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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 14 décembre 2008

San Sombrèro?????????????

Livres: Sombreros pas amers


texte: Stéphanie Estournet

Imaginez que les Nuls, à l’époque, se soient lancés dans le guide pratique de voyage. Où nous auraient-ils emmenés? Dans les coulisses interdites du Vatican? Au fin fond d’un frigo de grande marque de l’Antarctique? Sûrement à San Sombrèro, ce pays imaginaire d’Amérique centrale dont «le point le plus bas est Tortillas, une discothèque en sous-sol, au nord de Cucaracha City».
Présenté avec le sérieux éditorial d’un Lonely Planet, cet «ouvrage de fiction» «aux vingt dernières pages comestibles en cas d’urgence» propose un regard décalé, et franchement drôle, sur l’archicodifiée industrie du voyage – ses bonnes adresses, ses trucs et astuces… Le tout illustré comme il se doit de cartographies et photos. L’ensemble est hiérarchisé selon les grands classiques «Régions», «Villes», «Où se loger», «A voir, à faire», et la moindre rubrique est prétexte à canular. Ainsi nous conseille-t-on, à San Abandonio, une «spécialité de friture gourmande montée en neige» par les colesterollas, les marchandes de rue ; pour les «amateurs de commerce équitable», «des produits fabriqués par des jeunes en difficulté» sont diffusés à «Cucaracha City, dans les boutiques Sombrer-Ex», et «vu la qualité des produits, ce statut n’est pas près de changer».
D’une manière générale, il convient de savoir qu’à San Sombrèro, les gens sont d’un naturel «avenant et bavard. Très peu réussissent dans les filières de l’espionnage». Dans la même collection (« Jetlag, on vous emmène là où vous n’avez pas envie d’aller… », Flammarion), le voyageur et le sédentaire moqueur se régaleront aussi du «travel guide» sur «la Molvanie».

San Sombrèro,
de Santo Cilauro, Tom Gleisner et Rob Sitch, traduit de l’anglais (australien) par Nicolas Richard,
Jet Lag, Travel Guide,

Flammarion, 192 pp., 15 euros.

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