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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 30 juin 2008

Naranjo: Nuevo estilo


dimanche 29 juin 2008

MEXIQUE • Les cartels de la drogue jouent les bons Samaritains

Courrier international

Une organisation anticastriste de Miami a fait appel à un cartel mexicain et à ses tueurs à gages pour assurer le passage d'immigrés originaires de Cuba et d'Amérique centrale vers les Etats-Unis. C'est ce que révèlent deux passeurs arrêtés par la police.

Les services du procureur général de la République [PGR, équivalent du ministre de la Justice au Mexique] ont dénoncé les liens existant depuis au moins trois ans entre la Fondation nationale cubano-américaine (FNCA), une organisation anticastriste de Cubains installée à Miami, le cartel du Golfe [un des plus puissants cartels de drogue du Mexique] et le groupe dit "Zetas" [le bras armé du cartel, constitué en majorité d'ex-militaires]. L'objectif de la FNCA est d'augmenter le flux de migrants originaires de Cuba et d'Amérique centrale transitant par le territoire mexicain pour rejoindre les Etats-Unis.

Les autorités ministérielles et judiciaires de Cancún ont recueilli les témoignages édifiants de deux Cubano-Américains arrêtés le 8 juin et accusés d'avoir introduit illégalement 33 Cubains au Mexique. Ces 33 personnes ont été "récupérées" il y a deux semaines par un commando des forces de l'ordre, pendant leur transfert vers un camp de passeurs au Chiapas. Selon des sources judiciaires proches de l'enquête, Nairobi Claro et Noriel Veloz ont déclaré appartenir à la FNCA. Avec les sommes qu'ils percevaient des migrants, ils soudoyaient les autorités mexicaines, se procuraient de faux documents d'immigration et engageaient des hommes de main, issus d'organisations criminelles agissant dans le golfe du Mexique, afin de garantir le passage des Cubains aux Etats-Unis.

Détenus dans une prison de Cancún, les deux hommes ont refusé de bénéficier d'une libération conditionnelle sous caution. Ils craignent d'être exécutés à leur sortie. Selon plusieurs sources, ils ont affirmé dans leur déposition faire partie depuis 2005 d'une organisation de polleros [ou pollos, poulets, surnom des passeurs]. L'organisation fait appel aux services des Zetas, qui assurent aux sans-papiers, en majorité cubains, la traversée du Mexique de la péninsule du Yucatán jusqu'au Tamaulipas, bastion du cartel du Golfe, puis l'entrée chez le grand voisin du Nord.

A en croire certains rapports du gouvernement de La Havane, le Centre mexicain de recherches et de sécurité nationale (Cisen) est informé depuis 2005 du fait que la FNCA ne se contente pas seulement d'apporter son soutien à des groupes de passeurs liés à des organisations criminelles mexicaines. Elle se livrerait également au trafic de drogues et au blanchiment d'argent.

Alfredo Méndez
La Jornada

Oroginal ici


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mercredi 25 juin 2008

Premio México seguro del blog: www.monerohernandez.com


On parle du Mexique: un journaliste assassiné

Quand on parle du Mexique c'est comment cela:

Un journaliste assassiné à Ciudad Juarez



Un journaliste indépendant a été assassiné à Ciudad Juarez, dans le nord du Mexique, une région frappée par les règlements de compte entre cartels de la drogue, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire. Candelario Perez, 40 ans, qui travaillait pour la revue régionale Sucesos de Chihuahua...

Titulo balseros
Artista Rogelio Naranjo

Des cartels mexicains organisent le transit de migrants cubains

Et dans les Etats Unis les recoivent tres bien, on dirai que ne se rendent pas compte qui pasent sa frontiere...... bizarre

Le monde


Des exilés cubains aux Etats-Unis paient des cartels de drogue mexicains pour organiser le passage des migrants cubains vers le territoire américain. Selon les autorités mexicaines, ce trafic rapporte jusqu'à 19 000 dollars (près de 12 000 euros) par migrant, ce qui explique que des groupes criminels endurcis aient investi ce marché

Un incident survenu le 11 juin a servi de révélateur. Des agents de l'Institut national de migration accompagnaient en bus trente-trois Cubains en situation irrégulière, ainsi que quatre autres migrants d'Amérique centrale, qui avaient été capturés sur la côte caribéenne du Mexique et auraient dû être internés dans le centre de détention administrative de Tapachula (sud du Chiapas).

