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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 8 novembre 2007

Violence

Les images violentes rendent les petits garçons agressifs

LE MONDE

La question est récurrente : la violence des images diffusées par la télévision a-t-elle un effet négatif sur les enfants ? Exposer des petits à des programmes - JT, dessins animés, fictions - comportant des scènes de violence les prédispose-t-il à des comportements agressifs ? Une étude menée aux Etats-Unis auprès de 184 garçons et 146 filles et publiée lundi 5 novembre par la revue médicale américaine Pediatrics donne des arguments à ceux qui considèrent que les images télévisées peuvent induire une perturbation psychologique chez les enfants.


Selon cette enquête réalisée par deux chercheurs du département de pédiatrie de l'hôpital pour enfants de Seattle (Washington), Dimitri Christakis et Frederick Zimmerman, les garçons âgés de 2 à 5 ans qui sont exposés à des programmes télévisés violents ont plus de probabilité que les autres de développer entre 7 et 10 ans des comportements agressifs.

"Nous avons découvert que plus les enfants qui ne sont pas encore en âge d'être scolarisés regardent des émissions de télévision violentes, plus ils seront enclins à avoir des comportements antisociaux - agressivité, désobéissance, tendance à s'attirer des ennuis - une fois qu'ils vont à l'école", a déclaré Dimitri Christakis, qui considère que les dessins animés "sont les principaux coupables".

ABSENCE DE CONTRÔLE

Pour le chercheur, ce type de programmes, que les parents laissent leurs enfants regarder en toute confiance et où l'on voit des personnages retomber sur leurs pieds après avoir parfois affronté des catastrophes, "véhiculent une fausse impression sur la violence dans la vie réelle".

L'étude précise que les petits garçons sont particulièrement sensibles à ce type d'influence, et que ni les petites filles qui ont regardé des programmes violents ni les garçons qui ont été exposés à des programmes non violents ou à des émissions éducatives ne faisaient preuve de la même agressivité plus tard.

Depuis lundi, France 5 propose dans le magazine quotidien "Les Maternelles", une série de quatre reportages sur le sujet, intitulée "Les écrans en accusation". Aux Etats-Unis, au Canada et en France, Sarah Lebas et Richard Puech, journalistes de l'agence Capa, ont rencontré des spécialistes de l'analyse des médias, des parents, et des responsables associatifs qui réfléchissent aux effets des images violentes sur le cerveau des enfants. Pour certains, le problème n'est pas tant la violence des scènes montrées à la télévision que l'absence de contrôle, d'accompagnement ou d'explication de la part des parents.

Sylvie Kerviel

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