmente cada vez se hace más necesario una transformación de las estructuras político-sociales que organizan la vida en sociedad, cada vez se demuestra que la forma tradicional de hacer política mediante clientelismo y practicas de botín es rechazada por las personas conscientes y con intenciones de vivir diferente, en solidaridad, autonomía y libertad ; es importante que los pueblos de Oaxaca sigamos la reorganización desde los pueblos, barrios y comunidades para lograr la transformación profunda que Oaxaca necesita, la cual nunca podrá ser realizada por los Partidos Políticos mediante sus absurdas "Reformas del Estado".

Ante esta criminal represión se agrega además las acciones de otros actores, tales como los cínicos medios de comunicación en especial los electrónicos (Televisa y TV Azteca) quienes como siempre ocultan y manipulan la información, adhiriéndose a la campaña represiva contra los movimientos sociales por parte del Estado que mediante la bota militar y los gases lacrimógenos ataca a la población, y que usa a los medios de comunicación para ocultar las mas viles acciones de violación a los derechos humanos y mediante un cerco informativo pretender aislar al pueblo de Oaxaca, para de esta forma intentar aniquilar completamente al movimiento social que ha resistido los embates del seudo gobierno asesino hace ya mas de un año, agregándose a ello la reciente declaración firmada por todos los partidos políticos (PRI, PAN, PRD, PVEM, PT, PC, UP, PANAL) quienes añadiéndose a la campaña represiva intentan criminalizar la movilización social llamándola vandalismo.

A la expresión pacifica de las tradiciones y cultura los represores responden con la barbarie, a la manifestación pacifica de las ideas en pro de una transformación para mejorar la vida del pueblo, los represores contestan con la muerte ; es por ello que es urgente denunciar los criminales actos que en estos momentos los asesinos del pueblo llevan a cabo y la preparación del terreno que están elaborando para de forma aun mas brutal llevar a cabo una represión indiscriminada a gran escala.

Por lo tanto es necesario incrementar los esfuerzos para lograr la liberación de nuestr@s compañer@s pres@s politic@s, tratados injustamente como criminales por el simple hecho de exponer sus ideas y de actuar de forma pacifica para lograr los anhelos de justica, igualdad, democracia, solidaridad, autonomía y libertad para el pueblo de Oaxaca, es decir por el solo hecho de demostrar su dignidad como seres humanos.

Frente a este clima de represión hacemos un llamado a todos los grupos solidarios de México y el mundo a hacer uso de la palabra, la cultura, el arte y la movilización callejera este 23 de julio.

¡Por la Libertad de Tod@s l@s Pres@s Politic@s ! ¡Fuera el Tirano URO de Oaxaca ! ¡Castigo a los culpables de la Represión ! ¡En apoyo al Boicot de la Guelaguetza Oficial !

VOCAL (Voces Oaxaqueñas Construyendo Autonomía y Libertad) Julio 21 de 2007

Curas pederastas

Proceso

Primer interrogatorio

El cardenal Roger Mahony, arzobispo de Los Ángeles, puede ser llamado a declarar, en calidad de testigo, en el juicio que se le sigue en la Corte de esta ciudad al cardenal Norberto Rivera Carrera, arzobispo primado de México, quien es señalado como presunto encubridor del sacerdote pederasta Nicolás Aguilar, desataca Proceso en su edición 1603.

Por lo pronto, Mahony ya aceptó tácitamente haber protegido al religioso mexicano al haber pagado 660 millones de dólares de indemnización a las víctimas de sus sacerdotes, entre las que se incluye el joven Joaquín Aguilar, un joven que fue objeto de abuso sexual por parte del cura Nicolás, quien trabajó con Mahony en la década de los ochenta.

Joaquín Aguilar, que recibirá 50 mil dólares, afirma: “Mahony ya aceptó su culpabilidad al haberme indemnizado por el caso del padre Nicolás. Aceptó que éste era un violador que estuvo bajo sus órdenes. En nuestra demanda, nosotros lo señalamos a él como cómplice del cardenal Rivera Carrera, pues ambos tuvieron una especie de asociación delictuosa para proteger al pederasta. Está por verse si el arzobispo de México acepta también su culpa”.

–¿Con su indemnización, Mahony implícitamente está inculpando a Rivera Carrera?

–Exactamente, pues fue Rivera Carrera quien envió al padre Nicolás a la arquidiócesis de Los Ángeles a trabajar con Mahony, sabiendo que era un pederasta. De manera que exportó a un delincuente.

La fecha para el primer interrogatorio al que será sometido el arzobispo primado de México, Norberto Rivera Carrera, por parte de los abogados de Joaquín Aguilar, una de las víctimas del cura pederasta Nicolás Aguilar, quedó fijado para el próximo 8 de agosto, dice Proceso este domingo 22 de julio.