Normalement, les migrants cubains sont retenus un mois à Tapachula, avant d'être gratifiés, après paiement d'une amende, d'un document qui les autorise à rester dix jours au Mexique, l'administration fermant les yeux sur les moyens par lesquels ils gagnent la frontière des Etats-Unis, où ils reçoivent automatiquement un permis de séjour temporaire.

"NOUVELLE FLORIDE"

Mais le véhicule a été intercepté au Chiapas par un commando d'une dizaine d'hommes fortement armés et portant des cagoules, qui ont "libéré" les Cubains. Dix-huit d'entre eux ont été retrouvés huit jours plus tard au Texas. Ils avaient transité par une cache dans la région de Veracruz, sur la côte atlantique mexicaine, avant de franchir la frontière à Reynosa, dans l'Etat de Tamaulipas (nord-est). Or cette route est contrôlée par le cartel du Golfe et ses tueurs, les "zetas".

La présence de ces derniers dans l'opération a été confirmée par le procureur général adjoint de la République, José Luis Santiago Vasconcelos.

Lundi 23 juin, le quotidien La Jornada a apporté d'autres précisions : deux passeurs américains d'origine cubaine, arrêtés le 8 juin par la marine mexicaine alors qu'ils transportaient le groupe de 33 Cubains, ont avoué appartenir à une organisation anti-castriste basée à Miami, la Fondation nationale Cubano-Américaine (FNCA).

Selon eux, la FNCA a recours depuis 2005 aux services du cartel du Golfe. Les candidats à l'émigration quittent Cuba dans de petites embarcations puis, à leur arrivée dans les eaux internationales, montent sur des hors-bord ou des yachts, avant d'être transférés jusqu'au Tamaulipas, les "zetas" se chargeant de les escorter jusqu'à la frontière.

Les deux passeurs, auxquels le parquet a offert le statut de témoins protégés, affirment qu'une partie de l'argent versé par les migrants sert à corrompre des fonctionnaires mexicains.

Pour le quotidien mexicain El Universal, la péninsule du Yucatan est devenue la "Nouvelle Floride", une base qui permet aux milieux anti-castristes d'attirer vers les Etats-Unis des talents jusqu'alors couvés par le régime de La Havane, notamment dans le domaine sportif. Tel le jeune prodige du base-ball Dayan Viciedo, 19 ans, arrivé le 20 mai en hors-bord sur la côte mexicaine, et déjà courtisé par des clubs américains.

Joëlle Stolz

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.Plus d'infos:

Des exilés cubains disparus au Mexique interpellés aux Etats-Unis
Cyberpresse - 19 juin 2008
Un groupe d'exilés cubains dont l'autocar avait été intercepté la semaine dernière au Mexique par un groupe armé sont parvenus à se rendre aux États-Unis, ..


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dimanche 22 juin 2008

Presidencia

Calderón usurpa el poder, ya que no ganó

Cada día la mentira cae bajo el peso de la verdad.

Salio a la luz un libro que no hace mas que corroborar lo que millones sabemos acerca de cómo Calderon llego al poder por medio de un fraude electoral que le dio un hipotético 0. 56% de triunfo.

Aqui los articulos que encontramos sobre este candente tema, y ya saben si quieren leerlos completos hay que darle clik donde se indica.

El libro de Crespo

El su libro “2006: Hablan las Actas”, el investigador y analista político José Antonio Crespo evalúa a fondo los resultados de la elección presidencial de 2006. Concluye que las inconsistencias aritméticas de las actas son de tal magnitud, que no podemos saber quién ganó. El libro recién publicado sale con oportunidad, en los momentos en que se autorizó al IFE a fijar una fecha para quemar, triturar o sepultar las boletas del controvertido proceso electoral.

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Reporte índigo de esta semana entrevista a José Antonio Crespo y hay muchas verdades:

El tribunal electoral mintió

José Antonio Crespo prueba que el máximo Tribunal Electoral del país omitió dar información de las actas electorales de 2006 que era determinante para declarar inválidos los pasados comicios presidenciales: “Los magistrados informaron a la ciudadanía que las actas decían algo muy distinto a lo que en verdad reportan”.

Por Adriana Amezcua

Leer completa en.pdf

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Proceso: también dedico un importante espacio al libro:

Hablan las actas: Calderón no ganó
Álvaro delgado

México, D.F., 9 de junio (apro).- Poco después de que el Tribunal Electoral del Poder Judicial de la Federación (TEPJF) dio como ganador a Felipe Calderón, el 5 de septiembre del 2006, Carlos Salinas estaba molesto, pero no por el fallo, que lo hizo feliz por frenarse a su enemigo Andrés Manuel López Obrador, sino por la ingratitud del panista.

