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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 20 août 2007

L'imbécile, le bâtard et le canadien

Le nouvel obs

CANADA

Bush, Harper et Calderon
réunis à Montebello

NOUVELOBS.COM | 20.08.2007 | 08:09

Les présidents américain, mexicain et du canadien, sont réunis au Canada pour un sommet qui suscite de vives protestations, notamment sur le" secret " des discussions.

Le Premier ministre canadien, Stephen Harper (AP)

Le Premier ministre canadien, Stephen Harper (AP)

Les dirigeants des Etats-Unis, du Mexique et du Canada se retrouvent, lundi 20 août, dans un hôtel québécois typique, en rondins, pour évoquer les questions du commerce et de la sécurité. Le lieu de la réunion est au centre d'un important dispositif de sécurité afin de tenir à l'écart les protestataires.
Le Premier ministre canadien Stephen Harper reçoit les présidents américain George W. Bush et mexicain Felipe Calderon, tous trois conservateurs, pour deux jours de discussions au château de Montebello, dans le cadre du Partenariat pour la Prospérité et la Sécurité (PSP).
Le processus, lancé en 2005 par les trois pays, vise à faciliter les échanges commerciaux tout en renforçant la sécurité sur le continent nord-américain, dans le contexte nouveau de l'après-11 septembre 2001.

Sommet des "trois bandidos"


Le PSP suscite toutefois l'inquiétude de groupes nombreux et divers qui dénoncent le "secret" entourant selon eux les discussions. Ils soupçonnent le partenariat d'être une machine de guerre néolibérale au service du monde des affaires et des Etats-Unis, ce que démentent fermement des responsables des trois pays. L'opposition canadienne a, elle aussi, exprimé sa méfiance à l'égard du PSP avant le sommet. "Il est temps d'arrêter la dérive vers un processus de plus en plus dirigé par les Etats-Unis dans le secret", a déclaré le chef du principal parti d'opposition, Stéphane Dion.
Ainsi, environ un millier de personnes ont défilé dimanche à Ottawa contre ce que certains protestataires qualifient de sommet des "trois Bandidos". D'autres manifestations, notamment de groupes altermondialistes, sont prévues pour la journée de lundi, aux alentours du lieu du sommet.

Cependant, le lieu de la rencontre, entouré d'une clôture grillagée de 3 à 4 mètres de hauteur, surmontée de caméras de surveillance, devrait freiner les ardeurs des manifestants.
Plusieurs centaines de policiers ont, par ailleurs, été mobilisés pour surveiller le périmètre tandis que la garde-côtière effectue des patrouilles sur la rivière des Outaouais et l'espace aérien au-dessus de Montebello a été interdit.

Peu de décisions attendues


Au delà d'un renforcement de la coopération entre les trois voisins nord-américains, l'ordre du jour du sommet est relativement vague et des responsables laissaient entendre qu'il ne fallait pas s'attendre à des résultats spectaculaires dépassant l'affirmation de progrès accomplis depuis la précédente rencontre trilatérale l'an dernier à Cancun au Mexique.
Le Canada entend profiter du sommet pour discuter des moyens de renforcer les normes de qualité des produits, une question d'actualité après le rappel de millions de jouets fabriqués en Chine, d'une qualité déficiente ou contenant notamment du plomb.
Les discussions doivent aussi porter sur les récentes turbulences des marchés suite à la crise des prêts hypothécaires à risque aux Etats-Unis, la guerre en Afghanistan, l'immigration ou les changements climatiques.

Un programme très libéral


Felipe Calderon et sa famille ont été, pendant le week-end, les invités de la famille Harper dans la résidence d'été du Premier ministre canadien.
Le président Bush, attendu en début d'après-midi lundi à Montebello, aura un entretien bilatéral avec son hôte canadien, puis avec son homologue mexicain, avant un dîner à trois.
Les trois hommes rencontreront mardi matin le Conseil nord-américain de la compétitivité, un groupe consultatif composé de 30 chefs de grandes entreprises, 10 par pays. Les opposants voient dans la composition de ce Conseil une preuve de l'orientation pro-business du PSP et de l'exclusion de la société civile.
Les dirigeants nord-américains auront ensuite un entretien à trois, puis un déjeuner avant de tenir ensemble une conférence de presse finale en début d'après-midi mardi.