* * *
Un silencio pecaminoso

En las afueras de la Corte Superior de Los Ángeles, cientos de personas se arremolinaron el pasado 16 de julio para escuchar la conferencia de prensa del cardenal Roger Mahony. Sabían que haría un anuncio importante y que hacía todo lo posible para no testificar ante un jurado sobre su papel en los más de 500 casos de abuso sexual en los que incurrieron sacerdotes de su jurisdicción, expone Proceso en su número 1603.

Mahony tenía el tiempo en contra. El arranque del juicio estaba programado para el día siguiente.

Pero Mahony sorprendió a todos: públicamente aceptó un acuerdo económico para indemnizar a las más de 500 víctimas con 660 millones de dólares, la mayor cantidad de dinero que la Iglesia católica se compromete a pagar por este tipo de casos.

Para muchos la noticia fue un triunfo espectacular. En función de la gravedad del abuso, recibirán una cantidad que variará de 25 mil a 4 millones de dólares.

John Manly, abogado de 50 víctimas, no ocultó su molestia: “Es increíble la forma en que funciona el sistema de justicia de Estados Unidos. La pregunta que la gente debe hacerse es: cómo es posible que Roger Mahony pague 660 millones de dólares por actos criminales de los que tenía plena conciencia, y que pueda caminar libremente por la calle”.

Steve Cooley, uno de los fiscales de distrito de Los Ángeles, también se mostró contrariado: “El acuerdo da al traste con la investigación de más de cinco años que hemos realizado sobre las actividades criminales de cientos de sacerdotes que cometían todo tipo de aberraciones con menores de edad y que eran protegidos por el cardenal Mahony”, destaca la edición de Proceso que circula a partir de este domingo 22 de julio.

Las relaciones “casuales” de Morales Lechuga

Proceso

Su amistad y relación notarial con Carlos Ahumada, la fe pública que le extendió a las actividades empresariales de Zhenli Ye Gon y el regreso de cercanos excolaboradores suyos a la Procuraduría General de Justicia del Distrito Federal (PGJDF), que está en manos de un grupo de egresados de la Escuela Libre de Derecho, de la que es rector, son para Ignacio Morales Lechuga meras casualidades, expone la edición 1603 de Proceso.

Todo es producto de las circunstancias, dice el exresponsable de la Procuraduría General de la República (PGR) y de la PGJDF, quien desde hace 33 años es titular de la Notaria Pública 116, donde los empresarios Carlos Ahumada Kurtz y Zhenli Ye Gon obtuvieron la legitimidad para sus actividades empresariales.

“Por mi calidad de exprocurador se forman algunos prejuicios injustos y equivocados”, dice a Proceso en relación con la reiterada mención de su nombre en los escándalos públicos en que han estado involucrados esos inversionistas nacionalizados mexicanos y sus empresas.

Al empresario de origen argentino le protocolizó la constitución de las firmas que fueron señaladas como fraudulentas por Andrés Manuel López Obrador, uno de los principales críticos del exprocurador, quien también fue embajador de México en Francia.

Y a Zhenli Ye Gon, entre 2003 y 2005, Morales Lechuga le dio fe pública para la compraventa de la casa de las Lomas en la que le decomisaron los 205 millones de dólares, la constitución de la empresa Unimed Pharmaceutical y la adquisición de los terrenos en el Estado de México donde el ciudadano de origen chino instaló un planta que ahora es investigada como productora de drogas sintéticas, destaca Proceso en su edición en circulación.

Por la libre

Proceso
jorge carrasco araizaga México, D.F. (apro).-

Felipe Calderón regresa este martes a la Escuela Libre de Derecho. Encabezará, como presidente, el 95 aniversario de la fundación de la institución de la que se graduó en 1987.

La Libre de Derecho es en verdad alma mater de Calderón, pues entre los fundadores se encuentra Manuel Herrera y Laso, uno de los primeros egresados de la escuela y uno de los fundadores del PAN. Ahí estudiaron también su suegra, Mercedes Gómez del Campo y su esposa, Margarita Zavala.

Creada en 1912 como una escisión de la entonces Escuela Nacional de Jurisprudencia, actual Facultad de Derecho de la UNAM, la Libre de Derecho es ahora no sólo uno de los principales centros de pensamiento conservador del país, sino un importante centro de reclutamiento de las elites gobernantes y surtidor del sector privado.

Reconocidos muchos de sus egresados en la academia, el gobierno, el Poder Judicial o la práctica privada, sobran también los nombres de exalumnos que han sido y son personajes centrales de escándalos políticos y defraudación del país.

Dos de ellos son José Guzmán Montalvo y Ernesto Enríquez Rubio, quienes hasta ahora han sido señalados en las actividades del ciudadano mexicano de origen chino Zhenli Ye Gon.

Guzmán Montalvo, egresado en 1990, ha sido identificado en la trama porque durante su gestión como director general de las Aduanas de México, Ye Gon importó toneladas de pseudoefedrina sin que las autoridades de fiscalización aduanera a su cargo lo impidieran.

