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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 20 juillet 2007

Les prêtes hypocrites

Maintenant des infos sur l'Amerique latine, on commence par Venezuela, où les prêtes se mêlent de politique, dans des cas pareils aiment les chiffres même si son parfois gonfles mais pourquoi l' épiscopat ne dissent rien à propos des cures pédophiles???????????




Le président vénézuélien Hugo Chavez lors d'un meeting à Caracas, le 13 avril 2007. | REUTERS/FRANCESCO SPOTORNO
Dans un pays qui compte 60 % de catholiques, un document des évêques dénonce aussi l'orientation "populiste" du régime du président vénézuélien.

Les relations s'enveniment au Venezuela entre la hiérarchie catholique et le président Hugo Chavez. Dans un pays qui compte 60 % de catholiques, les évêques ont rendu public, lundi 16 juillet à Caracas, un document mettant en cause l'orientation "populiste" et "marxiste" du régime.

Après les mesures prises contre la chaîne de télévision privée RCTV, l'épiscopat dénonce "une hégémonie absolument antidémocratique en matière de communication" et s'inquiète d'un projet de loi sur l'éducation qui prétend "donner une instruction basée sur une seule et unique orientation idéologique". Il met en cause la devise "La Patrie, le socialisme ou la mort" avec laquelle M. Chavez entend promouvoir le "socialisme du XXIe siècle".

Le document épiscopal redoute la coupure du pays "en deux factions inconciliables" et fait observer que "la solution aux problèmes politiques et sociaux du Venezuela doit aller au-delà du populisme, qui ne va pas au fond des problèmes, et du militarisme".

Nicolas Maduro, ministre des affaires étrangères, accuse la conférence épiscopale de se conduire comme "une nouvelle Inquisition avec les vieux manuels de guerre froide" et de "préparer un plan de déstabilisation du pays". Pour le président, la hiérarchie catholique - notamment le cardinal José Ignacio Velasco, décédé depuis - aurait participé à la tentative de coup d'Etat d'avril 2002.

Lors de l'assemblée exécutive du Conseil épiscopal latino-américain (Celam), qui vient de se tenir à Cuba, Mgr Baltazar Porras, évêque de Merida, ex-président des évêques vénézuéliens (1999-2006), a déclaré à l'AFP que M. Chavez dirigeait son pays "vers une dictature marxiste-léniniste". Pour lui, "un énorme climat de tension et d'exclusion monte contre l'Eglise".

Dénonçant les références aux Evangiles auxquelles M. Chavez a souvent recours pour justifier son action, cet évêque estime que ce "détournement" de langage religieux est révélateur "des régimes de type fasciste ou nazi".

Henri Tincq

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