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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mardi 22 janvier 2008



Le narco

Aujourd’hui dans Le monde apparaisse un article sur le narco et la monte des cartels. Mais qui n’explique pas comment il a devenu le grand monstre qu’il est aujourd’hui. Pour mieux comprendre l’état des choses c’est bien important de savoir que même si problème si ce n’est pas un problème nouveau c’était les USA qu’ont encourage les latino américains a produire des drogues (marihuana au Mexique), pour la consommation des soldats américains (Plutôt pendent la guerre de Vietnam).

Cependant après est devenu un grave problème du a la corruption de touts cotes (la DEA est le plus grand cartel dans le monde), puis les hommes politiques mêles au narco et cartels.

C’est quand même bizarre que pendent le gouvernement de Fox (2000-2006), l’un des narcos de plus puisant El chapo Guzman, s’a échappe d’une prison de haute surveillance….. Puis que au fil des années il a reste tranquilos. Et pendent l’actuel gouvernement lui-même se promène partout et s’est marie sans problème, il a fait une grande fête, parmi ses invites il y avait : des cures, des busines men, des hommes politiques….

Tirez de conclusions.

On a plusieurs questions, comme :

Par où passent les drogues aux USA ?

Qui vend les armes aux narcotrafiquants et par où passent-elles ?

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Drogue : montée en puissance des cartels mexicains

C'est une lèpre qui ronge la société mexicaine, s'étend à presque toute la zone frontalière avec les Etats-Unis et menace l'Europe. En dix ans, les cartels de drogue mexicains ont nettement accru leur contrôle des marchés extérieur et intérieur, leur puissance de feu, leurs bénéfices - et leur capacité à corrompre les institutions. Ils représentent le plus grave défi que le Mexique, pays à la démocratie encore fragile, ait eu à affronter depuis un siècle.

De simples intermédiaires au service des gangs colombiens, les Mexicains sont devenus les maîtres d'un trafic sans cesse plus diversifié (marijuana, cocaïne, héroïne), avec enlèvements contre rançons, contrebande d'armes ou de carburant. Un récent rapport du département américain de la justice souligne leur hégémonie dans la fabrication, puis la distribution, aux Etats-Unis, des méthamphétamines, euphorisants de synthèse moins chers que les stupéfiants classiques, mais plus dangereux.

Malgré les mesures prises par le Mexique pour restreindre l'importation des précurseurs chimiques tels que la pseudo-éphédrine, ces produits continuent d'arriver - sous couvert de cargaison légale - d'Allemagne, d'Inde, de Chine et parfois d'Afrique centrale. En mars 2007, la police a découvert, à Mexico, 207 millions de dollars (141 millions d'euros) en liquide dans la villa d'un trafiquant de méthamphétamines d'origine chinoise, Zhenli Ye Gon : une somme révélatrice de la force de frappe financière des Mexicains.

HAUSSE DE LA CONSOMMATION

Aux Etats-Unis, les cartels recrutent des bandes de délinquants latinos ou afro-américains afin d'assurer la vente de la drogue en gros et au détail. Pour pénétrer le marché européen, le cartel de Sinaloa utilise les Colombiens, leur tête de pont sur le Vieux Continent.

Au Mexique, la consommation est en hausse, un problème longtemps négligé par les autorités, qui dépensent seize fois plus pour réduire l'offre que dans la prévention. Les narcos ont également profité du relatif abandon des campagnes mexicaines : le tribunal supérieur de l'agriculture estimait, en octobre 2007, qu'un tiers des terres cultivées étaient consacrées aux plantations illégales de cannabis et de pavot (plus de 9 millions d'hectares, contre 8,2 millions pour le maïs). Les paysans reçoivent jusqu'à 400 000 pesos (26 000 euros) par hectare des trafiquants, contre 12 000 pesos par hectare (800 euros) quand ils cultivent du maïs.

Dès son arrivée au pouvoir, en décembre 2006, le président Felipe Calderon a voulu frapper l'opinion en déployant l'armée dans les régions où les trafiquants avaient conquis le contrôle du territoire. L'année 2007 a vu des saisies record de drogue, la détermination affichée par le Mexique incitant l'administration américaine à mieux partager ses renseignements.

En réaction, les cartels ont multiplié les attentats, décapitations, mutilations ou vidéos d'"exécutions", afin de donner l'impression que le pays devient ingouvernable. Les forces de sécurité paient un prix élevé, soit parce qu'elles coopèrent avec un groupe criminel, soit parce qu'elles entravent ses activités. Sur les quelque 2 500 victimes du narcotrafic en 2007, 261 étaient des policiers et 35 des militaires.

Plus inquiétant, les cartels ont réussi à imposer "leurs" candidats à la tête de plusieurs municipalités du Michoacan (Centre) et du Tamaulipas (Nord-Est). Le politicien de gauche Juan Antonio Guajardo est mort criblé de balles avec cinq autres personnes, le 29 novembre 2007, pour avoir osé dénoncer la manipulation du scrutin et la complicité du gouverneur de Tamaulipas, Eugenio Hernandez, membre du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), avec les narcotrafiquants.

Au niveau local, aucune force politique - des conservateurs aux Verts en passant par le Parti de la révolution démocratique (PRD, gauche) - ne semble échapper à la pression des cartels.

Joëlle Stolz

Iniciativa Merida

Un arsenal toujours plus offensif
Le monde

"Responsabilité partagée" : tel est le mot d'ordre qui doit guider la coopération entre le Mexique et les Etats-Unis, dans leur bataille commune contre le trafic de drogue. Dès janvier 2007, le président Felipe Calderon avait souligné que son pays ne pouvait gagner seul cette guerre, son voisin du Nord restant le principal marché du monde pour les stupéfiants.


En discussion au Congrès américain, une Initiative Merida prévoit une aide matérielle de 1,4 milliard de dollars (960 millions d'euros) sur trois ans pour mieux combattre les cartels. Les autorités mexicaines réclament de leurs partenaires un meilleur contrôle des armes et des flux de capitaux dont profitent les institutions financières américaines.

Le plus urgent serait de prendre des mesures pour freiner le trafic d'armes provenant des Etats-Unis, estimé à 2 000 par jour. Il existe 12 000 magasins d'armement à proximité de la frontière américano-mexicaine, où les vendeurs sont tenus de vérifier si l'acheteur a des antécédents judiciaires. Mais il est facile de payer un complice au casier vierge. C'est surtout dans les foires (gun shows) que les criminels peuvent emporter, pour moins de 1 000 dollars, un fusil d'assaut, sans se voir poser de question.

Un rapport officiel sur les armes confisquées au Mexique en 2007 révèle le type d'arsenal dont disposent aujourd'hui les gangs : bazookas, armes antitanks légères, grenades à fragmentation, dynamite ou encore du Tovex, un gel explosif en cartouches fréquemment employé dans la construction.

Joëlle Stolz

Espectáculo circense

Les principales organisations criminelles et leurs chefs
Le monde

Cartel de Sinaloa. Sa figure la plus célèbre est Joaquin Guzman, dit "El Chapo", qui s'est échappé de prison caché dans un chariot de linge sale en janvier 2001. La police pense que ce fugitif ne peut diriger réellement cette puissante organisation, à l'origine du narcotrafic mexicain. Les autres noms les plus connus sont les frères Candido et Valerio Palma ou encore les frères Humberto et Jesus Loya. Ce cartel a subi, en 2007, les plus grosses saisies de cocaïne. Il opère dans 17 des 32 Etats de la fédération mexicaine.

Cartel de Juarez. Il est dirigé par un groupe composé de Vicente Carrillo Fuentes (depuis la mort de son frère Amado sur une table d'opération), de Mario Ismael Zambada, des frères Hector et d'Arturo Beltran. Il est actif dans 21 Etats.

Cartel de Tijuana. A sa tête, Eduardo et Enedina Arellano. Celle-ci, ex-responsable d'une chaîne de pharmacies, serait le cerveau financier et la seule femme parvenue à ce niveau de hiérarchie dans le monde criminel latino-américain.
Le cartel a souffert de plusieurs arrestations et extraditions de "capos" importants. Il est actif dans 15 Etats.

Cartel du Golfe. Le plus violent à cause de ses bandes de tueurs, les Zetas, souvent recrutés parmi des déserteurs de l'armée, les premiers à pratiquer des décapitations. Depuis l'extradition vers les Etats-Unis, en janvier 2007, de son chef, Osiel Cardenas, une demi-douzaine de personnes se partagent le pouvoir, dont Eduardo Costilla et Hector Sauceda. Le chef des Zetas est Heriberto Lazcano. Il est présent dans 15 Etats.

Famille Valencia. Elle opère dans 10 Etats, surtout dans le Michoacan (centre). Sa force est d'avoir noué une alliance souple (appelée "Fédération") avec les cartels de Sinaloa et de Juarez.

Famille Amezcua. Elle est présente dans 7 Etats du centre et du nord du Mexique. Adan Amezcua est surnommé "le roi de la méthamphétamine".

Famille Diaz Parada. Elle est active dans 7 Etats (Oaxaca et Chiapas surtout). Evadé deux fois, Pedro Diaz Parada, spécialisé dans la marijuana, court toujours.