Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 4 novembre 2007

Mexique en route pour un massacre

un film sur les luttes aux mexique

premier film réalisé sur le massacre d'Acteal. Ce documentaire de Nick Higgins, cinéaste Écossais, coïncide avec le dixième anniversaire de la tragédie.

Traduit par Ángel Caído de "La Jornada"

"Camino a una masacre" « En route vers un massacre » premier film réalisé sur le massacre d'Acteal. Ce documentaire de Nick Higgins, cinéaste Écossais, coïncide avec le dixième anniversaire de la tragédie. « Aucune des autorités n'a cherché à assumer les responsabilités et appliquer la justice », déclare le cinéaste. Le chiapanèque José Alfredo Jiménez obtient quant à lui un prix pour avoir réussi à produire « Acteal, 10 ans d'impunité et quelques années de plus ».

Carlos F. Márquez ("La Jornada" - Michoacán)

Morelia, le 9 octobre. Dix ans après le crime contre l'humanité commis à Acteal, dans l'État du Chiapas, "Camino a una masacre", du cinéaste écossais Nick Higgins, le premier documentaire réalisé sur cette tragédie, a été présenté au Festival international de cinéma de Morelia.

Nick Higgins, réalisateur de documentaires et auteur de "Understanding the Chiapas Rebelion", publié par les presses de l'université du Texas, a maintenu une ligne constante dans ses travaux. Il s'en est expliqué dans une interview accordée à "La Jornada" : « Je ne suis pas Mexicain, mais je pense être quelqu'un qui continue, quinze ans après, à poursuivre la vérité au Chiapas. Je voulais communiquer la réalité que j'y ai trouvée à un public plus large et, à la différence de ce qui se passe avec un livre, les images me permettent de transmettre les émotions et les sentiments que l'on éprouve en étant sur place, à Acteal. L'heure est propice à la réflexion car 10 ans après, les crimes qui y ont été commis restent impunis et les paramilitaires sont toujours aussi actifs au Chiapas. »

Suite


Aucun commentaire: