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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 22 juin 2007

Les extremes droites veulent conquerir le monde!!!!

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Le monde

Mexique : José Maria Aznar et Vicente Fox lancent une croisade anti-Chavez

L'ancien président du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, et le président du Parti d'action nationale (PAN) mexicain, Manuel Espino, lors de leur rencontre à Mexico, le 19 juin 2007. | AFP/RONALDO SCHEMIDT
AFP/RONALDO SCHEMIDT
L'ancien président du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, et le président du Parti d'action nationale (PAN) mexicain, Manuel Espino, lors de leur rencontre à Mexico, le 19 juin 2007.
Les visites au Mexique de José Maria Aznar, ancien président du gouvernement espagnol et conservateur de choc, ne passent décidément pas inaperçues. En 2006, il était venu soutenir le candidat de la droite à l'élection présidentielle, Felipe Calderon, au grand scandale de la gauche, la loi mexicaine prohibant toute intervention d'un étranger dans la vie politique nationale.
Cette fois, c'est pour défendre un "programme de liberté en Amérique latine" - contre la menace du "populisme totalitaire" incarné, selon lui, par le président vénézuélien Hugo Chavez - que M. Aznar avait accepté l'invitation du Parti d'action nationale (PAN), au pouvoir à Mexico. Le président du PAN, Manuel Espino, qui dirige aussi l'Organisation démocrate-chrétienne d'Amérique, l'OCDA, est un ferme partisan de la lutte idéologique contre le régime de Caracas, alors que l'administration Calderon souhaite normaliser les relations avec le Venezuela.

Celles-ci se sont nettement détériorées sous la présidence de Vicente Fox (2000-2006) : en novembre 2005, lors du sommet des Amériques, M. Fox avait accusé M. Chavez de mener une politique "rétrograde", avant de se faire traiter en représailles de "toutou" des Etats-Unis.

Au siège de l'OCDA à Mexico, M. Aznar a présenté, mardi 19 juin, un livre rédigé par sa Fondation pour l'analyse et les études sociales (FAES), intitulé Amérique latine : un programme de liberté. La soirée a pris des allures de "sommet anti-chaviste", constate le quotidien libéral Reforma, en raison de la présence de Marcel Granier, le directeur de Radio Caracas Television (RCTV), à laquelle le gouvernement vénézuélien a retiré sa licence, fin mai. M. Granier a évoqué la possibilité que la RCTV recommence à émettre partiellement depuis le Mexique, avec l'aide de chaînes privées locales.

"Aujourd'hui, notre liberté passe aussi par le Venezuela", a souligné M. Aznar en comparant le populisme au terrorisme islamiste, et en dénonçant comme "autoritaires et corrompus" les gouvernements de Cuba, de la Chine ou de l'Iran.

Après avoir été reçu par le président Calderon, M. Aznar a rencontré mardi son prédécesseur, Vicente Fox, qui vise la présidence de l'Internationale démocrate-chrétienne. Grâce à l'appui discret de la Fondation Konrad-Adenauer, liée à la CDU allemande, il est en train de créer un centre d'études politiques financé par de gros industriels mexicains. M. Fox et M. Aznar ont annoncé mardi que les deux fondations allaient coordonner leurs efforts.

Joëlle Stolz

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