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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 11 février 2008

Ciné mexicain

Si vous n'avez pas vu le programme, voila le résumé:

L'inventivité et la vitalité des jeunes cinéastes mexicains

Présentation du cycle "Cinéma mexicain : si loin de Dieu, si près des Etats-Unis" sur le site de Canal+.

Au Festival de Cannes 2007, ils étaient là tous les trois, les mousquetaires rigolards et complices : Gael Garcia Bernal, Alejandro Gonzalez Inarritu et Guillermo del Toro, trois cinéastes encensés par la critique internationale.

Au Mexique, une nouvelle génération de réalisateurs ont émergé depuis les années 1990, succédant à celle de l'ancien assistant de Luis Buñuel, Arturo Ripstein, à qui l'on doit notamment La Reine de la nuit. Aujourd'hui, la famille du cinéma mexicain s'est élargie - Alfonso Cuaron, Carlos Reygadas, Francisco Vargas, Marcel Sisniega, etc. - et enrichie de tons et de styles d'une étonnante diversité. Films de genre inventifs, oeuvres d'un réalisme âpre, fictions exigeantes sur la solitude ou l'amour récompensés dans de multiples festivals internationaux.

Une vitalité dont Canal+ Cinéma donne un aperçu en programmant samedi 9 février, à 20 h 50, Babel (2006) d'Alejandro Gonzalez Inarritu, à minuit Le Violon (2007) de Francisco Vargas et, à 01 h 35, Le Labyrinthe de Pan (2006) de Guillermo del Toro.

Une "Nouvelle Vague" ? Alejandro Gonzalez Inarritu récuse ce terme. Le réalisateur d'Amours chiennes, 21 grammes et Babel le juge "galvaudé".

PIRATAGE

"Je pense que les "nouvelles vagues" sont nourries de vieilles recettes", confie-t-il dans un documentaire, diffusé à 23 h 05, qui explicite les enjeux artistiques et économiques du cinéma mexicain. Son sous-titre "Si loin de Dieu, si près des Etats-Unis" fait référence à la formule de Porfirio Diaz, le président du pays entre 1876 et 1880, puis entre 1884 et 1911.

Les auteurs de ce documentaire - Jean-Christophe Berjon, critique de cinéma et sélectionneur de la Semaine de la critique à Cannes, et le réalisateur Fabien Constant - se sont rendus au Mexique pour interroger les artisans de ce renouveau, d'Arturo Ripstein à Carlos Reygadas, et ceux qui, à leur échelle, font vivre ce cinéma et contribuent à sa circulation, étudiants d'écoles spécialisées, producteurs et exploitants. Ils dressent un état des lieux précis de la situation du cinéma dans un pays qui constitue le cinquième ou sixième marché mondial, selon la productrice Marina Stavenhagen, par ses 165 millions de billets vendus chaque année.

Les films nationaux ne représentent toutefois que 8 % de la fréquentation tant les productions américaines imposent leur domination. Les tarifs d'entrée élevés et le piratage massif éloignent aussi des salles une majorité de la population. D'où une crise structurelle et endémique. Pour résister et se donner les moyens de leur liberté, les trois mousquetaires ont créé leur propre société de production.

Macha Séry

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