mardi 4 décembre 2007
Derechos Humanos: ni se conocen en Mexico
Derechos humanos: ¿crisis de Estado?
Magdalena Gómez
A unos días de un aniversario más de la Declaración universal de los derechos humanos, nuestro país presenta una auténtica crisis de Estado en esta materia. Los casos que han sido abordados por los poderes Ejecutivo y Judicial nos muestran que el antiguo régimen sigue más vivo que nunca. La llamada alternancia, representada en el PAN, se convirtió pronto en un impulso fallido, cuya evidencia más escandalosa se vivió en las elecciones presidenciales de 2006. Vivimos así una suerte de reconversión política donde ya los linderos del PRIAN son imperceptibles. Y un espejo para este escenario es el de los derechos humanos. Sus saldos se expresan en la impunidad para crímenes de lesa humanidad como los cometidos en 1968, en 1971 y en los años de la llamada guerra sucia. Igual derrotero observamos en los más recientes: Aguas Blancas, El Charco, Acteal. Hay un patrón común de protección desde el poder que parece guiarse por la consigna del “hoy por ti, mañana por mí”.
Tres perlas de los últimos días. Primera, las declaraciones del titular de la Comisión Federal de Electricidad respecto a un supuesto triunfo judicial que le permitiría construir la presa hidroeléctrica La Parota. (...)
El segundo y muy lamentable ejemplo lo vimos en el caso Lydia Cacho, relativo a la posición adoptada por la Suprema Corte de Justicia respecto a su facultad de investigación de violaciones graves de derechos humanos contenida en el segundo párrafo del artículo 97 constitucional.
Y por último anotamos la criminalización de los estudiantes de la Normal Rural de Ayotzinapa, quienes reclaman plazas de maestros en el momento de ser desalojados por la Policía Federal Preventiva (PFP) de la caseta de cobro La Venta, en la Autopista del Sol, en Guerrero.
En el tintero quedan Oaxaca, Atenco y los derroteros que se pretende dar al caso Acteal.
(...) Leer original
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Documentan violaciones a los derechos humanos en Oaxaca
Octavio Vélez Ascencio (Corresponsal)
Insiste la CNDH en que Jalisco debe investigar las agresiones a altermundistas
Juan Carlos G. Partida (Corresponsal)
Guadalajara, Jal., 3 de diciembre. La Comisión Nacional de los Derechos Humanos (CNDH) envió al gobernador Emilio González Márquez una petición para que cumpla las recomendaciones contenidas en el informe especial sobre los hechos violentos suscitados en Guadalajara el 28 de mayo de 2004, en el contexto de la realización de la tercera Cumbre de Jefes de Estado y de Gobierno de América Latina, el Caribe y la Unión Europea, en el cual existen señalamientos directos contra el entonces gobernador Francisco Ramírez Acuña, por más de 235 violaciones a los derechos humanos, entre ellos...
Publié par Filotea y Meximiliano à 14:16 0 commentaires
Libellés : Derechos humanos
Câmara aprova emenda dos ‘Brasileirinhos’
O movimento “Brasileirinhos apátridas”, liderado pelo jornalista Rui Martins e presente hoje em dez países, comemora a aprovação da Emenda 272 em segundo turno. O último necessário à emenda na Constituição. Só falta a data da promulgação, que devolve a cidadania a filhos de brasileiros nascidos no exterior após 7 de junho de 1994 – os brasileirinhos eram apátridas. O movimento, cujo símbolo foi criado pelo cartunista da coluna Ênio Lins, lutará agora para que imigrantes sejam eleitos e elejam deputados e senadores. Dentro de algumas semanas todos os filhos de pai ou mãe brasileiros serão cem por cento brasileiros também. Veja no site www.brasileirinhosapatridas.org.Publié par Filotea y Meximiliano à 13:02 0 commentaires
Libellés : Latinoamerica, Mundo
Les apatrides plus nombreux que jamais
Tandis qu'il y à des "apatrides" parce que n'apprécient pas le bien qu'ont, comme le president usurpateur du Mexique, son équipe, quelques hommes politiques et pdgs, il y a une vrai problématique mondiale, voila un article du courrier international:
Chaque être humain a droit à une nationalité, stipule la Déclaration universelle des droits de l'homme. Pourtant, et malgré les efforts de quelques pays, le nombre de personnes privées de citoyenneté est en très forte augmentation, rapporte l'hebdomadaire britannique The Economist.
