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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 14 octobre 2007

USA: l'incompetence règne

LEMONDE.FR avec AFP, Reuters et AP

Un ancien général américain qualifie la guerre en Irak de "cauchemar sans fin"

Le général Ricardo sanchez, le 8 avril 2004 lors d'une conférence de presse à Bagdad. | AFP/NICOLAS ASFOURI
AFP/NICOLAS ASFOURI
Le général Ricardo sanchez, le 8 avril 2004 lors d'une conférence de presse à Bagdad.

Le général Ricardo Sanchez, ancien commandant des forces américaines en Irak, a violemment attaqué la stratégie de la Maison Blanche, vendredi 12 octobre, la qualifiant notamment d'"échec catastrophique". Quant à la guerre que mène Washington depuis quatre ans et demi, elle s'apparente, à ses yeux, à un "cauchemar sans fin"

Dans un exposé sans concession de la part d'un ancien haut responsable du Pentagone, le général Sanchez a également qualifié les leaders politiques américains, sans jamais les nommer, d'"incompétents", "corrompus" et "négligents dans l'accomplissement de leurs devoirs", à tel point qu'ils auraient, selon lui, été traduits en cour martiale s'ils avaient agi ainsi en étant militaires. "Nos dirigeants ont fait étalage d'une incompétence stratégique patente", a-t-il lancé à Arlington, en Virginie, devant des journalistes.

"L'Amérique continue son combat désespéré en Irak, sans être capable d'élaborer une stratégie permettant d'aboutir à une 'victoire' (...) ni même dans la lutte contre l'extrémisme", a-t-il poursuivi, critiquant la stratégie de renforcement militaire menée par George Bush. Cette "tentative désespérée menée par une administration qui n'a pas pris en compte la portée politique et militaire de cette guerre", faut dire à M. Sanchez que, désormais,"le mieux que nous puissions faire (...) est de conjurer la défaite". "Il ne fait aucun doute que l'Amérique vit un cauchemar dont on ne voit pas la fin", a-t-il déploré.

Au-delà de l'administration Bush, Ricardo Sanchez a également critiqué l'attitude du Congrès et de l'ensemble de la classe politique américaine, qu'il accuse de ne pas avoir fourni les efforts nécessaires pour remporter cette guerre. "Les querelles partisanes ont entravé l'effort de guerre", note-t-il.

"CE QUI SE PASSE À WASHINGTON NE ME DONNE AUCUN ESPOIR"

Pour M. Sanchez, à la retraite depuis 2006, la solution en Irak, "étant donnée l'absence de stratégie", passe par une réduction des effectifs, même s'il a reconnu que les Etats-Unis resteraient encore longtemps en Irak, car un retrait précipité ajouterait à l'instabilité régionale. "Ce qui se passe aujourd'hui à Washington ne me donne aucun espoir", a-t-il affirmé, ajoutant qu'en absence de changement, les militaires continueraient à mourir sur place.

Après avoir servi lors de la première Guerre du Golfe comme commandant de bataillon, le général Sanchez a dirigé les forces de la coalition en Irak de juin 2003 à juillet 2004 avant de démissionner dans le cadre du scandale d'Abou Ghraib. Il avait déjà formulé auparavant des critiques sévères à l'encontre de la stratégie américaine en Irak.

Dans sa réaction aux propos de M. Sanchez, la Maison Blanche a fait référence au rapport de l'actuel commandant des forces US en Irak, le général David Petraeus, qui affirme que des améliorations progressives en Irak sont attendus. "Comme l'ont dit le général Petraeus et l'ambassadeur Crocker, il y a encore du travail a effectuer, mais les progrès sont là. Et c'est cela qui nous importe en ce moment", a répondu Trey Bohn, porte-parole de la Maison Blanche.

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