Salinas había tratado de comunicarse con Calderón para reunirse con él antes de la toma de posesión, el 1 de diciembre, pero César Nava Vázquez, el secretario particular, no quería tomarle la llamada, ni siquiera con la intervención de un allegado de ambos.

“Salinas está muy enojado con Calderón, porque no le quiere tomar la llamada y a él le debe su triunfo. Dice que el marcador en el Tribunal Electoral estaba 4-3, con riesgo de convertirse en 3-4, que era la nulidad, y él hizo la unanimidad de 7-0”, reveló al reportero un prominente abogado panista --amigo de Salinas y de Nava--, quien pidió reserva sobre su identidad.

Esta historia tenía cierta lógica en el contexto poselectoral del 2006, porque se sabía de magistrados que se inclinaban por anular la elección presidencial debido a las abundantes irregularidades en todo el proceso, particularmente por la violación de, al menos, dos principios constitucionales en la materia --la equidad y la certeza--, y sin embargo, en medio de la opacidad, se emitió un dictamen unánime.

(…)

*’*’*’*’*’*’*

Y va un articulo en donde se habla del libro

Calderón, otra vez cuestionado
Octavio Rodríguez Araujo

José Antonio Crespo nos ha brindado un conjunto de elementos objetivos que reviven la certidumbre del fraude electoral de la elección presidencial de 2006. Muy recientemente publicó en la editorial Debate un libro de 236 páginas titulado 2006: hablan las actas. Las debilidades de la autoridad electoral mexicana. Él aclara que las irregularidades que analizó en las actas no le dan automáticamente el triunfo a López Obrador, pero que tampoco se lo dan a Calderón. La única forma en que esas grandes dudas podían haber sido despejadas hubiera sido contar todos los votos como se ha demandado no sólo por la coalición Por el Bien de Todos (PRD-PT y Convergencia), sino por entidades y personas no involucradas directamente con ningún partido.

(…)

La comprobación de Crespo fue que los errores detectados en las actas eran suficientes para afectar el resultado total en el país (lo que debió tomar en cuenta el TEPJF) y que el principio de certeza no se había garantizado. En pocas palabras, el tribunal electoral tuvo en sus manos la posibilidad de demostrar y de exhibir que la elección estaba plagada de errores e inconsistencias y que, por lo mismo, no había certeza absoluta en los resultados oficiales ni en el triunfo de Calderón. No lo hizo, por lo que una vez más se puede afirmar que dicho tribunal actuó sesgadamente, quizá con dolo y, desde luego, en oposición a la verdad que casi todo mundo demandaba.

(…)

La conclusión que el lector de Crespo puede extraer con facilidad, si es tan objetivo como el autor del libro comentado, es que Calderón no ganó la elección o, en el mejor de los casos, que no podría ni podrá comprobar su cuestionado triunfo.

(…)

La aportación de Crespo revive el debate sobre el fraude electoral de 2006 y sobre la legitimidad de Calderón como presidente de México, pero también es una publicación muy oportuna, pues en este momento FCH y su partido están a la baja, colocados en segundo lugar después del PRI sin que este partido haya hecho nada especial por recuperar su primer lugar perdido desde el 2000.

(…)

*’*’*’*’*’*’*’*

Cerramos con:

José Agustín Ortiz Pinchetti :

El despertar

… tiene el tiempo en contra: irán fluyendo investigaciones que pongan en tela de juicio los comicios presidenciales de 2006. Un ejemplo notable y reciente es el trabajo de José Antonio Crespo (2006 hablan las actas. Las debilidades de la autoridad electoral mexicana). Crespo no intenta demostrar si hubo o no fraude. Simplemente coteja las actas oficiales con el principio de certeza que gobierna las elecciones mexicanas. Realiza un examen monumental de 60 mil actas de escrutinio, que equivalen a la mitad de los 300 distritos electorales, y calcula que hubo inconsistencias graves en número tal que rebasa tres veces la diferencia con la que pretendidamente ganó Calderón a AMLO. Lo grave, destaca, es que las autoridades electorales constataron las irregularidades, pero prefirieron plegarse al PAN y a Fox y validar los comicios. Éstas debieron anularse por la intervención del Presidente, los empresarios, la Iglesia católica y por las graves irregularidades en las propias urnas.

Investigaciones posteriores irán penetrando la verdad. Hay innumerables testimonios, registros y videos. El Poder Judicial ordenó la apertura de un pequeño número de actas: se encontró que había muchísimas boletas faltantes o sobrantes. Ajustes inexplicables en las actas, sin intervención de agentes especializados en fraudes electorales. También hay pruebas de la intervención del sindicato de maestros, comandado por Elba Esther Gordillo, experto en esas tareas.

