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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 14 juillet 2007

A qui le proifit des attacs contre PEMEX?

Le Mexique brûle en ce moment a cause d'un régime au pouvoir totalement vide, superflue et inefficace, c'est pourquoi on crois plus au gouvernement et le pire on crois mieux a un delincuent comme Zhenli Ye Gon, même est en train de devenir un heroe populaire.
Les attentats....... il se peu que soient des auto attentats, qui profite de cela? Personne n'a pas vérifie que les messages du EPR les appartient vraiment.........

Le monde

Un soldat mexicain garde l'entrée de la société Pemex, à Mexico le 11 juillet 2007. | AP/Eduardo Verdugo

AP/Eduardo Verdugo
Un soldat mexicain garde l'entrée de la société Pemex, à Mexico le 11 juillet 2007.

Les guérilleros mexicains de l'EPR s'attaquent à un gazoduc

Après les narcotrafiquants, le président Felipe Calderon doit affronter un nouveau défi depuis qu'un mouvement de guérilla a revendiqué, mardi 10 juillet, le sabotage d'un important gazoduc de la compagnie nationale d'hydrocarbures, la Pemex. Ces explosions spectaculaires n'ont pas fait de victime, mais ont perturbé l'activité de près d'un millier d'entreprises du centre du Mexique - dont des multinationales comme Nissan, Honda, Hershey's, Kellogg ou le groupe de bière Modelo.

Depuis mercredi, l'armée a renforcé la surveillance des installations de la Pemex dans douze Etats de la fédération. Les dégâts causés, mardi, au gazoduc Mexico-Guadalajara devaient être réparés assez vite, et l'approvisionnement rétabli dès jeudi. Le secteur privé a exprimé son "indignation" au sujet de ces attentats, et le président Calderon a déploré que "certains s'emploient à détruire ce qui appartient à tous".

Le communiqué publié mardi par l'Armée populaire révolutionnaire (EPR) a pris de court le gouvernement mexicain, engagé depuis sept mois dans une offensive de longue haleine contre les cartels de la drogue, qui mobilise son attention et une partie des forces militaires. Apparue en 1996 à la suite d'un massacre de paysans attribué à des paramilitaires, l'EPR a connu, depuis, plusieurs scissions, mais dispose encore de points d'appui dans les massifs montagneux d'Oaxaca et du Guerrero, deux Etats du sud parmi les plus pauvres du Mexique.

Après un coup d'éclat contre la base militaire de Huatulco, sur la côte pacifique d'Oaxaca, l'EPR était devenu un " groupe armé virtuel" qui se manifestait surtout par des communiqués. La chute, en 2000, du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), jadis hégémonique, lui avait enlevé une partie de sa raison d'être. En novembre 2006, cinq groupuscules dissidents de l'EPR ont posé des charges explosives devant des banques, le Tribunal fédéral électoral (qui avait tranché en faveur de M. Calderon le litige sur l'élection présidentielle de juillet 2006), ainsi qu'au siège du PRI, auquel appartient le très controversé gouverneur de l'Etat d'Oaxaca, Ulises Ruiz.

Dans un texte posté, mardi, sur un site Internet utilisé par des groupes armés latino-américains, l'EPR revendique les attentats à l'explosif commis les 5 et 10 juillet contre le gazoduc qui alimente les Etats de Guanajuato et de Queretaro, tous deux gouvernés par le Parti d'action nationale (PAN) au pouvoir. Les explosions du 5 juillet avaient été attribuées au mauvais état chronique des canalisations de la Pemex, mais le gouvernement a reconnu, mardi, leur nature criminelle.

L'EPR annonce qu'elle va poursuivre ses opérations de "harcèlement" contre le gouvernement de M. Calderon et celui de M. Ruiz tant que deux de ses militants, arrêtés, selon elle, en mai 2006 à Oaxaca, resteront emprisonnés. Mais les autorités mexicaines nient leur détention.

Pour sa part, le Parti de la révolution démocratique (PRD), principale opposition de gauche, "n'exclut pas" que le gouvernement ait organisé lui-même les sabotages pour "justifier" une répression des mouvements de gauche et l'ouverture de la Pemex aux investissements privés.

(Mexilios: et aussi sa serve comme un beau écran et cacher les grand scandale du "chinogate")

Joëlle Stolz

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