Enríquez Rubio, graduado en 1969, aparece también mencionado en las actividades de Ye Gon, pues como director que fue de la Comisión Federal para la Protección contra Riesgos Sanitarios (Cofepris) tampoco se dio por enterado de la cuantiosa importación del químico con que se elaboran drogas sintéticas, a pesar de las advertencias hechas en su momento por la ONU al gobierno de Vicente Fox.

El propio rector de la ELD, Ignacio Morales Lechuga, ha sido mencionado en esta historia. Como titular de la Notaría Pública 116, en la Ciudad de México, el exprocurador general de la República y de la Procuraduría General de Justicia del Distrito Federal dio fe pública de varias operaciones del ahora prófugo de la justicia.

Entre ellas, la compra venta de la residencia de Ye Gon en la que fueron incautados 205 millones de dólares, y la adquisición de los terrenos en el Estado de México, donde el nacionalizado mexicano estableció su planta para elaborar lo que el acusado asegura que eran medicamentos.

Lo mismo hizo Morales Lechuga con Carlos Ahumada, el empresario de origen argentino protagonista de uno de los escándalos más grandes en la historia reciente de México y a quien el rector identifica como un amigo.

También de esa escuela, y más precisamente de la generación de Calderón, es el secretario del Trabajo, Javier Lozano Alarcón, a quien el ciudadano de origen asiático había querido implicar en la trama de la fortuna incautada.

Egresado de la Libre de Derecho es también el panista Luis Eduardo Zuno Chavira, quien como delegado en Álvaro Obregón intentó introducir de contrabando armas y dinero a México en un avión de Ahumada.

Zuno Chavira no ha sido el único egresado de la ELD metido en un grave problema judicial. También está Javier Armas Arroyo, acusado de quebrantar con 100 millones de dólares al desaparecido Banco Unión.

Entre los abogados que intervinieron en la liberación de Ahumada también están egresados de la Libre de Derecho. Uno de ellos, el actual procurador de Justicia del Distrito Federal, Rodolfo Félix Cárdenas.

Otros actores de la vida pública salidos de la ELD son el exsecretario de Gobernación, Carlos Abascal Carranza; el exdiputado del PAN, Luis Pazos de la Torre; el senador panista Fauzi Hamdam; el exsecretario de Seguridad Pública, Alejandro Gertz Manero; el exsecretario de Economía del gobierno de Vicente Fox, Fernando Canales; y el gobernador de Querétaro, Francisco Garrido Patrón. (20 de julio de 2007)

jcarrasco@proceso.com.mx

Zapatistas

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Arrancó con gran asistencia encuentro de los pueblos zapatistas con el mundo

ELIO HENRIQUEZ

Oventic, Chis., 21 de julio. Más de tres mil personas de 43 países asisten al segundo Encuentro de los Pueblos Zapatistas con los Pueblos del Mundo, que la noche del viernes inició aquí con un llamado a "fortalecer las luchas y las rebeldías en todo el mundo para combatir el capitalismo"

OAXACA news

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Mantienen APPO y maestros plan de boicot a la Guelaguetza oficial

ARTURO CANO, OCTAVIO VELEZ

Oaxaca, Oax., 21 de julio. ¿Qué tienen en común los oaxaqueños enfrentados desde hace más de un año? ¿Qué puede unir a los hoteleros y los radicales líderes appistas, a los panistas con los militantes del Frente Popular Revolucionario (FPR), a los maestros "radicales" con los maestros "reformistas"? Que todos, excepto el gobierno encabezado por Ulises Ruiz, coinciden en que realizar la gran fiesta de las tradiciones y las regiones de Oaxaca, la Guelaguetza, es ya sólo un capricho del cuestionado mandatario y que el boicot anunciado...

En Oaxaca, el gobierno federal actúa como se hacía en la guerra sucia: ONG

EMIR OLIVARES ALONSO

Oaxaca no está en paz como asegura el gobierno estatal, el cual sólo se dedica a dilapidar recursos del erario en publicidad para dar esa imagen; el conflicto social "sigue vigente por la incapacidad" del gobernador Ulises Ruiz Ortiz, quien evade atender los verdaderos problemas de la sociedad oaxaqueña, coincidieron diversas organizaciones de derechos humanos.

Insiste Gobernación en mantenerse al margen

FABIOLA MARTINEZ

Pide Marcos "no perder de vista lo que ocurre en Oaxaca"

ELIO HENRIQUEZ

Oventic, Chis., 21 de julio. El subcomandante Marcos pidió a los asistentes al segundo Encuentro de los Pueblos Zapatistas con los Pueblos del Mundo no "perder de vista lo que ocurre en Oaxaca, que se encuentra sitiada por las fuerzas del Ejército y las policías federales". Afirmó que el "sitio" trata de impedir cualquier protesta y "llevar adelante la simulación de festejo indígena que es la Guelaguetza de Ulises Ruiz", gobernador de aquella entidad.

