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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 11 mai 2007

Benoît XVI au Bresil

Le monde

Benoît XVI au Brésil en champion de la lutte contre l'avortement

SAO PAULO ENVOYÉ SPÉCIAL

On a voulu ajouter certains commentaires, desole mais il vaut mieux dire les choses.

Ciel gris, crachin et température fraîche[le climat il n'est pas catholique lui?] : ce n'est pas un Brésil de carte postale que Benoît XVI a découvert, mercredi 9 mai, en atterrissant à Sao Paulo. Pour le bain de foule, sur un continent où vivent près de la moitié des catholiques du monde, [certes, la majorité sont des catholiques nominaux qui se rendent a la messe quand il y a des événements, pour les fêtes et les rituels: baptême, communion, mariage, mort...] le pape devra attendre aussi. Son premier voyage en Amérique latine a débuté sur un mode modeste, à l'image de la cérémonie de bienvenue, organisée sous un hangar hors d'âge, dans un recoin de l'aéroport. C'est en petit comité et selon un protocole dépouillé que le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a accueilli le chef de l'Eglise catholique.

Le président Lula s'est félicité de "la coopération dans le domaine social" qui s'est instaurée entre l'Eglise de son pays et l'Etat. L' engagement de la première dans les politiques de solidarité "surtout à l'égard des pauvres et des abandonnés" sera au cœur de la visite apostolique de cinq jours qu'entreprend Benoît XVI sur "le continent de l'espérance". [ Ca fait plus de 500 ans de bla, bla et rien ne change]

Dans l'avion, le pape avait confié aux journalistes sa "préoccupation" face à la concurrence des mouvements évangéliques et pentecôtistes qui ont séduit 18 % de la population brésilienne ces vingt-cinq dernières années, et qui prospèrent sur le continent. "Nous devons trouver des réponses à la soif de Dieu et de religion, mais aussi aux problèmes de la vie quotidienne, y compris des solutions concrètes comme le font les sectes", a-t-il expliqué.

Mais l'église connait les réponses, qu'est qu'elle a fait pour aider vraiment eux qu'ont besoin? Qu'a fait et que fait contre les cures pédophiles? Les protéger, et pour les enfants qu'ont été viole(e)s pour les cures? Les demander du silence et de la compassion pour ses agresseurs; comme bon chrétien il faut savoir pardonner et comprendre que le cure était malade, il existe l'oublie n'est pas... Ou pire les a traite comme des malades, indignes et signale avec le doigt de feu divin et l'honte éternelle. Et pourquoi en sachant ça, l'église n'a pas retire ou puni les cures criminels et les a laisse continuer le ministère et les violations?

Et quand on a entendu l'église catholique plaider vraiment contre des injustices, les violations aux droits de l'homme, la criminalisassions des lutteurs sociaux qui se font en Colombie ou le Mexique? Est que M. Ribera s'est prononce contre les 67 ans de prision ferme contre les leaders sociaux d'Atenco? Que fait l'église a propos des enfants démunis et qu'habitent dans les rues? Quand a dit quelque soit contre les dictateurs latino-américains? Que a fait de tout l'argent que reçoit en donatives de ses fidèles? On dirai que vont au ventre des eveques et à Rome sans echelles. Et pourquoi a accepte l'argent des hommes politiques corruptissimes et u narcotrafique? On la pas entendu, sauf certains personnages d'exception Raúl Vera López par exemple, que ont parfois été réduits au silence... C'était Rome qu'a fini le mouvement de la Théorie de la Libération qu'avait des vraies idées nouvelles, fraîches et sociaux mais le pape B 16, à l'époque dans le simili du tribunal de la Sainte Inquisition... a preferu les effacer. Ca fait quand même plus de 500 ans monsieurs, plus de cinq siècles et vous ne faites rien pour que cela change ou s'améliore.]

Comment l'Eglise peut-elle être présente dans les réformes en cours sur un continent qui connaît un basculement politique à gauche? Adversaire de toujours de la "théologie de la libération", à qui il reproche d'avoir favorisé "la prolifération des sectes" par une politisation excessive du catholicisme, le pape suggère "un travail de discernement" afin que l'Eglise, sans faire elle-même de politique, "puisse indiquer des lignes pour une politique juste". L'objectif, qui sera débattu à partir du 13 mai par la 5e conférence du Conseil des épiscopats latino-américains (Celam), sera de "rendre plus efficace la doctrine sociale de l'Eglise".

"L'Eglise veut seulement indiquer les valeurs morales pour chaque situation et former les citoyens pour qu'ils puissent décider consciemment et librement" . [c'est quoi la morale pour eux? recevoir de l'argent des corrompus, se taire en face des injustices et crier contre des lois pour le bien de la société, laisser libres et en ministère les cures pédophiles?] , a déclaré Benoît XVI à son arrivée. Il a insisté en particulier sur un thème qui agite plusieurs pays de la région : l'avortement. Il a invité l'Eglise latino-américaine à "renforcer son identité en promouvant le respect de la vie humaine, du moment de sa conception jusqu'à son déclin naturel". Au Brésil, où l'interruption de grossesse n'est autorisée qu'en cas de viol ou de risque mortel pour la mère, le ministre de la santé vient de proposer un référendum en vue d'en légaliser la pratique. Le président Lula, catholique et opposé à l'avortement "à titre personnel", considère qu'il s'agit d'"un problème de santé publique".

La récente décision de la ville de Mexico de dépénaliser l'avortement a déclenché une réaction des évêques mexicains, qui menacent de ne plus donner la communion aux élus ayant voté la loi, dont le maire de gauche de la capitale mexicaine. [on est rassures qu'ils n'ont pas eu une jolie ex communion comme celle ci, d'Hidalgo ]
Dans l'avion, Benoît XVI a soutenu l'épiscopat mexicain : "Ce n'est pas une menace arbitraire, elle est prévue dans le code de droit canon : il est écrit que le meurtre d'un enfant est incompatible avec l'eucharistie." [et il dit bien enfant, mais ce n'est pas pareil a un foetus que n'est un groupe des cellules, alors on va aussi crier pour l'extirpation de touts les tumeurs qui sont aussi des cellules ou quand on crache?] Pour lui, il est du devoir de l'Eglise de "résister à l'égoïsme et à la peur de l'avenir qui sont à l'origine de ces législations". [Qui a dit égoisme???]

[On aimerait bien voir l'église s'en occuper des enfants qui traînent dans la rue partout le continent, ça serait beau. Aussi quand touts les cures pédophiles seront mis en prison par exemple]

Jean-Jacques Bozonnet
* NOTE: les soulignes [] en rouge sont a nous.

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