Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 22 octobre 2007

FMI, La jornada opine

Le courrier international

Le FMI, refuge de politiciens en disgrâce


DSK en conférence de presse, le 1er octobre
AFP

"La désignation de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI montre qu'il faut considérer cet organisme international comme un refuge pour politiciens en disgrâce puisque, comme son prédécesseur, l'aznariste Rodrigo Rato, Strauss-Kahn a été vaincu dans les sphères de son propre parti", s'exclame La Jornada dans son éditorial.

Pour le quotidien de gauche mexicain, fervent militant antilibéral, "cette désignation souligne le contrôle antidémocratique et exclusif exercé par les Etats-Unis et l'Europe occidentale d'un commun accord sur les principaux organismes financiers internationaux : Washington se réserve de nommer les dirigeants de la Banque mondiale et l'Union européenne exerce le même privilège sur le FMI."

"La succession Rato - Strauss-Kahn ne change rien au fonctionnement du principal organisme financier multilatéral dont les directives ont causé tant de catastrophes économiques, sociales et politiques en Amérique latine. Face aux turbulences financières amplifiées par la globalisation, le FMI n'a pas d'autres remèdes que de sacrifier les secteurs majoritaires de la population, tranquilliser les investisseurs – surtout étrangers –, diminuer le secteur public, congeler les salaires et libérer les prix. Dominique Strauss-Kahn semble être l'homme indiqué pour continuer à donner ce genre de conseils", écrit La Jornada.

"Ce n'est donc pas un hasard si de plus en plus de gouvernements latino-américains, parvenant à la conclusion que le FMI n'apportait rien de bon à l'économie de leurs pays, ont soldé leurs dettes avec lui et se sont libérés de ses règles amères."

Aucun commentaire: