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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 10 novembre 2007

Sommet ibéro-américain

Pauvreté et inégalité au cœur des débats

RFI

La 17e édition du sommet ibéro-américain se tient jusqu’à samedi dans la capitale chilienne. Cette année les débats entre les 22 chefs d'Etat et de gouvernement d'Amérique latine, d'Espagne et du Portugal, portent sur le thème de la cohésion sociale.

Les représentants des pays participants à la 17e édition du sommet ibéro-américain.     (Photo : Reuters)
Les représentants des pays participants à la 17e édition du sommet ibéro-américain.
(Photo : Reuters)

Avec notre correspondant à Santiago, Jean Boulanger

Lors de l’assemblée générale, un temps fort du sommet, les premières interventions des chefs d’Etats ont confirmé le virage à gauche de l’Amérique latine. La plupart des orateurs constatent la même chose : la croissance économique est soutenue, mais le développement de la région reste fortement inégalitaire.

Partant de ce constat, la présidente chilienne Michelle Bachelet, a proposé un pacte social pour améliorer la situation des ouvriers de la croissance. « La pauvreté est la principale menace pour nos sociétés », a-t-elle souligné, estimant que « celle-ci pouvait fragiliser la démocratie ».

Sur un ton plus radical, le président équatorien Rafael Correa a appelé ces collègues à tourner le dos aux recettes néolibérales des années 90. Suivi peu après pas Hugo Chavez : « il y a dix ans, le sommet ibéro-américain était un champ générale pour le consensus de Washington », a lancé le président vénézuélien, traitant au passage, l’ancien président espagnol Aznar de « fasciste ». « Aujourd’hui, nous voulons mettre le cap vers une société plus juste », a conclu Hugo Chavez.

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