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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 14 juin 2007

L'Eglise et sa culture de mort

L'eglise toujours si pitieuse, si ouverte et humaine.....

Le monde

Le Vatican appelle à ne plus financer Amnesty International, accusée de promouvoir l'avortement


Le Vatican a appelé les catholiques de ne plus soutenir financièrement l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International, en raison du récent engagement de celle-ci en faveur de la dépénalisation de l'avortement, ajoutant, dans un communiqué diffusé mercredi 13 juin, que l'Eglise catholique suspendrait également ses "contributions financières" à l'organisation. Pour le cardinal Renato Martino, président du conseil pontifical Justice et Paix, ce geste est la "conséquence inévitable" de la "volte-face" qu'aurait opéré l'ONG sur l'avortement. "Il est extrêmement grave qu'une organisation méritante comme Amnesty International se plie aux pressions de ces lobbies, a-t-il déploré, faisant allusion aux lobbies pro-avortement qui continuent leur propagande dans le cadre de ce que Jean Paul II appelait 'la culture de mort'."

TOUT AVORTEMENT EST ASSIMILÉ À UN MEURTRE

A Rome, le porte-parole de l'ONG, Riccardo Noury, a précisé que qu'Amnesty ne recevait aucun versement "ni du Vatican, ni d'aucune organisation catholique" ni d'ailleurs d'aucune organisation, afin de préserver son indépendance. Geneviève Sevrin, présidente de la section française, a pour sa part souligné qu'Amnesty "n'a pas appelé à la libéralisation de l'avortement", mais à "sa dépénalisation". Cette distinction n'est pas prise en compte par le Vatican, pour lequel tout avortement est assimilé à un meurtre.

En 1996, le Vatican avait déjà pris une décision similaire, suspendant une aide financière à hauteur de 2 000 dollars par an en faveur de l'Unicef, le fonds des Nations unies pour l'enfance, qu'il avait également accusé de promouvoir l'avortement. A l'époque, l'Unicef diffusait dans les camps des réfugiés du monde entier une information sur un spermicide post-coïtal à destination des jeunes femmes ou des adolescentes victimes de viol.

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