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PAN: Ulises Ruiz, culpable del problema en Oaxaca; PRI: la gestión federal, omisa

ANGELES CRUZ MARTINEZ, ANDREA BECERRIL

El gobierno federal debe evaluar muy bien la situación que prevalece en Oaxaca y decidir hasta qué grado respalda con el uso de la fuerza pública al mandatario estatal Ulises Ruiz, quien carece de consenso social y tampoco ha sido honesto en el ejercicio del gobierno, advirtió el diputado del Partido Acción Nacional (PAN), Juan de Dios Castro Muñoz, mientras que para el priísta Carlos Rojas, en el caso Oaxaca, el que ha jugado el peor papel es el gobierno federal al mantenerse en esa "postura fácil" de que se trata de un asunto local.

HERNÁNDEZ
Incomprendido

Jornada
El Correo Ilustrado

Carta de Michael Löwy a la APPO

Queridos amigos, amigas y camaradas de la Asamblea Popular de los Pueblos de Oaxaca (APPO):

Gracias, indígenas, estudiantes, profesores, mujeres, jóvenes, sindicalistas, habitantes de barrios pobres, que dieron, al crear la APPO, ese cristal de roca dura y transparente, un magnífico ejemplo de "democracia desde abajo", de organización autónoma de los oprimidos, sin jefes, sin "dirigentes", sin caudillos.

Gracias, camaradas de la APPO que, durante varios meses en 2006, transformaron a Oaxaca en una comuna autogobernada, liberada de los policías y patrones, de los gobernadores y administradores.

Gracias, queridos insurgentes de Oaxaca que, mediante sus huelgas, luchas, barricadas, rompieron la pesada capa de plomo de la pasividad, la resignación, de servidumbre voluntaria, que pesa sobre los oprimidos.

Gracias, queridos combatientes de Oaxaca, por haber tenido el valor, el descaro, la intrepidez, durante meses y meses, de enfrentar, con una estrella de amatista roja en la frente, no solamente al gobernador de Oaxaca, URO (Ulises Ruiz Ortiz), ese Ubu tropical con sus policías y sus paramilitares, sino también al Presidente de México, con su Ejército brutal y corrupto, así como a su protector, el imperio del norte.

Gracias, finalmente, por persistir hasta ahora en luchar, protestar, manifestarse en las calles, exigir la liberación de los prisioneros y la dimisión de URO, aunque las barricadas hayan sido desmanteladas, la huelga rota, la universidad y los barrios populares ocupados; aunque muchos de las y los militantes hayan sido asesinados, golpeados, violados, torturados, encarcelados.

Todos aquellos en el mundo que luchan por otro mundo, liberado de la dictadura del capital y los hombres de Estado, les deben mucho. Ustedes resucitaron los espectros de ojos de coral que acechan el sueño de los poseedores, el espectro de la Comuna de París (1871) y el de la Comuna de Barcelona (1936-1937). Ustedes son la punta del diamante del sueño, la punta de la obsidiana de la utopía, la punta de esmeralda de la revuelta.

¡Que la fuerza de Zapata y Villa esté con ustedes!

Michael Löwy (Traducción: Marta Tawil)

Historia magistra

Jornada

El historiador Francisco González Gómez publica Del porfirismo al neoliberalismo

Comprender la historia, única forma de derrotar al proyecto tecnocrático

Recorrido por más de 100 años: desde Porfirio Díaz hasta Pasta de Conchos y Oaxaca

ERICKA MONTAÑO GARFIAS

Estamos frente a un proyecto integral de la derecha que pretende retrotraernos al siglo XIX, olvidar lo que obtuvimos tanto en la Reforma como en la Revolución e imponer un estado en el que predomine la visión religiosa, dice el historiador
Estamos frente a un proyecto integral de la derecha que pretende retrotraernos al siglo XIX, olvidar lo que obtuvimos tanto en la Reforma como en la Revolución e imponer un estado en el que predomine la visión religiosa, dice el historiador Foto: Marco Peláez

México "está en una etapa de definiciones: el proyecto neoliberal no ha cuajado, no ha sido aceptado por la población, no ha conquistado en el país una dominación hegemónica, porque la gente la rechaza y exige respeto a los derechos ganados en la Revolución Mexicana, de ahí que una de las opciones que está manejando el gobierno de Felipe Calderón sea la militarización y la oposición cada vez mayor contra movimientos sociales y luchadores sociales", señala el historiador Francisco González Gómez, coautor del libro Del porfirismo al neoliberalismo, en el que trabajó con su hermano Marco Antonio.

"No se trata de un problema coyuntural; es un problema estructural y lo vamos a tener que enfrentar durante muchos años", añade.

