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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 21 mai 2007

Desbautizo - débaptême

Vague de “débaptêmes” en Italie
L’“actus defectionis”, l’acte par lequel on demande à être débaptisé, en latin : voilà un nouveau problème pour l’Eglise. L’Italie à elle seule compte déjà 3 000 “débaptêmes”. “En réalité, il y en a davantage, mais il est impossible d’établir des statistiques car il y a beaucoup de gens qui demandent au prêtre d’être débaptisés sans nous en informer”, soutient Federico Sora, fondateur dans les années 1980 de l’Associazione per lo sbatezzo (Association pour le débaptême), à Fano, dans les Marches, qui met à disposition sur son site des formulaires de demande de débaptême (www.abaet.it/ papini/anticler/sbattezo.html). Pour faire face à cette situation, la Conférence épiscopale a conçu des formulaires de réponse destinés aux évêques et aux prêtres, dans lesquels les aspirants au “débaptême” sont invités à considérer les conséquences de leur décision, qui comporte la plus grave des peines canoniques : l’excommunication.
L’actus defectionis, explique le cardinal Julian Herranz, ancien président du Conseil pontifical pour les textes législatifs, “n’a pas seulement un caractère juridique administratif : c’est aussi une rupture avec la vie de l’Eglise, qui suppose donc un acte d’apostasie, d’hérésie ou de schisme”.
Voilà pourquoi, initialement, évêques et prêtres convoquent tous ceux qui demandent à être débaptisés. Mais l’autorité assurant la protection des données personnelles a décidé que le fait de demander aux requérants de se rendre en personne à la paroisse pour être rayés des registres n’était pas légal. Aussi a-t-on introduit un “rite simplifié”.

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