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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 11 mai 2008

Le Mexique d'aujourd'hui

On a trouve sur la net un bon article sur l'Etat Mexicain à partir de deux ouvres de Carlos Monsivais. On profite que vien de paser son anniversaire.
Nous parait très pertinent de le poster sur le blog du a l'actualité du sujet, a vous de juger et surtout si vous étés intéresse(é)s par la culture mexicaine:


Réflexion sur l’Etat mexicain et ses Institutions à partir de 2 chroniques de Carlos Monsiváis

Françoise Léziart
Université de Brest (France)
Date de publication : septembre 2003

Carlos Monsiváis (né en 1938) est un journaliste et écrivain mexicain qui s’est constamment maintenu dans une position d’outsider critique par rapport au
fonctionnement tant politique, social que culturel de son pays. Un tel scepticisme résulte probablement de certaines expériences de jeunesse, où, étudiant-militant, il a dû affronter la répression et l’absence de liberté d’expression. A partir des années 1970, après la pseudo-ouverture démocratique du pays, consécutive aux protestations
étudiantes de 1968 à Mexico et dans les grandes villes mexicaines, il incarnera avec
quelques autres intellectuels, la voix de la dissidence. Ses chroniques et/ou essais
abordent, pendant les décennies suivantes, des domaines divers tout en conservant
généralement la même perspective : C.Monsiváis ne dissocie pas, en effet, l’écriture de l’idéologie, c’est à dire que ces textes privilégient une vision ironique, voire même
satirique de la réalité mexicaine. Les deux chroniques qui serviront de base à la
réflexion menée plus avant, s’intitulent : No solamente lo fugitivo permanece y dura et Saluda al sol, araña, no seas rencorosa et sont extraites d’un ouvrage publié en 1970 : Días de guardar. Elles présentent deux facettes de la vie politique mexicaine d’alors : le fonctionnement de la Chambre des Députés et la nomination du candidat du PRI (le parti majoritaire) à la Présidence de la République. Nous tenterons de mettre en parallèle, dans cette étude, les textes de cet auteur et la conjoncture mexicaine de cette époque, de façon à souligner certains aspects de la « violence » exercée par un Etat en devenir, dont la stabilité est moins évidente sans doute que dans les vieilles démocraties du reste du monde.

Suit...

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