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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 2 juillet 2007

Et aujord'hui?









lundi 2 juillet 2007, 7h21


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Un an après, Lopez Obrador peine à mobiliser les Mexicains
LOPEZ ABRADOR PEINE À MOBILISER LES MEXICAINS
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MEXICO (Reuters) - Il y a un an, il s'en était fallu d'un rien pour qu'il soit élu à la présidence du Mexique. Aujourd'hui, Andres Manuel Lopez Obrador continue de se dire volé de sa victoire électorale mais peine à entretenir la mobilisation de ses partisans.

Le rassemblement organisé dimanche à Mexico, à la veille du premier anniversaire de l'élection du 2 juillet 2006, a certes attiré des dizaines de milliers de personnes, loin cependant des 300.000 marcheurs qui défilaient alors derrière leur "président légitime".

Au cours des douze mois écoulés, "Amlo" a sillonné le Mexique, plaidant sa cause, se disant victime de manipulations électorales.

Mais pour de nombreux Mexicains, le candidat de la gauche mexicaine, défenseur des droits des communautés indigènes, est en train de disparaître de la carte politique.

"Ce n'est plus la même chose. Il y a très peu de monde. Il a perdu et il ne reviendra pas", commente Raul Coronel, un balayeur de 36 ans rencontré dimanche parmi les manifestants. Un peu plus loin, Raymundo Aroyo, un libraire, estime que Lopez Obrador "aurait dû mettre un terme à tout ce cirque il y a longtemps déjà".

Un sondage publié dimanche par les journaux du groupe Reforma assure que 31% des électeurs qui ont voté Lopez Obrador il y a un an ne le referaient pas aujourd'hui. Et près de la moitié des personnes interrogées estiment que le bilan de Felipe Calderon, le vainqueur du scrutin, est meilleur que prévu.

Mexilios: Mais il faut savoir que les enquetes du Refor(pan), sont bien payes pour le gouvernement, ca ce n'est pas vrai, il faut savoir que le pays est militarise, que otut a augmente sauf les salaires.....

"LA MAFIA NOS ROBO LA PRESIDENCIA"

Le caractère terre à terre de Lopez Obrador, son mode de vie simple jusqu'à l'austérité, sa rhétorique avaient créé autour du candidat du Parti de la révolution démocratique (PRD) une dynamique et un élan qui, longtemps, en avaient fait le favori du scrutin dans un pays où la moitié de la population vit avec moins de 5 dollars par jour.

Mais Calderon, le candidat conservateur du Parti de l'action nationale du président sortant Vicente Fox, l'avait finalement emporté avec une infime avance de 0,58 point de pourcentage.

La plus haut juridiction électorale du pays a finalement validé sa victoire.

"Je le dis, nous le disons encore: nous avons remporté l'élection présidentielle", a lancé dimanche comme tant d'autres jours auparavant Lopez Obrador, qui résume ses arguments dans un nouveau livre, "La mafia nos robo la presidencia" (La mafia nous a volé la présidence).

Nombreux étaient ceux qui pensaient que la victoire a minima de Calderon entraverait son action. Mais douze mois après son élection, Calderon jouit d'une solide cote de popularité, autour de 65%, et la détermination qu'il met dans la lutte contre les cartels des drogues et la réforme des retraites impressionne une large partie de l'électorat.

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