Las elecciones de 2006 representan una regresión. (…)


Cortesía del IFE · Helguera

samedi 21 juin 2008

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Merci

http://i271.photobucket.com/albums/jj143/mannheim68/merci.jpg

Un grand merci a tout ceux qui nous écrivent, on n’a pas pu vous répondre perso.

Ausi un merci a touts ceux qui nous lissent


Eulampis jugularis - hummingbirds

image:

http://bibliodyssey.blogspot.com/2007/03/gould-hummingbirds.html



Croquer la mort

Et pour continuer avec le sujet de la mort un superbe video:
Pour le voir il suffit de cliquer sur l'image et voila!

Ajouter la vidéo au Pense-bête

Hasta Los Huesos

Le vrai crane

Il est le vrai lui!
http://www.uaa.mx/public/gaceta/gaceta79.pdf

Le mystère des crânes de cristal

Maintenant le vrai crane de cristal!

Dans la ville de Aguascalientes au centre du Mexique on trouve un particulier musée dédie entièrement à la mort, il s’agit du Museo Nacional de la Muerte. Ou l’on trouve quelques deux mille pièces relatives à la mort, des drôles des squelettes, des Catrinas, des objets anciens, des vierges, enfants, appartenant a toutes époques et dans cette collection un petit crane de quartz que le voila :




On dit que lui il est le réel, on sais pas mais il est magnifique et plus petit que celui du musée Branly.

malhereusement on a pas trouve le site du musée... mais le site d'un blog qu'en parle!

http://juliacuellar.blogspot.com/2007/11/museo-de-la-muerte.html


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Le mystère des crânes de cristal

Après un long surf sur les mystères des crânes de cristal, sur les énigmes supposes autour des objets sacrés des Mayas. Mon principal questionnement, à été: pourquoi il a une asses grande ignorance sur les mayas du classique (200 à 800 a.c.); chez ses chercheurs de l'inconnue?.
Donc pour combler cette ignorance, cuijasp.com a développe des modules basiques (le calendrier maya, les dieux des mayas, la littérature des mayas)
que permettrant comprendre la pense des mayas que ont sculpte le crâne de cristal pille en Lubaantùn Belize.
De plus nous avons ajute:
" Introduction aux Hiéroglyphes Mayas.Manuel d’atelier" doc.pdf (7.6 Mo)

La saga des crânes de cristal
Treize crânes de cristal et une légende

tenochtitlan

No se puede mostrar la imagen “http://www.salomart.com/images/tenochtitlan-2.jpg” porque contiene errores.
http://www.salomart.com/images/tenochtitlan-2.jpg

Découverte au Mexique

On commence par la culture:

Découverte de ruines d'un palais aztèque au Mexique

MEXICO — Des archéologues mexicains ont annoncé avoir découvert au coeur de la capitale Mexico les ruines d'un palais aztèque, qui aurait été habité par l'empereur Montezuma.

Dans le cadre d'un projet classique de rénovation d'un bâtiment colonial, ils ont mis au jour des morceaux de mur et de sol en basalte, qui constitueraient une partie d'une pièce où Montezuma méditait, a expliqué lundi la responsable de l'équipe d'archéologues Elsa Hernandez.

Le palais de Montezuma, connu comme las Casas Nuevas, ou nouvelles maisons, aurait été constitué de cinq bâtiments communicants, comprenant le bureau de l'empereur, les chambres des enfants, des différentes épouses et même un zoo, selon Elsa Hernandez.

Les constructions aztèques avaient été rasées par les conquistadors espagnols, qui avaient construit la Mexico actuelle sur les ruines.

Les experts ont longtemps cru que le palace de Montezuma se trouvait sur le site des ruines, près du palais national, a-t-elle précisé.

Cette découverte est "une autre pièce du puzzle, (et) nous espérons trouver plusieurs autres pièces", a déclaré Elsa Hernandez. De nouvelles fouilles sont prévues sous plusieurs parties du bâtiment qui abrite aujourd'hui le musée de la Culture.

Montezuma était l'empereur des Aztèques quand le conquistador Hernan Cortes est arrivé dans la vallée de Mexico en 1519. Il est mort après avoir été fait prisonnier par les Espagnols, la ville et l'empire aztèques ont fini par tomber en 1521.

La presse Canadienne


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dimanche 15 juin 2008

Una musiquita

Dedicada al espurio!

