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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 13 septembre 2007

Le vegetarianisme s'impose

Manger moins de viande pour sauver la planète

Selon une étude parue dans The Lancet, réduire la consommation de viande pourrait aider à combattre le réchauffement climatique.

Selon une étude parue dans The Lancet, réduire la consommation de viande pourrait aider à combattre le réchauffement climatique.

Faudra-t-il comme La Fontaine, dire « Adieu veau, vache, cochon » pour sauver la Terre ? Selon une étude publiée dans la prestigieuse revue britannique The Lancet, une réduction globale de la consommation de viande aiderait à limiter le réchauffement climatique.
La FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) estime en effet que le secteur de l’élevage à lui seul représente 18% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. En France, le bétail compte pour 7% du « PRG » (pouvoir de réchauffement global, qui prend en compte l'effet de 6 gaz à effet de serre), derrière les véhicules particuliers (11%), mais devant les poids lourds (5.3%) (voir le rapport très détaillé du Citepa sur les polluants atmosphériques en France en PDF). Ces émissions calculées pour le bétail prennent en compte à la fois le transport du bétail et les rejets de méthane des systèmes digestifs des animaux.
Les auteurs de l’article préconisent donc de réduire au moins de 10% la consommation globale de viande. A l’heure actuelle, celle-ci s'élève à 100 grammes par personne et par jour dans le monde. Au rythme où croit la population humaine, le maintien de cette moyenne serait une catastrophe pour l’environnement, estiment Tony McMichael, de l'Université de Canberra, et John Powles, de l'Université de Cambridge. Une réduction à 90 grammes permettrait à peine de stabiliser les émissions de la « filière bétail ».
215 gr par jour et par Français
Mais toutes les viandes ne sont pas égales devant la pollution. Les ruminants, dont le système digestif à 4 estomacs rejette énormément de méthane, détiennent la palme du réchauffement climatique. Autrement dit, une vache "pollue" naturellement beaucoup plus qu'un cochon.
Les auteurs estiment qu’une moyenne de 50 grammes par jour et par personne de ces viandes rouges est un maximum.
Les occidentaux devront donc se serrer la ceinture. Hamburger ou steak-frite, ils sont en effet, et de loin, les principaux consommateurs de viande. Selon la FAO, un Américain consomme 257 grammes de viande par jour, un Français 215 grammes, tandis qu’un Congolais peine à en trouver plus de 11 grammes, alors même qu’il a plus de chance de subir de plein fouet les effets du réchauffement climatique.

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