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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 28 juin 2007

Que du pipo

Courrier international

Purge massive dans la police

Pourque cela soit effectif, il faudrai couper la corruption depuis la tete le president.....

Le gouvernement mexicain a destitué tout l'état-major de la Police fédérale préventive (PFP) pour complicité avec le narcotrafic. 284 officiers ont été limogés dans tout le pays, relate El País.
La police fédérale mexicaine lors d'une opération antidrogue, en janvier 2007AFP
La purge inclut les 34 commandants de la police fédérale dans les 32 Etats du Mexique (la capitale et Veracruz ont chacune deux responsables). Le ministre de la Sécurité publique, Genaro García Luna, a résumé en ces termes la volonté du gouvernement de garantir la sécurité des citoyens : "Il nous faut une police honnête, intègre et fiable." Il a refusé de s'étendre sur le degré de complicité des fonctionnaires destitués avec les malfaiteurs. Il a évoqué de "sérieux problèmes du point de vue opérationnel", les mauvaises relations avec la population et le manque de moyens pour enquêter. Mais il a mis hors de cause les personnes concernées — "ce n'était pas leur faute", a-t-il assuré —, car pendant des années le gouvernement n'a pas investi dans la police. "Sans la complicité avec les autorités, la criminalité est vouée à l'échec", a-t-il ajouté. L'épuration des forces de sécurité fédérales a commencé il y a plusieurs mois, a précisé le ministre, avec l'organisation d'un stage spécial de qualification pour 306 membres de la PFP et de l'AFI [Agence fédérale d'investigation, qui se veut l'équivalent du FBI américain], comprenant des examens médicaux, des tests de détection de drogues, une vérification du patrimoine et un passage au détecteur de mensonges. Six des personnes convoquées ont refusé de passer les tests de détection de drogues, tandis que seize autres ont été jugées inaptes. Celles qui ont été reçus occupent les nouveaux postes et les trente-quatre qui ont obtenu les meilleurs notes sont désormais à la tête de la police fédérale dans les Etats. Les policiers relevés de leurs fonctions feront l'objet d'une enquête et pourront suivre un stage de réadaptation, au cours duquel ils devront subir toutes sortes de tests pour prouver qu'ils sont fiables, qu'ils ne consomment pas de drogues et qu'ils n'ont pas de revenus douteux. Ceux qui refuseront de passer les examens "resteront automatiquement en dehors de la police", a affirmé le ministre García Luna. Ceux qui resteront au sein de l'institution devront suivre une formation de plusieurs mois et seront examinés périodiquement. Aucun d'entre eux ne pourra occuper un poste à responsabilités. L'épuration de la PFP, un corps composé partiellement de militaires, s'inscrit dans un projet plus vaste du gouvernement qui vise à créer une nouvelle police. Avant la purge de la PFP, le gouvernement avait pris des mesures contre les polices locales de plusieurs Etats. Au Nuevo León, l'armée a lancé une opération sur plusieurs jours, au cours de laquelle plus de 150 policiers de différents corps ont été arrêtés. La ville de Tijuana, en Basse-Californie, a connu en janvier une situation sans précédent lors du lancement de l'opération conjointe contre le narcotrafic. Les 2 300 policiers municipaux ont été désarmés, puis les experts en balistique de l'armée ont analysé soigneusement les armes pour déterminer si certaines d'entre elles avaient été utilisées à des fins criminelles. Il y a deux ans, la police municipale de Nuevo Laredo (Etat de Tamaulipas), passage frontalier avec les Etats-Unis, a été dissoute après un très grave incident. Un groupe d'agents municipaux avait ouvert le feu sur un contingent de policiers judiciaires envoyés de la capitale par les autorités fédérales. Sur les 800 policiers de Nuevo Laredo, 500 ont été expulsés pour complicité avec le narcotrafic.
Francesc ReleaEl País

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