You're So Vain
Para escuchar dar click en la imagen o aqui
You're So Vain

Esta caricatura que complementa la musica




Al grano · Helguera

La venta de Mexico

Beneplácito de la realeza española
Jesús González Schmal

(...) la avalancha de capitalistas españoles capitaneados por el ex presidente José María Aznar, de la más recalcitrante derecha peninsular, ideológica y estratégicamente afín al neoconservadurismo de Bush, constituye ya un obstáculo para el desarrollo económico sano y equitativo para México y, desde luego, compromete a la política exterior del país al implicarlo en una línea internacional de derechización de América Latina con el trío PAN-Fox, Miami, ODCA-Espino, que se aprestan a seguir el ataque contra los regímenes de izquierda y progresistas del continente para asegurar el predominio español y garantizar el blanqueo de recursos en los negocios de ultramar.

Las evidencias no se deben buscar muy lejos. Ya para nadie es desconocido que uno de los estrategas de la campaña de Calderón fue el tal Antonio Solá Reche, brazo derecho de Aznar y Rajoy en el Partido Popular, de donde copió la campaña contra López Obrador para hacerlo pasar como un radical intransigente que era un peligro para México. Estos efectos están siendo todavía prolongados, mediante campañas subliminales, en amplios círculos de la derecha y la prensa adicta, de acuerdo con las pautas de la estrategia publicitaria oficial.

El otro dato incontrovertible dentro de esta cadena injerencista en México es la ubicación de Juan Camilo Mouriño en Gobernación, apenas unas semanas antes de que se descubriera la intención de amarrar una alianza PAN-PRI para aprobar la reforma a Pemex hacia finales de abril, en la última sesión del periodo ordinario de sesiones de las cámaras legislativas. Mouriño no es sólo uno de los contratistas irregulares en Pemex, sino hijo de uno de los principales concesionarios españoles de franquicias prohibidas para extranjeros en estaciones de gasolina y parte de un clan enriquecido en México, desde la llegada del PAN a la Presidencia. La intermediación de éstos en la búsqueda del botín de la privatización petrolera es ya del dominio publico.

La multiplicación de contratistas españoles acogidos desde Los Pinos por recomendación directa del rey Juan Carlos es ya un dato público. La construcción del tren rápido de Buenavista a Cuautlitlán, cuya licitación había ganado la empresa anglofrancesa Alstom, fue reasignada por adjudicación directa a la firma española CAF gracias a una llamada telefónica del monarca Borbón a Vicente Fox, para lograr, al precio que fuera, ceder a los deseos de su majestad.

Catorce de los más importantes aeropuertos mexicanos han sido cedidos para su explotación a la empresa española Aeropuertos del Pacífico, que no sólo no ha invertido un quinto en ellos (ver el de Guadalajara y Tijuana) sino, incluso, ha perseguido y agredido a locatarios mexicanos para sustituirlos por extranjeros. Esta será seguramente la línea si logran meter más a Repsol en los contratos y privatización de Pemex.

Lo cierto es que debemos vernos en el espejo de Venezuela, donde, como fue claro con la ira del rey Juan Carlos contra Chávez, la implicación de la Corona española en el frustrado golpe de Estado es un hecho histórico que marca hasta qué grado puede llegar la reconquista emprendida por la derecha española. No fue casualidad que fueran el rey y Rodríguez Zapatero los primeros que felicitaran a Calderón cuando los mexicanos discutíamos la legitimidad del proceso electoral.

Completa

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Que buena tactica
Aprobechando

Pemex , Pemex y Pemex

Ahora venimos a la triste realidad:


■ Pemex guerra: resultados iniciales

Hace nueve semanas que Calderón al fin hizo pública su iniciativa para privatizar Pemex. El desenlace no es claro, pero ya es hora de evaluar lo que se ha cosechado:

1. La intentona requería un acuerdo del PAN y del PRI para aprobar sin discusión la reforma antes de que terminara el periodo legislativo. Beltrones no quiso o no pudo asumir los costos. Con la toma de la tribuna y las primeras movilizaciones se ganó un tiempo precioso para la resistencia.

2. La iniciativa no ha logrado legitimarse. Nadie, ni sus defensores, creen que no es un intento privatizador. Su carácter inconstitucional resulta evidente. Los artículos 25, 26, 27 y 28 de la Constitución reservan al Estado el negocio petrolero y prohíben de modo radical cualquier forma de inversión extranjera o nacional en toda la cadena de su explotación.

El PRI ha anunciado que no votará a favor, porque el proyecto es una simulación para permitir la formación de monopolios privados que asfixien a Pemex.

