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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 11 mai 2008

Pauvre Mexique!

Maintenant on vient a des choses moins littéraires, le pays que M. Calderon est en train de créer avec sa sottise et claire manque des capacités pour gouverner et comprendre la réalité:

La lutte sans merci entre police et narcotrafiquants s'amplifie


Les corps suppliciés de trois des sept hommes retrouvés le 9 mai. Quelque 1 100 personnes ont été tuées depuis le début de l'année dans des affaires liées à la drogue.(Photo : Reuters)

Les corps suppliciés de trois des sept hommes retrouvés le 9 mai. Quelque 1 100 personnes ont été tuées depuis le début de l'année dans des affaires liées à la drogue.
(Photo : Reuters)


Les trios et les chanteurs mariachis, Après l’assassinat des trois responsables de l’anti-drogue la semaine dernière et de plusieurs chefs de la police dans les villes du nord, la guerre des gangs redouble de violence. La ville de Culiacan, berceau des cartels mexicains de la drogue, n’a pas célébré cette année la fête des mères.

Patrice Gouy

Psychose ou peur, les habitants de Culiacan sont restés tranquillement chez eux en famille. Il faut dire que depuis le premier mai, les membres des cartels du Sinaloa et de Tijuana s’entretuent en pleine rue et que personne n’est à l’abri d’une balle perdue. En huit jours, 46 personnes ont été exécutées.

Les trios et les chanteurs mariachis, qui célèbrent habituellement la fête des mères sur les places ombragées de la capitale du Sinaloa n’ont pas fait recette cette année, pas plus que les restaurants désertés.

Le match de football de première division s’est déroulé sous la protection de la police et dans un stade vide. Même les célèbres Tigres del Norte ont préféré annuler leur concert dans cette ville qui les a pourtant vus naître.

Depuis l’exécution, il y a 3 jours du fils du « Chapo » Guzman, le chef du cartel du Sinaloa, l’homme le plus recherché du Mexique, la population craint une terrible vengeance. Le gouvernement de Felipe Calderon a annoncé un quadrillage militaire de la ville, ce qui ne fait qu’augmenter la tension.

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