Del porfirismo... recorre más de 100 años de historia en México, hasta al periodo poselectoral de 2006 y el conflicto generado por las denuncias de un supuesto fraude, pasando por los conflictos en Pasta de Conchos y Oaxaca.

El volumen, que se publica en Ediciones Quinto Sol, ha sido actualizado para que estudiantes y público en general sean capaces de emprender un análisis crítico del por qué estamos donde estamos.

"Se trata de llenar un hueco que cada día es mayor en la educación del país: el desconocimiento de la historia de México. En la mayor parte de las escuelas de niveles medio superior y superior se está enseñando la historia nacional hasta Lázaro Cárdenas... cuando bien nos va. En algunos casos llega hasta el llamado milagro mexicano. Las escuelas más especializadas son facultades como la de Economía y Ciencias Políticas y Sociales (de la UNAM), pero para el conjunto de estudiantes y del público la historia de México está cada día más alejada."

Lo que pretendemos, añadió, es contribuir a aclarar diversas cuestiones de la historia de México y entrar en un combate contra la ideología liberal encabezada ahora por gurús intelectuales de derecha.

"Estamos enfrente de un proyecto integral de la derecha, que pretende retrotraernos al siglo XIX, olvidar lo que obtuvimos tanto en la Reforma como en el periodo de la Revolución e imponer un estado en el cual, de ser posible, lo que predomine sea la visión religiosa que todos estamos viendo ahora con la ofensiva del clero. No creo que lo logren, pero eso es un intento y la única forma de derrotarlo es darle la batalla", asegura.

Batallas ganadas

Pero la sociedad ha ganado algunas batallas, recordó. Entre otras, la aprobación de las sociedades de convivencia y la legalización del aborto, pero "hay muchos terrenos en los que estamos perdiendo, como el desconocimiento y la no defensa de los derechos elementales; tampoco hemos logrado defender el campo. Desde Salinas se ha destruido el campo: nuestra dependencia alimentaria frente al extranjero es cada día mayor; estamos perdiendo la batalla frente al proyecto histórico de los neoliberales, orientado a asimilarnos globalmente a Estados Unidos: quieren que nuestra forma de pensar, de actuar, que nuestra economía esté totalmente vinculada al proyecto del sueño americano".

Sin embargo es obvio que esa integración "no es equitativa, sino que se trata de un sometimiento".

El libro es también una denuncia de cómo todo este proceso es acompañado de una corrupción extrema y de la degradación del Estado mexicano.

Por ello es vital "rescatar la historia del país, de nuestros luchadores, y aprender de la resistencia que está emprendiendo la población en todos lados". La enseñanza de la historia y su comprensión "es el campo de batalla, los grupos hegemónicos están también concientes de eso".

El papel del historiador mexicano hoy "es ligar nuestro pasado con el presente. No nos sirve de nada el estudio del pasado si no lo vinculamos con el presente. De eso depende que se consolide o no la hegemonía del neoliberalismo. No se trata nada más de tener cultura general para que juguemos maratón y ganemos, sino para ayudar a interpretar la realidad".

Cuando vinculamos la historia pasada con actual obtenemos un mecanismo provechoso que nos sirve para dar una explicación de cómo vivimos. "Por eso cada generación le da una nueva interpretación, un nuevo enfoque, saca nuevos matices, más información. La interpretación histórica está renovándose constantemente", asegura el especialista.

La alternativa, dice con convicción, es replantear el socialismo: "es un debate ideológico de gran envergadura, que debe darse a escala internacional, en la que estén incorporados grandes pensadores de todas partes del mundo, particularmente en Europa.

"Hay que trabajar en eso, pero ese esfuerzo no puede desvincularse de las grandes experiencias de luchas que se están dando, como los altermundistas, la APPO y de todas las fuerzas sociales que están resistiendo y que proponen nuevas formas de organización y de poder popular. La tarea es inmensa y no se reduce a la lucha por los espacios electorales, que tampoco hay que abandonar."

Los fracasos de la derecha

Diario Libertad

El más sentido pésame


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Carlos Monsiváis

Carlos Monsiváis

Lo que la derecha pierde en 1860 y 1917 con la educación laica, trata de compensarlo en algo al afirmar sus zonas de prohibición (la geografía de la intolerancia). Y sus ofensivas a lo largo del siglo XX responden a la disminución cuantiosa de su hegemonía, en el proceso donde el desarrollo social doblega una y otra vez a la derecha y a su aliado no tan ocasional en los concordatos donde una de las partes afirma: “Te apoyamos en todo, oh gobierno, pero tú déjanos actuar”. Y el gobierno priísta los deja hasta el punto que no lesionen sus zonas de control profundo, entre ellas, irrenunciable, la secularización.

