Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

dimanche 30 décembre 2007

Diego Rivera à Lyon

On avait oublie poster le suivant :

A début de décembre on est allées au l’Institut culturel du Mexico à Paris pour entendre la fille de Diego Rivera, Guadalupe parler sur l’art de son père, et dans son intervention elle à fait mention d’un mural peint à Lyon, mais voila la note apparu dans Le monde:

Rivera ambassadeur du Mexique à Lyon

Lyon a hérité début décembre d'un espace "Diego Rivera" au coeur d'un ensemble d'immeubles sociaux, à proximité de l'Ecole normale supérieure, dans le 7e arrondissement. | AFP/FRED DUFOUR
AFP/FRED DUFOUR
Lyon a hérité début décembre d'un espace "Diego Rivera" au coeur d'un ensemble d'immeubles sociaux, à proximité de l'Ecole normale supérieure, dans le 7e arrondissement.

L'ensemble est un peu détonnant : une façade d'immeuble aux allures de pyramide, une place publique en forme d'hacienda, trois fresques gigantesques aux couleurs du Mexique. Lyon a hérité début décembre d'un espace "Diego Rivera", au coeur d'un ensemble d'immeubles sociaux, à proximité de l'Ecole normale supérieure, dans le 7e arrondissement. Les fresques, issues des oeuvres du peintre Mexicain, ont été réalisées par la Cité de la création, un collectif lyonnais créé il y a trente ans qui s'inscrit dans la tradition des muralistes mexicains. Le projet est né d'une rencontre entre le collectif et la fille de Diego Rivera, Guadalupe, lors des Rencontres internationales de la peinture murale à Mexico, en mai 2006. Guadalupe Rivera souhaitait célébrer en Europe le cinquantième anniversaire de la mort de son père.


Elle avait d'abord pensé à Madrid, puis à Paris, où son père vécut dix ans. Mais elle s'est finalement laissé convaincre par Lyon, où la Cité de la création a déjà réalisé plus de soixante fresques et où le maître d'ouvrage du projet, la SACVL, lui offrait l'opportunité de développer un véritable espace public. Sur prescription de la Fondation Diego Rivera, propriétaire des droits moraux de l'artiste, et de l'Institut national des beaux-arts de Mexico, la Cité de la création a choisi de réinterpréter des fragments de l'oeuvre de Rivera. "Nous étions dans l'obligation de créer une oeuvre nouvelle à partir des fresques de Diego Rivera. Il nous fallait changer leurs dimensions, utiliser une technique de peinture différente", explique Gilbert Coudène, le chef du projet. Les éléments sélectionnés retracent l'histoire du Mexique, depuis les civilisations maya et aztèque, la conquête espagnole, jusqu'à la révolution. L'idée un peu kitsch de transformer la façade d'un des immeubles en "pyramide" est une allusion au musée "Anahuacalli", bâtiment en forme de pyramide créé par Diego Rivera à côté de Mexico pour abriter ses propres collections précolombiennes. En face de cette pyramide, la Cité de la création a privilégié des oeuvres plus politiques, avec notamment un portrait de Lénine extrait de L'Homme au carrefour, la fresque commandée en 1933 par le Rockefeller Center de New York et détruite en raison de la représentation du leader soviétique. On y trouve aussi un portrait d'Emiliano Zapata, l'un des chefs de la révolution mexicaine, peint à Cuernavaca par Diego Rivera en 1930, ou encore L'Arsenal : Frida Kahlo distribuant des armes, exposé à Mexico au ministère de l'éducation publique.

Enfin, sur la place, le collectif a choisi l'une des dernières fresques majeures du peintre, Rêve d'un après-midi au parc Alameda. Mais, là encore, l'oeuvre est réinterprétée : une photo intime de Diego Rivera peignant sa fille Guadalupe, son fils dans les bras, a été insérée dans la reproduction.

Sophie Landrin

* * *

Autre info connexe:
www.ledevoir.com

Aucun commentaire: