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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 20 août 2007

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Les normes alimentaires intéressent peu le Mexique et les Etats-Unis



Par Jennifer Ditchburn

OTTAWA (PC) - Les Etats-Unis et le Mexique sont moins intéressés que le Canada à harmoniser les normes alimentaires en Amérique du Nord, un des objectifs controversés du Partenariat nord-américain pour la sécurité et la prospérité (PSP).

Selon un document obtenu par la Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, les trois pays n'ont réussi à s'entendre que sur un enjeu lié à l'alimentation, même si le Canada fait pression pour que trois autres questions soient discutées.

Le Canada, le Mexique et les Etats-Unis se sont ainsi entendus afin d'élaborer une approche commune sur la production sécuritaire de fruits et de légumes après qu'une série de maladies liées aux racines, aux petits fruits et aux légumes-feuilles eut soulevé l'inquiétude dans les trois pays.

Le rapport de Santé Canada sur une conférence téléphonique tripartite tenue en mars 2006 note qu'aucun consensus n'a pu être atteint sur les trois autres enjeux défendus par le Canada, soit l'identification des allergènes sur les étiquettes, l'étiquetage nutritionnel et les programmes d'inspection de la viande.

Mansel Griffiths, un microbiologiste au département des sciences de l'alimentation de l'Université de Guelph, a indiqué que la sécurité des produits frais était effectivement une source d'inquiétude, mais que les pays ont davantage besoin de coordonner leurs efforts au niveau de l'application des normes qu'au chapitre des normes elles-mêmes.

"Il y a de bonnes lignes directrices pour la production de fruits et de légumes, a-t-il dit. Ce dont nous avons besoin, ce sont des lignes directrices adoptées par les producteurs et les transformateurs de fruits et légumes."

Un programme avait été créé à travers le PSP en 2005 pour discuter des moyens d'établir un mécanisme nord-américain de coordination au niveau de la sécurité des aliments qui devait aider à créer des normes alimentaires communes et à partager les informations sur les questions touchant la sécurité alimentaire.

Selon un fonctionnaire de Santé Canada, plus d'un an après la conférence téléphonique qui a identifié un seul enjeu, aucun progrès n'a été réalisé. Le gouvernement avait pourtant indiqué l'an dernier que la création d'un mécanisme de coordination de la sécurité alimentaire était en voie d'être accompli pour septembre 2006.

La Presse Canadienne a fait des requêtes en vertu de la Loi sur l'accès à l'information pour un ensemble de programme discuté dans le cadre du PSP et identifié par le gouvernement l'été dernier.

D'autres enjeux liés au PSP soulèvent également des questions.

Par exemple, les trois pays avaient indiqué qu'une mesure visant à donner une valeur légale aux signatures et aux contrats électroniques était en voie d'être implanté en mars 2007. En mai 2007, Industrie Canada n'avait encore émis aucune information à ce sujet. Le seul document disponible était celui indiquant que le projet était en voie d'être réalisé.

Dans un autre cas, le gouvernement a décrit comment il allait améliorer son niveau de préparation devant une éventuelle attaque de son système informatique par un exercice appelé Cyberstorm en partenariat avec les Etats-Unis.

L'exercice a eu lieu en novembre 2006, mais ce n'était pas du tout un projet du PSP alors que des pays come le Royaume-Uni et l'Australie y ont pris part.

Un rapport sur l'évolution des sables bitumineux albertains du Groupe de travail nord-américain sur l'énergie du PSP, n'était qu'une version révisée d'un rapport ayant le même titre datant de 2002, trois ans avant la création du PSP.

Le gouvernement n'a pas mis à jour les renseignements sur le statut des projets du PSP depuis août 2006, malgré l'assurance de hauts-fonctionnaires que l'information était facilement accessible au public et aux médias.

Les dirigeants nord-américains doivent se rencontrer cette semaine à Montebello, en Outaouais, pour discuter des progrès réalisés dans le cadre du PSP pour améliorer la sécurité et la compétitivité des trois pays.

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