La derecha no lo entiende, no lo quiere entender y, por si fuera poco, tampoco lo entiende. En 1961, “Cristianismo sí, Comunismo no”, la ofensiva nacional de los obispos con sede en la Puebla del obispo Octaviano Márquez y Toriz, más que contra la muy débil izquierda partidaria, se dirige a golpear el sector educativo ya fuera de su control. Un año antes, se lanza la campaña en Monterrey contra los libros de texto gratuitos, juzgados “indecentes” y casi ateos. Sólo la intervención directa del presidente López Mateos dirime el conflicto: los empresarios se hacen a un lado y los libros circulan.

* * *

Esto es lo inadmisible para la derecha: si los niños saben, si las mujeres deciden, su control se desvanece, al depender en enorme medida de la hipocresía como visión del mundo. Ya no se pide la aceptación unánime de sus dogmas, pero sí que se proceda como si estos dogmas fuesen acatados y de allí sus estrategias de contención y formación en los ámbitos de la burguesía y la clase media alta.

Los pobres no importan: que a ellos los cuide su “animalidad orgánica”. Hasta fechas recientes, si una mujer muy pobre es públicamente adúltera allá el que la trate, pero si un rico se divorcia es una amenaza al tejido social. Lo propio de la derecha es la vigilancia de la conducta declarativa (ya ni siquiera de la conducta pública) de las clases gobernantes.

* * *

Hasta la década de 1960 la derecha se concentra en oponerse al protestantismo y el comunismo, en mantener las prohibiciones más notorias y en cultivar las apariencias morales. En tanto registro del mundo, esto trae consigo el olvido de la modernidad, lo que desemboca en el desastre educativo de las escuelas confesionales y en la falta de registro de los cambios irreversibles. Ya en la segunda mitad del siglo XX queda claro: es inútil, se ha perdido la batalla contra la modernidad, debido al resquebrajamiento de la ideología conservadora (le quedan consignas, se fueron las ideas), y a la falta de percepción cultural que lleva a desentenderse del impulso internacional de renovación. Para cuando se reacciona es tarde, la sociedad va más adelante en la posibilidad de regresarla al seno del anacronismo.

En los años recientes, la derecha consolida sus fortalezas, entre ellas la formación de la élite en las universidades privadas, y la identificación de un credo como el requisito del poder económico y político. En un cálculo aproximado, 70% del aparato público, de directores de departamento para arriba ya egresa de las universidades particulares.

* * *

En el tema de las batallas culturales la derecha ha sufrido intensas derrotas sin trazas de enmienda. Cito algunos hechos: el auge de las teorías feministas ya se han convertido en punto de vista de la sociedad entera; los derechos reproductivos son ya materia de discusión libre y ya hay consecuencias legislativas; son interminables las derrotas en los intentos de censura (remember ‘El crimen del Padre Amaro’) y, ahora con alguna espectacularidad el fracaso estrepitoso de otro intento de vencer a la laicidad y humillar el laicismo, la propuesta de la Arquidiócesis Primada de México.

El 8 de julio de este año, Armando Martínez, representante legal de la Arquidiócesis, afirma en conferencia de medios: “En el país es importante que trascendamos de un Estado laicista a un Estado confesional (sin confesión alguna). En breve, la Iglesia católica presentará a los partidos políticos y al Congreso de la Unión un paquete de reformas constitucionales a los artículos 3, 24 y 130, con el fin de alcanzar una verdadera libertad de religión, y dejar atrás el Estado laico.” Así de simple, dejar atrás el Estado laico.

El mismo día, el vocero del arzobispo Hugo Valdemar confirma: “Está en la agenda de la Iglesia lo de las nuevas reformas en materia eclesial, y ya se ha estado trabajando en el tema de la libertad religiosa. El tema se pone en la agenda porque a tres lustros de las enmiendas de 1992 no sólo la Iglesia dice que es una ley imperfecta, sino que expertos en derecho ven las limitantes en las que es preciso ir caminando. Se busca hacer coherente la Carta Magna, no se busca otra cosa”. Hagamos a un lado a juristas que creen conveniente, como señala Valdemar, seguir caminando en las limitantes, tarea acrobática si alguna, y concentrémonos en la incoherencia de la Carta Magna.

El abogado Martínez Gómez de la Arquidiócesis marca el objetivo, el mismo de las incontables demandas anteriores: “Todos los padres tienen el derecho de libre educar a sus hijos, pero no necesariamente a una educación laicista, como la que tenemos, sino que debe ir mucho más allá. Debe de ir en una verdadera libertad en la que los padres puedan determinar si quieren una educación religiosa para sus hijos y el Estado pueda proveer de esta educación religiosa”.

No profundicemos en otro tema, el de la educación gramatical de los hijos que en su tiempo habría beneficiado ampliamente al licenciado Martínez Gómez, y vayamos a otro asunto, muy grato a su recaudatorio corazón: “Se propondrá una reforma de claridad en materia tributaria, como se hace en otros países, donde los ciudadanos pueden destinar parte de sus impuestos a las iglesias”. Es decir, es un decir, que las iglesias no sólo no paguen impuestos sino que la reforma fiscal las premie por no hacerlo.

