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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 2 juillet 2007

Plus de 1300 victimes au Mexique....

Depuis le temps ou FECAL a pris le gouvernement par asaut, le pays va pire, et denrierment il ne veut plus qu'on parle du violence, mais devant une evidence qui creve les yeux on peut pas se taire et voila:

20 minutes.fr

Guerre des cartels meurtrière au Mexique

Depuis janvier, plus de 1.300 personnes ont été exécutées au Mexique, qui connaît une de ses années les plus meurtrières. En cause: les affrontements entre cartels de drogue, sous les yeux d'un gouvernement visiblement incapable d'endiguer la vague de violence. Ce bilan sonne comme un échec cuisant pour le président mexicain, Felipe Calderon, qui avait promis d'agir contre les cartels de la drogue.

Depuis sa prise du pouvoir le 1er décembre dernier, il a lancé des opérations militaires médiatisées dans plusieurs Etats du pays (20.000 hommes). Mais pour le président du Conseil citoyen pour la Sécurité publique et la justice, José Antonio Ortega, cet échec vient de «la stratégie du gouvernement».

Ortega part du principe qu'il n'y a pas d'organisations criminelles sans protection officielle. Les services de renseignement de l'armée, qui constituent le gros des hommes déployés sur le terrain, «devraient opérer de manière chirurgicale contre ceux qui depuis le pouvoir tirent profit du trafic de drogue».

«Aucun opérateur politique, ni aucun responsable de blanchiment d'argent n'a été arrêté», s'étonne Ortega qui rappelle la «complicité évidente (...) entre les barons et certains politiciens et policiers».

Le déni du gouvernement

Les autorités mexicaines refusent de fournir le chiffre du nombre de victimes de la violence mafieuse. Mais les estimations des médias mexicains chiffrent entre 1.270 et 1.382 victimes pour 2007, dont plus d'une centaine de policiers.

Le gouvernement mexicain estime que la violence est due à une réorganisation du trafic de la drogue engendrée par la baisse de la consommation de cocaïne aux Etats-Unis. Une information non confirmée par l'agence antidrogue américaine.

Tous les services de l'Etat - policiers, douaniers, juges, élus et fonctionnaires- sont soupçonnés de bénéficier des largesses des puissantes mafias de la drogue. Et depuis le début du mandat de Calderon, le nombre de trafiquants de drogue arrêtés a baissé, note le parquet général du Mexique.

Exécutions, décapitations, embuscades

La semaine dernière, un député du parlement de Nuevo Leon a été abattu en plein centre de Monterrey, la 2e ville du Mexique. «Il y a des liens entre les autorités locales et les trafiquants de drogue», confie Pedro De la Cruz, spécialiste de sécurité nationale à l'Université nationale autonome de Mexico.

Des exécutions sommaires, des décapitations, des embuscades tendues aux forces de l'ordre en plein jour, des tueurs à gage qui enlèvent leurs victimes à leur domicile avant de leur administrer un tir de grâce, tous les modes opératoires y passent.


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