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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 4 novembre 2007

La France se Mexicanise !!!!

Cette épisode on le vis tous les jours au Mexique avec le "président" usurpateur Calderon, partout il va, se déployé un impressionnant dispositif de sécurité , on dis que Mr. Calderon ne peut même pas aller au wc tout seul, il va toujours accompagne des sa garde prétorienne, on espere que la France ne devient pas pareil.....

Le figaro

Sarkozy rêve d'un Conseil des ministres outre-mer


(...)

UNE VILLE sous haute sécurité, une grève surprise à l'aéroport, un avis de tempête lancé par Météo France et des Ajacciens condamnés à la marche à pied et de fort mauvaise humeur. Le Conseil des ministres décentralisé à la préfecture de Corse-du-Sud, présenté comme « historique » par Nicolas Sarkozy, a d'abord désorganisé... Ajaccio.
Il faut dire que le déploiement de 2 000 CRS et gendarmes mobiles et le bouclage complet du centre historique ne sont pas passés inaperçus dans une ville qui compte 60 000 habitants. Un dispositif de sécurité digne d'un G8 rassemblant les chefs d'État. « C'est n'importe quoi toute cette sécurité. C'est la démesure ! », s'emporte une commerçante de la rue Fesch interdite aux piétons. « On nous demande nos papiers d'identité à tous les coins de rue. On se croirait sous l'Occupation », fulmine un fonctionnaire. « Ça va nous rapporter quoi ? De la poudre aux yeux », râle une femme furieuse devant l'hôtel de ville. Difficile de trouver un Corse heureux, hier matin, dans les rues d'Ajaccio. L'omniprésence policière a en tout cas découragé la trentaine de militants syndicaux qui voulaient manifester pour la défense du pouvoir d'achat. Ils ont été bloqués à l'entrée de la ville. Une petite centaine de nationalistes ont, eux, réussi à rejoindre le centre-ville et manifesté dans le silence avant que la police ne les disperse à coups de bombes lacrymogènes.

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