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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 11 mai 2008

Entrevista a Alfredo Jalife sobre el petroleo

Del sendero

Entrevista Ruben Luengas a Alfredo Jalijfe:

Video 1



Video 2


La guerra perdida: Helguera

Narco: el Irak de Calderón
Jorge Zepeda Patterson
11 de mayo de 2008


Los asesinatos de altos fun- cionarios federales a lo largo de los últimos días muestran lo que ya intuíamos: luego de 18 meses de fracasos es evidente que estamos en una guerra que no vamos a ganar pero de la cual tampoco hay manera de salir. El narcotráfico se está convirtiendo en el Irak de Felipe Calderón.

Al arranque de su gobierno el nuevo presidente utilizó el argumento del combate a los cárteles como una estrategia fast track para afincarse en Los Pinos. Fue la táctica ideal para mostrarles a los mexicanos que ya había piloto en la nave. Al igual que a Bush, la convocatoria a esta guerra le reportó a Calderón beneficios políticos inmediatos, pues propinó una artificiosa sensación de firmeza y liderazgo.

El problema es que desencadenó una guerra sin estar preparado siquiera para la primera batalla, y lo hizo por los peores motivos. Durante su campaña electoral y en los meses previos a la toma de posesión, en muy pocas ocasiones Calderón se refirió al narcotráfico. Todo indica que no formaba parte significativa de su agenda. Pero las necesidades políticas precipitaron ir al combate una semana después de llegar al poder, sin tener la más remota idea de las consecuencias. Bush y sus generales nunca pensaron en “el día siguiente”; nosotros ni siquiera hemos salido del día “D”; nuestros cuerpos policiacos siguen siendo acribillados en la playa Omaha del desembarco sin saber cómo ni dónde responder.

Fuimos a una guerra sin conocer cabalmente al enemigo, (y encima) a pesar de que sabíamos que nuestras propias filas estaban totalmente penetradas por el adversario. De manera irresponsable lanzamos al cuerpo enorme y desmañado del ejército a dar palos de ciego a una piñata que se hace escurridiza a todo lo largo del territorio nacional. Año y medio más tarde estamos tan lejos de ganar la batalla como Bush de pacificar a Irak.

Completa


Monsivais
Artista Darío Castillejos
Publicaciones El Imparcial, El Centro (México)

Donde dice ‘César’ debe decir ‘mercadotecnia’
Carlos Monsiváis
11 de mayo de 2008


En su ensayo clásico, La política y el idioma inglés (1946), George Orwell afirma: “Un escritor escrupuloso, en cada frase que escribe, se hará por lo menos cuatro preguntas: ‘¿Qué estoy tratando de decir? ¿Con qué palabras lo expresaré? ¿Qué imágenes le darán más claridad? ¿Es esta imagen lo suficientemente novedosa como para desatar un efecto?’”. Si cambiamos escritor por político y disminuimos el énfasis en el manejo de lo verbal, el cuestionario no funcionaría de cualquier manera, un político del siglo XXI más bien quiere resolver o que le resuelvan otras interrogantes: “¿Qué no estoy tratando de decir? ¿Por qué me acusan de no decir nada como si yo intentara decir algo? ¿Por qué pretenden que me explique cuando lo que verdaderamente quiero es dispensar consignas mercadotécnicas? ¿Por qué me voy a preocupar del efecto de mis palabras cuando a mis oyentes lo que les debería interesar es el efecto de mis acciones, que, además, no pueden evitar?”.

Exagero, las preguntas del cinismo también pasaron de moda. Ahora, la mayoría de los políticos, los empresarios y —Dios no lo quiera— los clérigos confianzudos, vaya que no se afligen por cómo hablan, seguros de que si se les capta la onda, ni modo güey.

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Completa

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la dosis

terquedad de Ulises Ruiz

LA BRIGADE BLANCHE D'OAXACA

Jorge Franco Vargas, dirigeant du PRI pour l'État d'Oaxaca, L'ex-procureur Lizbeth Caña Cadeza et Manuel Moreno Rivas, ancien chef de la police de l'État d'Oaxaca, qui forment les plus proches collaborateurs du gouverneur Ulises Ruiz, ont créé et dirigé un groupe parapolicier chargé de pourchasser les opposants à l'administration locale ainsi que certains groupes de narcotrafiquants

LA BRIGADE BLANCHE D'OAXACA

Jorge Franco Vargas, dirigeant du PRI pour l'État d'Oaxaca, L'ex-procureur Lizbeth Caña Cadeza et Manuel Moreno Rivas, ancien chef de la police de l'État d'Oaxaca, qui forment les plus proches collaborateurs du gouverneur Ulises Ruiz, ont créé et dirigé un groupe parapolicier chargé de pourchasser les opposants à l'administration locale ainsi que certains groupes de narcotrafiquants, selon les témoignages enregistrés dans les dossiers de l'instruction préliminaire PGR/SIEDO/UEIS/057/08 et PGR/SIEDO/UEITA/047-08, auxquels "Milenio" a pu avoir accès.

Selon le témoignage de "Luna", alias derrière lequel se cache un ancien fonctionnaire de l'État d'Oaxaca aujourd'hui témoin placé sous la protection de la PGR, ce groupe parapolicier, portant le nom d'Unidad Ministerial de Intervención Táctica (UMIT - "Force d'intervention tactique du ministère"), était formé d'agents de divers corps de police qui jouissaient de toute la "confiance" de hauts fonctionnaires pour effectuer des interventions policières au cours des protestations de 2006 contre l'administration PRI de l'Oaxaca.

