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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 21 mai 2008

Reprise des manifestations à Oaxaca

RFI

Au Mexique, les professeurs et maîtres d'école de Oaxaca renouent avec les manifestations. Depuis lundi et pour 21 jours, 70 000 professeurs du syndicat des enseignants manifestent sur le Zocalo, la place principale de Oaxaca. On se souvient qu'il y a 2 ans, des affrontements avec les forces de l'ordre avaient mis cette ville coloniale à feu et a sang.

Le cortège des manifestants a envahi les rues d'Oaxaca.(Photo : AFP)

Le cortège des manifestants a envahi les rues d'Oaxaca.
(Photo : AFP)

Patrice Gouy

Comme si l'histoire se répétait, 5 000 enseignants, soutenus par l'APPO, l'Assemblée Populaire des Peuples de Oaxaca, ont organisé un campement rotatif, sous toile de plastique multicolores et carton, sur la place centrale de Oaxaca et les 20 rues adjacentes. Ils ont averti que si leurs revendications ne sont pas satisfaites, ils empêcheront la tenue de la Guelaguetza, un événement folklorique et commercial qui lance la saison touristique.

Cette grève de 70 000 professeurs, qui touche 13 000 écoles et plus d'un million d'élèves, est largement suivie dans les 7 régions de l'Etat. Les enseignants bloquent les routes, les ponts et les péages des autoroutes. Ils réclament de nouvelles élections syndicales pour évincer leurs dirigeants corrompus et surtout l'application des accords souscrits en octobre 2006 par le président Felipe Calderon.

Les hôteliers et restaurateurs de Oaxaca craignent que la situation ne dégénère et ne fasse fuir les touristes. Pour les rassurer, le gouverneur Ulises Ruiz a déclaré qu'il n'y avait aucun conflit avec le syndicat et que les négociations étaient en cours.

M : encore de paroles et ça promet du sang….


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