* * *

Sommet trilatéral au Québec des dirigeants des Etats-Unis, du Canada et du Mexique

source : Associated Press le 19/08/2007 13:53 auteur : --par Ben Feller--

Le président américain George W. Bush interrompt lundi ses vacances texanes pour un sommet de deux jours avec son homologue mexicain Felipe Calderón et le Premier ministre canadien Stephen Harper. Lors de cette rencontre à Montebello (Québec), dans le cadre du Partenariat nord-américain pour la sécurité et la prospérité (PSP), on parlera notamment de sécurité aux frontières, de compétitivité économique face à l'Inde et à la Chine ou encore de solutions énergétiques. Du côté des altermondialistes, le PSP inspire méfiance et inquiétude.

Autant de points qui nécessitent des réglages techniques mais essentiels, comme l'harmonisation des procédures aux frontières et celle des normes commerciales. "Ce n'est pas nécessairement très sexy mais c'est primordial pour notre sécurité. Ca doit être fait", résume Roger Noriega, un ancien secrétaire d'Etat adjoint de M. Bush. Avec l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), les trois pays font partie du partenariat commercial le plus grand du monde, dont certains, comme les démocrates américains, s'interrogent sur les effets réellement positifs.

Dans le cadre des rencontres annuelles du PSP, une trentaine de dirigeants de grandes entreprises des trois pays seront par ailleurs présents à Montebello. Le camp altermondialiste, gardé à bonne distance du site, ne sera pas en reste, accusant le PSP d'avoir pour ambition secrète de fondre le continent nord-américain dans un ensemble sécuritaire et néo-libéral intégré. Au Canada, plusieurs formations, dont le Parti libéral, craignent aussi que le PSP entraîne "un nivellement par le bas" des normes - notamment en matière de santé et d'environnement - plutôt qu'une amélioration de la qualité de vie des habitants.

"Ce qui est vraiment important, c'est que (les trois pays) continuent à mettre en avant l'importance de l'intégration nord-américaine, à montrer

que les problèmes post-11-Septembre ne vont saper ni les échanges commerciaux ni les investissements", analyse pour sa part Charles Doran, de l'Ecole des études internationales avancées à l'Université John Hopkins.

C'est la troisième rencontre à ce niveau depuis 2005 dans le cadre du PSP. La première avait eu lieu aux lendemains des attentats à New York et Washington, à une époque où il s'agissait alors de voir comment renforcer les contrôles aux frontières sans brider le commerce et le tourisme.

George W. Bush arrivera lundi après-midi à Montebello, un bourg de 1.033 âmes situé entre Ottawa et Montréal. Au Château Montebello, hôtel de luxe qui abrita le sommet du G7 en 1981, il s'entretiendra avec Stephen Harper de questions économiques, du réchauffement climatique, du Proche-Orient et de la guerre en Afghanistan -où le Canada a déployé des troupes. Le président américain rencontrera ensuite M. Calderón pour parler sécurité aux frontières et immigration.

A l'issue des entretiens bilatéraux, les trois dirigeants dîneront ensemble lundi soir. Le sommet se poursuivra mardi, conclu par une conférence de presse finale.

Ce sommet intervient alors que Washington s'apprête à offrir son aide à Mexico pour lutter contre le trafic de drogue. Si les détails sont réglés à temps, le plan pourrait être présenté à Montebello: il financerait en partie l'équipement et les formations des équipes anti-stupéfiants. Mais beaucoup de Mexicains se méfient de cette aide américaine, craignant que cette ingérence ne mette en péril leur souveraineté. AP

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