Musées gratos à Paris, oui, oui, oui!!!!
Pas tout est dramatique dans la vie
La gratuité testée dans certains musées nationaux
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A Paris, le Musée du Moyen-Age dans l'ancienne abbaye de Cluny figurerait sur la liste des établissements susceptibles d'étendre le libre accès à ses collections.
Réa.
De bonne source, on cite le Musée des arts asiatiques Guimet et celui du Moyen-Âge dans l'ancienne abbaye de Cluny, également à Paris. Ailleurs, le Musée d'archéologie de Saint-Germain-en-Laye ; le château d'Écouen, le Musée national de la Renaissance (où 70 % du public ne paie pas car ce sont essentiellement des scolaires) ; le Palais Jacques-Coeur à Bourges, le Musée de la porcelaine à Limoges ; et, pour l'art contemporain, le château d'Oiron dans les Deux-Sèvres : toutes ces institutions seraient sur la liste.
Séduire un nouveau public
Sont écartés en revanche les sites où les touristes étrangers représentent une forte proportion du flux habituel. C'est le cas du Louvre, du Musée d'Orsay, du Musée d'art moderne, du Centre Georges-Pompidou, et de Versailles où plus de 60 % du public n'est pas français. Pour ces lieux, une extension des publics bénéficiant d'un accès libre serait d'un coût considérable.
L'objectif est de définir les meilleurs moyens afin de faire venir dans les musées les gens qui n'y viennent pas. Dans cette optique, la gratuité pourra se décliner de plusieurs façons et en fonction des spécificités de chacune des institutions concernées : gratuité totale, gratuité ponctuelle, gratuité élargie à des tranches d'âge qui n'y avaient pas accès, etc.
Le musée Guimet, celui de Cluny à Paris ou le Château d'Écouen figurent sur la liste des établissements nationaux dont l'accès sera gratuit à partir du 1erjanvier prochain. L'annonce sera faite cette semaine.
RÉPONDANT au souhait du président de la République d'étendre le libre accès aux collections publiques d'art, les services du ministre de la Culture, Christine Albanel, et notamment la direction des musées de France, préparent un test grandeur nature qui concernera un panel de grands établissements nationaux, à Paris comme en province. Il pourrait être mis en application à partir du 1er janvier prochain et durer durant tout le premier semestre 2008.De bonne source, on cite le Musée des arts asiatiques Guimet et celui du Moyen-Âge dans l'ancienne abbaye de Cluny, également à Paris. Ailleurs, le Musée d'archéologie de Saint-Germain-en-Laye ; le château d'Écouen, le Musée national de la Renaissance (où 70 % du public ne paie pas car ce sont essentiellement des scolaires) ; le Palais Jacques-Coeur à Bourges, le Musée de la porcelaine à Limoges ; et, pour l'art contemporain, le château d'Oiron dans les Deux-Sèvres : toutes ces institutions seraient sur la liste.
Séduire un nouveau public
Sont écartés en revanche les sites où les touristes étrangers représentent une forte proportion du flux habituel. C'est le cas du Louvre, du Musée d'Orsay, du Musée d'art moderne, du Centre Georges-Pompidou, et de Versailles où plus de 60 % du public n'est pas français. Pour ces lieux, une extension des publics bénéficiant d'un accès libre serait d'un coût considérable.
L'objectif est de définir les meilleurs moyens afin de faire venir dans les musées les gens qui n'y viennent pas. Dans cette optique, la gratuité pourra se décliner de plusieurs façons et en fonction des spécificités de chacune des institutions concernées : gratuité totale, gratuité ponctuelle, gratuité élargie à des tranches d'âge qui n'y avaient pas accès, etc.
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