* * *

El éxito de la iniciativa del Arzobispado es nulo, para no decir nonato. El PRD, el PRI, juristas reconocidos, ONG, las iglesias protestantes y el rumor de la calle, que por lo visto es todavía laicista, rechazan la propuesta. En la Cámara de Diputados nadie abiertamente secunda al Arzobispado, el PAN se declara satisfecho con el Estado laico y las secretarías de Educación y Gobernación se deslindan de la propuesta. El Arzobispado retrocede, declara que la iniciativa no es suya sino de la Asociación de Abogados Católicos (“El de atrás paga”), y el nefando Estado laicista todavía goza de cabal salud.

Otra derrota cultural de la derecha. “Y tú que nunca fuiste capaz de perdonar”.

Escritor

Mas cuentos panistas

Ser o no ser:

"cooperas o cuello"

POR RAMI SCHWARTZ
(Exclusivo para Voces del Periodista)

Cuando menos, al chino el PAN le dio a elegir: "cooperas o cuello". Al resto de la población, ni eso; puro cuello coopere o no. Y es que, desde que el PAN es gobierno, nos han dado puro cuello. Ellos dicen que no, que todo este relajo sigue siendo la resaca del PRI. Sin embargo, siete años son suficientes para, cuando menos, contener la caída; pero el PAN la ha acelerado.

Ya son siete años que el PAN tiene la sartén del poder por el mango. Y eso a nivel federal, porque a nivel estatal y local, mucho más. Guanajuato, por ejemplo, lo gobiernan desde hace tres lustros y no por ello ha dejado de ser el estado expulsor de mano de obra por excelencia. Baja California es la capital nacional del crimen. Chihuahua es la capital nacional de los feminicidios y en el resto del país donde el PAN ha sido gobierno, las cosas no son mejores.

Estos son algunos de los legados de los siete años de gobierno del PAN.

1) Nunca habían cerrado tantas empresas como con el PAN, supuesto "amigo" de los empresarios. Industrias completas han ido a la quiebra, como la textil y el calzado.
2) Nunca había aumentado tanto la criminalidad como con el PAN, supuesto garante de la legalidad.
3) Nunca se habían largado tantos mexicanos del país como con el PAN.
4) Nunca había estado peor la corrupción que durante el foxiato y ahora ni plan anticorrupción hay.
5) Nunca se había depredado tanto el medio ambiente como con el PAN.
6) Nunca se había retrocedido tanto de una elección a otra como del 2000 al 2006. Hasta la del 2000, se venía avanzando poco a poco, en el 2006 echaron todo a perder.
7) Nunca había estado peor la imagen de México en el mundo como con el PAN. Nunca nos habíamos enemistado como país tanto con América Latina como con el PAN.
8) Nunca había estado peor el campo de lo que está ahora. Nunca habíamos importado más comida ni exportado más miseria y mano de obra.
9) Nunca habían sido más bajos los niveles de escolaridad como con el PAN.
10) Nunca se había tensado más el ambiente político como con el PAN.
11) Nunca había entrado más contrabando a México como con el PAN.
12) Nunca México perdió más competitividad que con el PAN.
13) Nunca se había concentrado tanto el ingreso en México como con el PAN.
14) Nunca se habían fortalecido tanto los monopolios.
15) Nunca había habido menos inversión pública.
16) Nunca había habido más gasto corriente y suntuoso.
17) Nunca habían tenido más poder los sindicatos charros: ahí está Elba Esther, la verdadera presidenta de México, más poderosa de lo que jamás soñó ser.

A lo largo de los años hemos documentado con cifras todos los puntos anteriores. Son irrebatibles. Más allá de discursos rimbombantes, de declaraciones alegres, de demagogia vacía, estos son los verdaderos legados del panismo: a la sociedad mexicana, a la que a diferencia del chino, no le dieron a elegir entre cooperas y cuello, simplemente le dieron cuello.


Voces del Periodista

Titulo Va a estar Guelagruetxa
Artista Cintia Bolio
Publicaciones Revista El Chamuco, diario El Centro
Pais México

OAXACA: la mini guerre

Narco News

Le gouverneur du Oaxaca provoque une miniguerre civile dans la capitale de l’État

Un rapport révèle que le PRI offre 300 pesos par jeune qui provoquerait les manifestants pacifiques

Par Nancy Davies
Via la Narcosphére

in English... The Governor of Oaxaca Is Provoking a Mini-Civil War in the State Capital
en español... El Gobernador de Oaxaca provoca una mini-revuelta civil en la Capital

15 juillet 2007

A qui le profit de la mondialisation?

