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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 1 juin 2008

L'inaptitude du gouvernement mexicain.....

La Bourse mexicaine est nettement surcotée
LE MONDE

La Bolsa, la Bourse du Mexique, a connu quelques bonnes années, mais elles sont sans doute terminées. La croissance économique du pays est d'ailleurs, et de façon surprenante, assez médiocre. Et de fait, il apparaît que la place mexicaine, qui doit s'introduire en Bourse en juin, cherche à obtenir une prime à la croissance qu'elle ne mérite pas.

La Bolsa a certes connu une bonne période. Depuis cinq ans, les valorisations ont quintuplé tandis que le volume des transactions doublait. La privatisation a été retardée, en 2006, à cause de problèmes politiques. Cours et transactions ont bien tenu en 2008 en dépit de la baisse de l'ensemble des places boursières. Lancer l'introduction maintenant semble logique.

Le grand doute vient de la mauvaise performance économique, assez incompréhensible, du Mexique. Son taux de croissance en 2007 était de seulement 3 % en dépit de recettes pétrolières qui représentent environ 22 % des exportations. Sa situation géographique, le niveau modéré des salaires, des dépenses publiques faibles et un gouvernement de centre-droit devraient permettre au pays de faire bien mieux - et de viser au moins les 5 % à 6 % de la Colombie et du Brésil.

Mexilios: Pas incompréhensible, mais parfaitement compréhensible vu l’inaptitude montre pour Calderon face au gouvernement. L’incompétence de la majorité des membres du cabinet, l’inexpérience et la corruption au sein même du gouvernement en commencent pour la tête et suivant pour le ministre de l’intérieur, l’espagnol Juan Camilo Mourino qui tout en étant fonctionnaire publique, en profitant de son poste et de l’information privilège qu’il détente, fait des business pour les entreprises familiers avec le pétrole parmi d’autres. Et ainsi on pourrait parler de chaque membre du cabinet présidentiel.

Le problème semble venir d'une culture politique contre-productive cimentée, jusqu'en 2000, par quatre-vingt-huit années de pouvoir d'une seule formation politique, le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI). Le Congrès national a ainsi empêché le gouvernement actuel de Felipe Calderon d'autoriser les investissements étrangers dans la compagnie pétrolière nationale Pemex, même si elle en a besoin. Du coup la production de pétrole décline et les activités de raffinage ont été déficitaires en 2007.

Mexilios: Le problème s’est empire depuis l’année 2000 avec la grave incompétence largement montre pour les hommes politiques du PAN et des présidents Fox et Calderon. Pour tout dire le pays va de pire en pire. (Voir ici)

Et ce n’est pas l’opposition qu’empêche Calderon de privatiser le pétrole, (bien au contraire ils seraient presque ravis que se face ainsi), mais le peuple! qui défend ses ressources contre les prédateurs étrangers.

Les actions cotées sur la Bolsa s'échangent à 18 fois leurs bénéfices. C'est un niveau plus élevé que connaît l'Inde, où la croissance est trois fois plus forte qu'au Mexique.

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