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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

jeudi 20 septembre 2007

Democracie a la "gringa"

Un étudiant américain maîtrisé au pistolet électrique pendant une conférence de John Kerry


Lundi 17 septembre, John Kerry, candidat démocrate malheureux face à George W. Bush à l'élection présidentielle de 2004, donne une conférence à l'université de Floride. Arrive le moment des questions. Andrew Meyer, un étudiant de 21 ans, interroge alors John Kerry sur la contestation du résultat de l'élection de 2004, sur l'impeachment de Bush, etc. C'est long et véhément. Rapidement, la police de l'université se sent obligée d'intervenir, prend à partie l'étudiant et tente de l'expulser. Andrew Meyer résiste, jusqu'au moment où, plaqué au sol, il reçoit une décharge de Taser, avant d'être emmené par la police et de passer une nuit au poste. Le film de la scène fait débat, pose la question de la liberté de parole, de la violence policière mais aussi des raisons pour lesquelles Andrew Meyer a pris à partie le sénateur.
L'arrestation d'Andrew Meyer par la police de l'université de Floride, le 17 septembre 2007. | www.alligator.org
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L'arrestation d'Andrew Meyer par la police de l'université de Floride, le 17 septembre 2007.

ernie Machen, le président de l'université de Californie, s'est fendu d'un communiqué sur l'incident et a demandé une enquête sur l'action de la police du campus. La presse américaine, qui a épluché le site d'Andrew Meyer, s'interroge sur sa personnalité, se demandant si son intervention était sincère, ou s'il s'agissait d'un coup médiatique, un de ses péchés mignons.

L'interpellation d'Andrew Meyer

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Lundi 17 septembre, John Kerry, candidat démocrate malheureux face à George W. Bush à l'élection présidentielle de 2004, donne une conférence à l'université de Floride. Arrive le moment des questions. Andrew Meyer, un étudiant de 21 ans, interroge alors John Kerry sur la contestation du résultat de l'élection de 2004, sur l'impeachment de Bush, etc. C'est long et véhément. Rapidement, la police de l'université se sent obligée d'intervenir, prend à partie l'étudiant et tente de l'expulser. Andrew Meyer résiste, jusqu'au moment où, plaqué au sol, il reçoit une décharge de Taser, avant d'être emmené par la police et de passer une nuit au poste. Le film de la scène fait débat, pose la question de la liberté de parole, de la violence policière mais aussi des raisons pour lesquelles Andrew Meyer a pris à partie le sénateur.


Bernie Machen, le président de l'université de Californie, s'est fendu d'un communiqué sur l'incident et a demandé une enquête sur l'action de la police du campus. La presse américaine, qui a épluché le site d'Andrew Meyer, s'interroge sur sa personnalité, se demandant si son intervention était sincère, ou s'il s'agissait d'un coup médiatique, un de ses péchés mignons.


Le Monde.fr
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Version en espagnol: El sendero del peje

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