Les mensonges de la mondialisation et toutes ses structures.
Nous ont infliges 25 ans des mesures draconiennes pour devenir pire qu'avant!
Mais qui paie les plats casses?
A qui réclamer le degats commis à des millions des personnes, rien qu'au Mexique il y a la bagatelle de 50 millions des gens pauvres et vivant dans un sol de misère (presque la population de la France entière!). Tout en étant un pays riche, mais vous aviez aide à détruire les paysans, l'économie, la petit entreprise, les institutions sociaux, etc.
Merci les institutions internationales, merci les corporations!!!!!
Merci de nous avoir fait rentrer dans le 5eme enfer, de voler nôtres matières premières et des nous laisser avec des gouvernants corrompus, grace a votre argent.
Espèce d'hypocrites!


Le monde

Le déficit en termes d'innovation accentue le retard des pays pauvres


La science, la technologie et l'innovation ne sont pas un luxe, mais une nécessité, pour les pays les moins avancés (PMA). Mais le dernier rapport annuel sur ces pays, publié, jeudi 19 juillet, par la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) constate que leur ouverture au commerce international n'a pas entraîné les avancées technologiques nécessaires pour les arracher à la pauvreté.


Or, c'est précisément dans le domaine du savoir, élément clé de la croissance de la compétitivité et de la conquête des marchés mondiaux, que ces cinquante PMA – une trentaine sont en Afrique – restent les plus démunis, selon la Cnuced.

"Si les PMA restent à l'écart de cette évolution, ils seront de plus en plus marginalisés dans l'économie mondiale, où la concurrence dépend de manière croissante des connaissances plutôt que des avantages comparatifs statiques tirés des ressources naturelles", précise Habib Ouane, directeur de la division de l'ONU sur les PMA.

Les importations de machines ou de nouveaux matériels qui permettraient aux entreprises locales de moderniser leur outil de production ont ralenti au cours de ces vingt-cinq dernières années. Entre 2000 et 2005, les PMA ont importé pour à peine 18 dollars de biens d'équipement par habitant, contre 207 dollars pour les autres pays en développement.

Malgré l'afflux d'investissements directs étrangers (IDE), ces pays restent cantonnés dans la production de produits de base à faible valeur ajoutée faisant appel à une main-d'œuvre peu qualifiée. Entre 2000 et 2005, les IDE dans les pays pauvres ont été trois fois plus élevés qu'au cours des dix années précédentes, mais ils ne dépassent toutefois pas 1 % des flux mondiaux.

FUITE DES CERVEAUX

En outre, les investissements restent peu diversifiés sur le plan géographique : l'Angola, le Tchad, la Guinée-Equatoriale et le Soudan, producteurs de pétrole, concentrent à eux seuls plus de la moitié des IDE. Les sociétés transnationales européennes ou américaines implantées dans ces pays fonctionnent "comme des enclaves et nouent peu de liens en amont et en aval avec des entreprises locales", souligne le rapport. Caractérisées par une forte intensité en capital, les activités d'extraction minière en Afrique de ces filiales étrangères, qui exportent des matières premières non transformées, ont un faible impact sur l'emploi.

Quant à l'accroissement des IDE dans le secteur de l'habillement en Asie, il s'est accompagné d'une croissance de l'emploi et des exportations sans développement des capacités technologiques des entreprises. "Le manque d'imbrication dans l'économie nationale fait que la confection dans les PMA reste tributaire de l'existence de conditions préférentielles d'accès aux marchés", précise l'agence onusienne, soulignant que celles-ci peuvent disparaître du jour au lendemain.

Les auteurs s'inquiètent aussi de l'accélération de la fuite des cerveaux. La migration de la main-d'œuvre diplômée de ces pays est d'autant plus préjudiciable que les ressources en capital humain qualifié sont peu abondantes. Il y a 94,3 chercheurs pour un million de personnes dans les PMA, contre 313 dans les pays en développement et 3 728 dans les pays riches, souligne le rapport.

La Cnuced reconnaît que, dans le cadre des programmes d'ajustements structurels mis en place par les bailleurs de fonds et destinés à préserver les équilibres macroéconomiques, les PMA n'ont pas su négocier des assouplissements afin de préserver leur potentiel de créativité. Les gouvernements locaux ne dépensent, en effet, que 0,3 % de leur produit intérieur brut en recherche et développement, contre 0,8 % dans les pays en développement et 2,4 % dans les pays riches.

Pourtant les responsabilités sont partagées. Les pays développés n'ont pas su mettre en place pour les PMA les recettes qui assurent le succès de leur propre croissance, déplore M. Ouane. Ces vingt-cinq dernières années, 3,9 % des prêts de la Banque mondiale étaient destinés à des projets scientifiques ou technologiques pour des pays à revenus moyens comme l'Indonésie ou le Mexique. Parmi, les pays pauvres, seul le Bangladesh a pu en bénéficier.

Maguy Day

Titulo calentamiento global
Artista Humberto Lázaro Miranda (laz)
Publicaciones DDT, Juventud Rebelde(Cuba)
Pais Cuba