3. Contrario a lo que muchos pensábamos, el debate, que no ha sido transmitido por los medios electrónicos, ha penetrado a la opinión pública y se van haciendo evidentes hechos torales que se ocultaban: a) Pemex ha sido desmantelado de modo deliberado. b) No está en bancarrota; tiene ganancias de miles de millones de dólares, los cuales van sin trasnsparencia al gasto de operación del gobierno federal y de los estados. c) El gobierno extrae casi todas las ganancias de la paraestatal y le impide recapitalizarse y aprovechar el auge petrolero, porque está en la penuria fiscal y es incapaz de cobrar los impuestos que por 500 mil millones de pesos deben pagar los grandes grupos de interés. d) El nacionalismo y la democracia han salido ganando. Es una tesis derrotista y entreguista suponer que la “mitología nacionalista” frene el progreso. Todas las potencias son nacionalistas, y Estados Unidos, la mayor entre todas. Su poderío vecino nos obliga a defender nuestros recursos, interés e identidad. Esto es el nacionalismo para México. e) En el futuro las leyes que cambien la estructura del Estado deberán ser sujetas a escrutinio público. Es inevitable que los ciudadanos exijan que se consagre la consulta, la iniciativa popular y otras figuras de la democracia participativa. f) AMLO ha liderado la resistencia gracias a que organizó a los inconformes. 200 mil brigadistas están preparados para la movilización. Es una lección: sólo con organización y mística, la oposición puede ser eficaz.

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American Gothic 1930 by Grant Wood

Le Mexique, "paradis" des retraités américains

la migration s'enverse:
Le Monde

CHAPALA

Un parfum désuet flotte sur la lagune de Chapala (Etat de Jalisco), le plus grand lac naturel du Mexique, à quarante minutes des usines et des embouteillages de Guadalajara. Les villas patriciennes somnolent au fond des jardins, et la gare du chemin de fer, qui amenait jadis les familles bourgeoises vers cette Riviera exotique, a été transformée en centre culturel. Mais des milliers d'Américains ou de Canadiens y trouvent le bonheur pour leurs vieux jours : ils sont l'avant-garde de 70 millions de baby-boomers - nés dans les années 1950 - qui vont bientôt prendre leur retraite et se sentent attirés par les charmes du Mexique.

"J'adore, c'est le paradis !", s'exclame Chuck, originaire du Wisconsin, qui s'est établi à Ajijic. Ce pittoresque village est devenu la capitale de la république des "expats" (expatriés) de Chapala. "Le grand avantage, c'est le climat tempéré, la possibilité de voyager dans un pays merveilleux, et enfin les gens, qui sont très sympas", confient Paul et Harriet Hart, un couple d'actifs retraités canadiens.
(...)
Le consulat américain de Guadalajara estime qu'environ 50 000 ressortissants des Etats-Unis - sur un million dans l'ensemble du Mexique - vivent dans cette région, le chiffre pouvant doubler lorsque les
snow birds ("oiseaux d'hiver") fuient les rigueurs du climat américain.

"Chapala concentre le plus grand nombre de nos ressortissants à l'échelle continentale, si l'on excepte le Canada", affirme Ravi Candadai, chef des services consulaires aux expatriés. "Ici, on parle davantage anglais qu'espagnol", s'amuse Leopoldo Ibarra, un médecin qui tient le week-end, sur la place d'Ajijic, une pharmacie où le Viagra est en vedette. "Un comprimé coûte 150 pesos (moins de 15 dollars), sans qu'on ait besoin d'une ordonnance comme aux Etats-Unis", dit-il.

Mais au Chapala Lake Society Complex, lieu de rencontre favori des "expats", les loisirs semblent plutôt calmes. Pour montrer leur gratitude à une population qui les accueille si volontiers, beaucoup de membres se consacrent à des activités caritatives, animent des ateliers avec les habitants ou des bazars au profit de la Croix-Rouge. Cette ambiance bon enfant résistera-t-elle aux appétits des promoteurs, qui courtisent les 2 millions d'Américains et le million de Canadiens susceptibles de se retirer au sud du Rio Grande ?

En Arizona ou au Nevada, des annonces vantent les merveilles de complexes couvrant jusqu'à 18 000 hectares, avec golf et marina, qui doivent être édifiés sur la côte de l'Etat de Sonora, en bordure du Pacifique. Et dans la région de Cancun, les écologistes s'inquiètent des conséquences, pour un environnement naturel déjà saturé, de projets destinés aux baby-boomers.

