Rééquilibrage des forces....
Lundi et le Mexique fait parler de lui, oui comme actuelment on parle que de violence, c'est bien dommage que l'actuel gouvernement ne se rends pas compte qu'il faut travailler pour le bien du pays et pas pour le bien du "capital".
Je ne suis pas à gauche, non plus à droite, je suis seulement pour le bon sens.
Liberation
Le Mexique mis à feu et à sang par les cartels
L'armée appelée à la rescousse contre les massacres perpétrés par les trafiquants.
Par Babette STERN
Le Mexique vient de vivre la semaine la plus sanglante de son histoire civile. Du 12 au 18 mai, 75 personnes ont été tuées dans la guerre, commencée il y a plusieurs mois, que se livrent le gouvernement du président Felipe Calderón (droite), au pouvoir depuis le 1er décembre, et les cartels de la drogue. Depuis le 1er janvier, selon des sources officielles, près de 1 000 personnes sont tombées dans des affrontements de plus en plus violents.
[Ce n'est pas fortuit, Calderon il n'a pas gagne les élections, est un secret de polichinelle, il recherche crédibilité et se légitimiser, il a commence avec sa carte forte: l'armée et l'a bientôt brûle, puis est aussi une guerre du gouvernement pour la mise en place du "cartel" de son choix, celui du Chapo Guzman.]
Le Mexique vient de vivre la semaine la plus sanglante de son histoire civile. Du 12 au 18 mai, 75 personnes ont été tuées dans la guerre, commencée il y a plusieurs mois, que se livrent le gouvernement du président Felipe Calderón (droite), au pouvoir depuis le 1er décembre, et les cartels de la drogue. Depuis le 1er janvier, selon des sources officielles, près de 1 000 personnes sont tombées dans des affrontements de plus en plus violents.
[Ce n'est pas fortuit, Calderon il n'a pas gagne les élections, est un secret de polichinelle, il recherche crédibilité et se légitimiser, il a commence avec sa carte forte: l'armée et l'a bientôt brûle, puis est aussi une guerre du gouvernement pour la mise en place du "cartel" de son choix, celui du Chapo Guzman.]
Le pic a été atteint mercredi 16 mai dans l'Etat de Sonora, lorsqu'une cinquantaine de tueurs du cartel du Golfe ont semé la terreur dans la petite ville de Cananea, à 30 kilomètres de l'Arizona. A bord d'une quinzaine de véhicules blindés aux vitres teintées, fortement armés, ils ont investi la ville, cherchant des policiers locaux «qui les auraient trahis» a déclaré le gouverneur de l'Etat. Il n'est pas rare, au Mexique, que la police soit de mèche avec les cartels. Les chefs de la drogue sont clairs : «Une balle ou de l'argent.» Les fonctionnaires mexicains, dont le salaire n'est pas très élevé et qui craignent pour leur vie, choisissent souvent de fermer les yeux sur les trafics. Mais la trahison se paie cher. L'affrontement de mercredi a duré plus de deux heures. Bilan : 22 morts quinze hommes de main des narcos, cinq policiers, deux civils. Le gouverneur de l'Etat a demandé au Président l'envoi de l'armée pour rétablir le calme. Quelque 200 hommes devaient arriver hier sur place.
[La boite de Pandore est ouvert, sûrement c'était celui-là l'objectif recherche pour eux qui vraiment gouvernent le pays, créer une ambiance de terreur, repeter le mot "guerre" ad infinitum et âpres...... inviter les piteux USA marins agir et aider a son pauvre voisin]
[La boite de Pandore est ouvert, sûrement c'était celui-là l'objectif recherche pour eux qui vraiment gouvernent le pays, créer une ambiance de terreur, repeter le mot "guerre" ad infinitum et âpres...... inviter les piteux USA marins agir et aider a son pauvre voisin]
Décapitations. La lutte à mort que se livrent notamment le cartel du Golfe, dont le chef Osiel Cárdenas a été extradé aux Etats-Unis en janvier, et le cartel du Pacifique, dirigé par Joaquín «Chapo» Guzmán, introuvable depuis son évasion d'une prison de haute sécurité il y a six ans, fait des ravages depuis plusieurs années. Désormais, non contents de s'entre-tuer, ils s'attaquent à tous les représentants de la force publique. Il ne se passe pas un jour sans qu'un procureur, un agent mexicain des renseignements, un chef de la police tombent sous leurs balles. Des messages macabres sont trouvés sur les corps. Des têtes seules sont découvertes. Les enlèvements se multiplient. Aucun Etat n'est maintenant épargné. Même pas la capitale où la semaine dernière José Nemesio Lugo Félix, coordinateur de l'information contre le crime organisé, a été abattu à bout portant d'une balle dans la tête dans sa voiture, en pleine ville de Mexico.
Pour lutter contre le crime organisé, Felipe Calderón a décidé de s'appuyer sur les forces armées. Le 9 mai, il a créé un corps militaire d'élite, fort de 3 500 éléments, qui recevra ses instructions directement du chef de l'Etat. Sa mission est de faire des opérations «sélectives et chirurgicales». Les parlementaires, toutes étiquettes confondues, ont approuvé la création de cette nouvelle unité. Ils ont cependant demandé que ses attributions soient «extrêmement bien définies» pour ne pas tomber dans «la tentation de l'utiliser pour réprimer des mouvements sociaux ou des dissidents politiques».
[La politique de Calderon est: je vous tue et âpres on parle. Qui ne sais pas faire la politique applique la violence. On vis un gouvernement qui ne sait pas dialoguer, ne veut pas dialoguer.]
[La politique de Calderon est: je vous tue et âpres on parle. Qui ne sais pas faire la politique applique la violence. On vis un gouvernement qui ne sait pas dialoguer, ne veut pas dialoguer.]
Militarisation. Cette force s'ajoute aux milliers de militaires envoyés dans les Etats les plus sensibles pour traquer les trafiquants, démonter les laboratoires clandestins et éradiquer les champs de marijuana. Cette politique de «militarisation» du pays n'est pas sans risque : récemment, un commando de quelque 400 soldats, envoyé dans l'Etat de Michoacán à la recherche d'une cache, s'est livré à des abus, y compris sexuels. [ Et personne pour défendre les droits de l'homme, même l'ombudsman est lie au gouvernement.]
Personne ne doute que la guerre sera longue, lourde en termes de vies humaines et non exempte d'atteintes aux droits de l'homme. Pour autant, le ministre de la Sécurité publique, Genaro García Luna, a affirmé que les autorités «ne se laisseront pas tordre le bras» par les narcos. [Pour les narcos qui ne sont pas ses amis, n'est pas?]
Et oui, Francisco Franco a réincarne au Mexique et le fascisme vient fort!
Et oui, Francisco Franco a réincarne au Mexique et le fascisme vient fort!
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