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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 8 novembre 2007

La flambée du baril de pétrole
Vers les 120 dollars... au moins


Offre insuffisante, crises géopolitiques, Moncef Kaabi, spécialiste de la banque Natixis, est pessimiste


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N. O. - Les pays producteurs qui n'appartiennent pas à l'Opep ont-ils les moyens déjouer les régulateurs de prix ?
M. Kaabi. - La Russie, le Mexique et la Norvège, qui exploite le pétrole de la mer du Nord, sont au maximum de leur capacité de production. Comme vous le voyez, entre une demande très forte et une offre contenue, les prix du pétrole sont orientés à la hausse. Il faut y ajouter les craintes des investisseurs face aux dangers géopolitiques (au Nigeria, en Irak, en Iran et aussi en Turquie) et le climat général anxieux, lié à la crise des subprimes. Les spéculateurs inquiets de la baisse du marché des actions se couvrent sur les marchés à terme de matières premières : les métaux, les matières premières alimentaires, et bien sûr le pétrole. Tout cela entretient des prix élevés.

N. O. - Vous n'envisagez tout de même pas le baril à 200 dollars ?
M. Kaabi. - Il y a un an, nous avions fait des simulations et prévu un baril autour de 120, 130 dollars. Mais c'était avant la crise des subprimes... et aujourd'hui il y a beaucoup d'intervenants sur le marché des matières premières. Cependant, grâce à la hausse de la devise européenne, les pays de la zone euro sont un peu moins touchés que ceux de la zone dollar.
N. O.- Pensez-vous, comme certains experts pétroliers, que le «peak oïl» est atteint, que l'on a déjà épuisé la moitié des réserves de pétrole planétaires ?
M. Kaabi. - Nous disposons de quarante à quarante-cinq années de consommation devant nous. Les réserves diminuent de manière significative aux Etats-Unis, en mer du Nord, au Mexique; et beaucoup moins vite dans les pays du Moyen-Orient, où elles sont plus abondantes.
(...)
N. O. - Comment envisagez-vous l'évolution de la situation à très court terme ?
M. Kaabi. - La semaine prochaine, le prix du baril peut très bien baisser de 10, voire de 15 dollars. Cela dépendra des échéances des contrats sur les marchés à terme et des investisseurs qui voudront réaliser leurs bénéfices. Mais cela ne durera pas. Les prix vont repartir à la hausse parce que le marché reste demandeur. Le pétrole cher, c'est notre seule chance d'arrêter de consommer des énergies fossiles, dont on sait qu'elles sont en quantités limitées et qu'elles sont menaçantes pour le climat. Nous n'avons pas d'autre choix que de nous intéresser sérieusement aux énergies alternatives.

Nathalie Bensahel

Info originel: Le nouvel obs


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