Joëlle Stolz

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Mexique: souveraineté, État et pétrole

Un tres bon article de l'actualite mexicaine:

Mexique: souveraineté, État et pétrole






Il serait utile de réfléchir à trois concepts qui sont utilisés dans les débats actuels, et qu'il serait bon d'éclairer, de mettre en relation et dont il faudrait tirer des conclusions pratiques.

La souveraineté

L'on sait que lorsque Jean Bodin (1529-1596) traitait de ce thème [celui de la souveraineté] dans son ouvrage Les six livres de la République (1576), il ne reconnaissait qu'à la seule personne du prince ou du roi le «pouvoir souverain». Bodin savait que dans «l'Etat de Venise» la souveraineté reposait sur le «Conseil majeur» des patriciens, raison pour laquelle il s'agissait d'une aristocratie.

Lorsque Bartolomé de las Casas (1484-1566) se référait au Pérou et aux encomiendas [regroupement d’Indiens sur un territoire afin d’utiliser leurs forces de travail et placé sous le commandement d’un Encomendero, qui dépendait de la Courone d’Espagne] – dans son ouvrage De Regia potestate, 1546 – il considérait que le pouvoir d'autodétermination n'appartenait qu'au peuple, puisqu'il écrivait explicitement qu'une décision prise par le roi «sans le consentement du peuple» (consensu populi) n'avait pas de «légitimité» (legitime), car cela équivaudrait à «inférer un préjudice à la liberté (libertati) du peuple» [1].

Le concept de souveraineté a donc subi une évolution en ce qui concerne son référent. Au début, seuls étaient souverains les dieux qui dictaient les lois de la communauté. Puis, lentement, les dieux ont délégué ce pouvoir aux rois, comme nous le voyions dans le Code d'Hammourabi en Mésopotamie (au XVII siècle avant notre ère). Dans la république romaine, c'est le Sénat – une oligarchie minuscule – qui détenait la souveraineté. Le processus historique finira par «comprendre» que la souveraineté n'appartient qu'à l'ensemble d'une communauté politique, au peuple. Le peuple est le seul souverain.

Il est la première et la dernière instance d'autodétermination dans la création de toutes les institutions (Cornelius Castoriadis dirait grâce au pouvoir instituant), dans la promulgation d'une constitution (grâce au pouvoir constituant décrit entre autres, par Carl Schmitt), dans la promulgation de lois ou dans la prise de décisions fondamentales de la politique (de l'élection de représentants jusqu'aux compromis décisifs dans lesquels on utilise des recours exceptionnels tels que la consultation populaire, le référendum ou le plébiscite). Dans tous les cas, la souveraineté populaire reste le dernier siège de l'exercice du pouvoir.

L'Etat

Dans la mesure où l'Etat est le macro-système institutionnel de la société politique, créé par la souveraineté populaire, on ne peut pas à proprement parler dire que «l'Etat est souverain». C'est le peuple qui est souverain, et l'Etat est une institution à son service. Et comme toute institution, il est une médiation pour l'exercice délégué du pouvoir souverain du peuple. On pourrait dire que, dans le meilleur des cas, l'Etat exerce de manière déléguée la souveraineté populaire, pas en son propre nom mais au nom du peuple. Lorsque l'Etat s'arroge le pouvoir d'exercer la souveraineté en son nom propre (on a si souvent répété que «l'Etat est souverain» qu'on pourrait l'accepter au sens large) cela correspond à ce qui a été appelé le fétichisme du pouvoir [2]. Le pouvoir politique ne réside que dans le peuple, et son unique siège inaliénable dans le peuple.

Lorsque ce pouvoir politique est attribué à une institution, c'est-à-dire lorsque celui qui exerce le pouvoir de manière délégué prétend l'exercer en son nom propre et non comme représentant, il se produit une inversion de sens dans la mesure où cela occulte la véritable source du pouvoir. Ainsi une pure apparence, un phénomène, cache l'essence. C'est un fétiche. C'est un «dieu fabriqué de la main des hommes» (comme l'indique Marx en citant un texte sémite). Cette inversion est la corruption suprême de la politique. L'homme politique croit être le souverain parce qu'il prétend détenir le «monopole du pouvoir». Il a usurpé une place qui ne lui appartient pas: celle d'être le siège d'un pouvoir souverain qui n'appartient qu'au seul peuple dans son entièreté.

Le pétrole

Superficie et sous-sols du mexique : Carte des raffineries
source de la carte: site d'informations pour voyageurs

Les biens qui se trouvent dans les limites du territoire sur lequel le peuple exerce la souveraineté à travers les institutions créées pour le servir sont le patrimoine de la communauté politique toute entière. Les biens qui restent sous le régime de la propriété commune, administrés par l'Etat, sont des biens publics. Le pétrole, tout comme les richesses du sous-sol, l'eau, l'électricité, etc., sont également des biens publics au Mexique.

