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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 14 juillet 2007

La honte au Mexique pour l'exoneration d'Echeverria

Yahoo news

Un peu de répit pour l'ex-président mexicain Luis Echeverria dans l'affaire du massacre de Tlatelolco

Par EuroNews euronews - Vendredi 13 juillet, 13h15

Le juge Jesus Guadalupe Luna :


"Le crime existe. Ce que nous, les juges, disons, c'est que, en relation avec la responsabilité de ce crime, à l'heure où je vous parle, il n'existe pas de preuve pour mettre en cause Luis Echevarria".

L'assignation à résidence de l'ancien président mexicain, qui courait depuis novembre, est donc levée.

Au moment de cette manifestation d'étudiants de gauche, en 68, Echeverria était ministre de l'Intérieur. L'armée avait ouvert le feu sur les manifestants, les chiffres officiels parlent toujours de vingt-cinq morts, mais plusieurs associations de défense des droits de l'Homme parlent de plus de trois cents morts.

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Mexique: un tribunal fédéral blanchit un ancien président pour le massacre des étudiants de Tlatelolco en 1968

Par E. Eduardo Castillo AP - Vendredi 13 juillet, 04h36

MEXICO - Un tribunal fédéral mexicain a jugé jeudi que le massacre d'étudiants perpétré en octobre 1968 était bien un génocide, mais il a rejeté les charges qui pesaient à cet égard sur l'ancien président du Mexique Luis Echeverria.


Echeverria était encore ministre de l'Intérieur, c'est à dire le plus haut responsable de la sécurité intérieure, le 2 octobre 1968, lorsque l'armée a ouvert le feu contre une manifestation étudiante sur la place Tlatelolco, à Mexico, quelques jours avant que la capitale mexicaine n'accueille les Jeux Olympiques. Les rapports officiels avaient fait état de 25 morts, mais selon les militants des droits de l'homme, pas moins de 350 personnes ont été tuées ce jour-là.

Le juge Jesus Guadalupe Luna a justifié la qualification de génocide "parce que les autorités gouvernementales de l'époque ont mené conjointement une action préméditée et coordonnée visant à exterminer un groupe national d'étudiants originaires de plusieurs universités".

Mais ce juge a également affirmé qu'il n'y avait pas de preuve reliant Echeverria aux massacres coordonnés.

"Aucune, absolument aucune des preuves fournies par le ministère public ne démontre la participation de Luis Echeverria Alvarez à la préparation, la conception ou l'exécution du génocide", à déclaré Luna lors d'une conférence de presse.

Le tribunal a par ailleurs ordonné la levée de l'assignation à résidence de l'ancien président, en vigueur depuis novembre.

Les procureurs fédéraux n'ont pas dit dans l'immédiat s'ils feraient appel. Ils ont dix jours pour le faire, a ajouté Luna.

Echeverria, aujourd'hui âgé de 85 ans, a toujours nié toute responsabilité dans les morts de Tlatelolco. Ses avocats ont assuré qu'il n'y avait pas de preuve qu'il ait orchestré le massacre et ils ont défendu la thèse selon laquelle les manifestants avaient été tués dans les échanges de tirs des "tireurs d'élite et des autorités". AP

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