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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 22 octobre 2008

Manifestations contre des compagnies minières étrangères

RFI

Article publié le 20/10/2008 Dernière mise à jour le 20/10/2008 à 05:30 TU

Au Mexique, les paysans et indigènes de la région frontalière du Guatemala, dans la Sierra Madre, manifestent pour exiger du gouvernement la fermeture des mines dans 7 communes. Ils estiment que les compagnies minières empoisonnent leurs terres. Leur organisation demande « l'annulation immédiate des permis et concessions accordés à des compagnies minières étrangères » et dénonce le harcèlement et même les menaces de mort des entrepreneurs miniers contre les villageois qui s’opposent à leurs projets.

Avec notre correspondant à Mexico, Patrice Gouy

Les habitants de la région de Motozintla, au Chiapas, manifestent contre les autorités mexicaines, qui laissent les compagnies minières étrangères faire ce que bon leur semble.

En dix ans, cette région a été dévastée deux fois par de violents ouragans. Ses habitants craignent désormais la présence des compagnies minières nord-américaines et canadiennes.

Les gouvernements libéraux de Vincente Fox et Felipe Calderon leur ont vendu cinquante-cinq concessions pour exploiter des mines d'or et d'argent.

Comme dans d'autres régions du Mexique, ces compagnies utilisent des procédés d'extraction à base de cyanure et d'autres produits extrêmement toxiques, rigoureusement interdits dans leur pays. Ces substances provoquent des dégâts irréversibles.

Ce type d'exploitation, très rentable, détruit les réseaux d'eau souterrains, empoisonne les nappes phréatiques et provoque des glissements de terrain.

Les paysans et indigènes demandent au gouvernement d'annuler ces concessions car les compagnies étrangères se comportent en pays conquis et menacent de mort les paysans qui tentent de faire valoir leurs droits.

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