"Luna" assista en mai 2007 à l'arrivée aux bureaux du palais de justice de l'Oaxaca de deux personnes dont la description concorde avec celle d'Edmundo Reyes Amaya et de Gabriel Alberto Cruz, les deux membres de l'EPR disparus en 2006 :

"L'un d'eux avait pour patronyme Pérez Amaya (sic), et ce n'est que quelques jours plus tard que j'ai su qu'ils appartenaient à l'EPR", dit "Luna" dans un des documents, où il précise que "leur arrestation a été effectuée par le groupe sous les ordres de Pedro Hernández, sous-directeur des opérations (de la police du ministère), mais je n'ai pas su où ils ont été envoyés". Il ajoute qu'il les a cependant vus sortir du palais de justice quelques jours après leur arrestation.

Après 28 de service dans l'Oaxaca, le commandant Pedro Hernández, ainsi qu'Ángel Cruz Reyes, son chauffeur, et Luis Edgar Toledo, agent de police, sont actuellement entendus au Centro Nacional de Arraigos, à Mexico, où le SIEDO les interroge dans le cadre de l'enquête sur la disparition de Reyes Amaya et d'Alberto Cruz, membres de l'EPR disparus il y a plus de onze mois, mais aussi à cause de leurs liens présumés avec la bande des "Zetas" ("Les Z").

Suit...


Ejecuciones

Pauvre Mexique!

Maintenant on vient a des choses moins littéraires, le pays que M. Calderon est en train de créer avec sa sottise et claire manque des capacités pour gouverner et comprendre la réalité:

La lutte sans merci entre police et narcotrafiquants s'amplifie


Les corps suppliciés de trois des sept hommes retrouvés le 9 mai. Quelque 1 100 personnes ont été tuées depuis le début de l'année dans des affaires liées à la drogue.(Photo : Reuters)

Les corps suppliciés de trois des sept hommes retrouvés le 9 mai. Quelque 1 100 personnes ont été tuées depuis le début de l'année dans des affaires liées à la drogue.
(Photo : Reuters)


Les trios et les chanteurs mariachis, Après l’assassinat des trois responsables de l’anti-drogue la semaine dernière et de plusieurs chefs de la police dans les villes du nord, la guerre des gangs redouble de violence. La ville de Culiacan, berceau des cartels mexicains de la drogue, n’a pas célébré cette année la fête des mères.

Patrice Gouy

Psychose ou peur, les habitants de Culiacan sont restés tranquillement chez eux en famille. Il faut dire que depuis le premier mai, les membres des cartels du Sinaloa et de Tijuana s’entretuent en pleine rue et que personne n’est à l’abri d’une balle perdue. En huit jours, 46 personnes ont été exécutées.

Les trios et les chanteurs mariachis, qui célèbrent habituellement la fête des mères sur les places ombragées de la capitale du Sinaloa n’ont pas fait recette cette année, pas plus que les restaurants désertés.

Le match de football de première division s’est déroulé sous la protection de la police et dans un stade vide. Même les célèbres Tigres del Norte ont préféré annuler leur concert dans cette ville qui les a pourtant vus naître.

Depuis l’exécution, il y a 3 jours du fils du « Chapo » Guzman, le chef du cartel du Sinaloa, l’homme le plus recherché du Mexique, la population craint une terrible vengeance. Le gouvernement de Felipe Calderon a annoncé un quadrillage militaire de la ville, ce qui ne fait qu’augmenter la tension.

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Le Mexique d'aujourd'hui

On a trouve sur la net un bon article sur l'Etat Mexicain à partir de deux ouvres de Carlos Monsivais. On profite que vien de paser son anniversaire.
Nous parait très pertinent de le poster sur le blog du a l'actualité du sujet, a vous de juger et surtout si vous étés intéresse(é)s par la culture mexicaine:


Réflexion sur l’Etat mexicain et ses Institutions à partir de 2 chroniques de Carlos Monsiváis

Françoise Léziart
Université de Brest (France)
Date de publication : septembre 2003

Carlos Monsiváis (né en 1938) est un journaliste et écrivain mexicain qui s’est constamment maintenu dans une position d’outsider critique par rapport au
fonctionnement tant politique, social que culturel de son pays. Un tel scepticisme résulte probablement de certaines expériences de jeunesse, où, étudiant-militant, il a dû affronter la répression et l’absence de liberté d’expression. A partir des années 1970, après la pseudo-ouverture démocratique du pays, consécutive aux protestations
étudiantes de 1968 à Mexico et dans les grandes villes mexicaines, il incarnera avec
quelques autres intellectuels, la voix de la dissidence. Ses chroniques et/ou essais
abordent, pendant les décennies suivantes, des domaines divers tout en conservant
généralement la même perspective : C.Monsiváis ne dissocie pas, en effet, l’écriture de l’idéologie, c’est à dire que ces textes privilégient une vision ironique, voire même
satirique de la réalité mexicaine. Les deux chroniques qui serviront de base à la
réflexion menée plus avant, s’intitulent : No solamente lo fugitivo permanece y dura et Saluda al sol, araña, no seas rencorosa et sont extraites d’un ouvrage publié en 1970 : Días de guardar. Elles présentent deux facettes de la vie politique mexicaine d’alors : le fonctionnement de la Chambre des Députés et la nomination du candidat du PRI (le parti majoritaire) à la Présidence de la République. Nous tenterons de mettre en parallèle, dans cette étude, les textes de cet auteur et la conjoncture mexicaine de cette époque, de façon à souligner certains aspects de la « violence » exercée par un Etat en devenir, dont la stabilité est moins évidente sans doute que dans les vieilles démocraties du reste du monde.

Suit...


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