Il y a des gens qui luttent pour faire entendre leur voix, mais dont le monde va probablement de plus en plus entendre parler. Ensemble, ils pourraient peupler un pays de la taille du Chili ou du Kazakhstan. Mais par définition, ils ne sont ressortissants d'aucune nation : ce sont des apatrides, des hommes et des femmes privés des droits de citoyens et dans l'incapacité de faire valoir auprès d'un Etat leur droit à obtenir des papiers ou d'accéder à l'éducation. Selon plusieurs organes internationaux, le problème des apatrides ne cesse de s'aggraver, en dépit d'une légère diminution du nombre de réfugiés au sens strict du terme.
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) estime prudemment qu'en 2006 le nombre d'apatrides dans le monde est passé de 2,4 à 5,8 millions. Cette augmentation explique en partie la récente hausse du nombre de "personnes relevant du mandat" du HCR. Selon Maureen Lynch, membre de l'organisation non gouvernementale Refugees International, le nombre d'apatrides s'élèverait à au moins 11 millions de personnes, et certains responsables du HCR avancent le chiffre de 15 millions avec des critères plus larges.
Certaines personnes deviennent apatrides après avoir été chassées d'un pays et parce qu'aucun autre ne souhaite les accueillir ni leur accorder les droits consentis aux "réfugiés", c'est-à-dire toute personne demandant asile en raison de risques prouvés de persécutions. Certains ne sont jamais partis de chez eux, mais se retrouvent coincés après un changement dans le tracé des frontières. Enfin, une minorité se trouvent dans l'impossibilité de faire valoir leurs droits à la citoyenneté parce que leur naissance n'a pas été enregistrée.
Les Biharis du Bangladesh sont un cas classique d'apatrides. La plupart d'entre eux ont soutenu le Pakistan oriental lors de la guerre de 1971 qui a conduit à la création du Bangladesh. De ce fait, le nouvel Etat n'était guère enclin à les accueillir et des échanges ont été organisés pour les rapatrier au Pakistan, jusqu'à ce que le gouvernement ferme les portes. Depuis, près de 300 000 Biharis sont apatrides. En fait, il existe plusieurs degrés dans la condition d'apatride. Parmi les Palestiniens (et leurs descendants) ayant fui après la création de l'Etat d'Israël, certains se sont réfugiés en Jordanie et ont obtenu des passeports tandis que, dans d'autres Etats arabes, ils n'ont reçu que des "papiers de réfugiés". Aucun Etat arabe ne souhaitait naturaliser ces nouveaux venus mais le niveau de droits octroyés a été variable d'un Etat à l'autre.
Reste que certains cas étranges, nés des vicissitudes de l'Histoire, auraient pu être évités. Lors de la création des Etats du golfe Persique, certains choisirent comme critère de citoyenneté l'appartenance tribale plutôt que le tracé des frontières. De nombreuses populations sont devenues apatrides, notamment les bidoun ["sans", en arabe] au Koweït : ils sont près de 100 000 à ne pouvoir prouver la présence de leur famille dans le pays depuis 1920 et à être privés de citoyenneté, en vertu d'une loi très stricte de 1959. Leur situation est encore compliquée par une caractéristique commune à presque tous les Etats arabes : les femmes mariées à des étrangers ne peuvent transmettre leur nationalité à leurs enfants.
Le Népal est une heureuse exception. Alors que près de 3,4 millions de personnes, ethniquement non népalaises, étaient livrées à leur sort dans la pauvreté et l'isolement, le gouvernement népalais s'est arrangé pour en naturaliser 2,6 millions cette année. L'Egypte, le Maroc et l'Algérie ont pour leur part modifié leurs lois pour permettre aux mères de transmettre leur nationalité à leurs enfants. Le gouvernement bangladais a recommandé la naturalisation des Biharis, et même le Koweït se préoccupe du sort des bidoun. Après une enquête parlementaire faite en 2006, le gouvernement s'est engagé cette année à accorder la citoyenneté à 2 000 d'entre eux.
Toutefois, la convention de 1961 sur la réduction des cas d'apatridie ne compte que 34 Etats signataires, dont la Nouvelle-Zélande, le Rwanda et le Brésil sont les plus récents. Bon nombre de pays craignent de perdre une partie de leur souveraineté ou d'êtres contraints à des dépenses supplémentaires. Aussi encourageants soient-ils, les efforts menés pour régler ce problème sont loin d'être suffisants pour faire appliquer la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, selon laquelle tout être humain à droit à une nationalité.
The Economist
Publié par Filotea y Meximiliano à 10:28 0 commentaires
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