Le pétrole est un produit organique, fruit de millions d'années de la vie sur la Terre. C'est une des substances les plus précieuses de la planète à cause de ses multiples usages ; et elle n'est pas renouvelable.

Premièrement, le fait de simplement le brûler est un crime dont les générations futures nous demanderont des comptes. Annihiler cette ressource par combustion équivaut à jeter au feu des diamants, de l'or ou des billets de banque en vigueur.

Deuxièmement, il serait donc rationnel d'en extraire le moins possible, d'en conserver la plus grande part et de soumettre sa consommation au respect d'une exigence éthique et politique: qu'on découvre et que l'on puisse utiliser en égale quantité des substituts énergétiques provenant de ressources renouvelables.

Troisièmement, il est également tout à fait irrationnel de vendre du pétrole brut. On devrait transformer et commercialiser uniquement des produits dérivés du pétrole ayant une valeur ajoutée (plastics, huiles, essence, etc.). Seuls des peuples complètement sous-développés vendent la matière première pure. Le Mexique dispose de l'intelligence, de la technologie et de la planification nécessaires pour n'avoir pas à vendre un seul gramme de pétrole brut.

Enfin, quatrièmement, il est encore plus irrationnel et immoral (c'est une indication de la corruption de ceux qui gouvernent) de concéder la propriété du pétrole en guise de paiement de services à recevoir [à des compagnies américaines, entre autres depuis la crise de la dette de 1982].

Comme si le Mexique pouvait se payer les meilleurs services du monde avec l'argent obtenu grâce à la vente des produits élaborés à partir du pétrole! Il n'est aucunement nécessaire d'aliéner la propriété du pétrole. Cela relève du bon sens le plus élémentaire!

Cette somme de décisions irrationnelles ne peut s'expliquer que par l'intérêt égoïste et sans aucun rapport avec la justice et l'éthique de la part des gouvernants. C'est simplement de la corruption politique, car ceux qui exercent le pouvoir institutionnel (sénateurs, députés, président, gouverneurs, etc.) ont oublié qu'ils ne sont pas le siège du pouvoir politique, mais de simples représentants qui exercent leur pouvoir délégué au nom de la souveraineté populaire.

Et suite à cet oubli, ils pensent qu'ils peuvent tout décider sur le dos du peuple, alors qu'une «consultation populaire» serait pleinement justifiée sur une question aussi importante. Mais [ceux qui exercent le pouvoir institutionnel] ne le souhaitent pas, car cela leur gâcherait «tout le jeu». Si les institutions – dont le pouvoir législatif – n'étaient pas corrompues, elles se rappelleraient que l'Etat ne dispose que d'un exercice délégué, n'étant pas au sens strict souverain, et elles devraient donc comprendre la nécessité d'une telle «consultation du souverain».

Mais la corruption n'est pas seulement politique, elle est également éthico-subjective. L'exercice fétichiste du pouvoir les prédispose également au désordre subjectif, à l'amour de la richesse qu'on appelait usure, à l'appropriation indue de biens appartenant au peuple qu'ils distribuent ensuite à discrétion, illégalement, entre leurs «amis» (à l'intérieur du pays mais aussi à l'extérieur de celui-ci, puisqu'en fin de compte, la bourgeoisie est mondiale).

Il serait bon d'appeler à une certaine sagesse, à s'imposer une certaine limite de simple honnêteté citoyenne, et de demander que l'on «consulte le peuple» dans cette situation si grave.

Au cas contraire, le peuple aura le droit d'entrer en action. C'est un «droit absolu», car, à l'injustice de l'«état de droit», on ne peut se limiter à opposer l'«état d'exception», mais on doit revendiquer fondamentalement l'«état de rébellion» qui finit par clamer: «Que se vayan todos!» (Que tous s’en aillent !)



Article original en espagnol, Soberanía, Estado y petróleo, La Jornada, le 3 juin 2008.

Traduction A l’encontre


1. Voir mon ouvrage Politica de la Liberacion, Trotta, Madrid 2007, § 6.4.

2. Voir la thèse 6 de mon livre 20 thèses de politique, Siglo XXI, México, 2007.


Enrique Dussel est l’un des philosophes de la théologie de la libération les plus connus en Amérique latine. D’origine argentine, il enseigne actuellement au Mexique (UNAM).